lundi 31 août 2009

Sexe Compulsif : entre nymphomanie et compensation par le sexe

Je suis compulsive sexuellement. Ni fidèle, ni perverse ... j'ai juste besoin de beaucoup, de beaucoup plus que ce que mon mari et un amant peuvent m'offrir.

Voilà en quels termes elle m'avait invité chez elle. Son amant venait d'annuler son après midi câline. Il était gérant d'hôtel, ça lui était pratique de faire du "day use" de ses chambres avec une amante complice. Mais comme toute histoire a une fin, elle fut abandonné le jour même par ce sex friend si commode pour une amante plus jeune.

Et c'est à ce moment là qu'elle m'a harponné. Amant de remplacement d'une gourmande, goutonne du sexe, nymphomane chronique, voulant sa dose de sexe le jour même ... comme une droguée en manque.

A quoi fantasment les nymphomanes ? Quelle sont leurs pensées quand elle jouent de leur corps entre deux draps ? Arrivent elle à trouver une agréable compensation à ce dysfonctionnement et cette hypersexualité ? Est-ce une satisfaction chimique qui vient avec les hormones de l'amour qui calme leurs ardeurs pour quelques heures ? Ai je été une victime ou un bénéficiaire de cette compulsion sexuelle ?

lundi 24 août 2009

Le fantasme de l'amour dans l'ascenceur

L'immeuble dans lequel je travaillais avait une demi douzaine d'ascenseurs en verre, tous orientés vers l'atrium. C'est quand une de mes amantes est venu me rendre visite qu'elle m'a révélé le coté fantasmatique ce lieu que je ne regardais pas de cet oeil au quotidien.

L'ascenseur a toujours été un révélateur de fantasmes, lieu confiné, privé de contact avec l'extérieur, mais tellement dangereux, on peut se faire surprendre à tout instant.

Cumulez ceci avec la transparence et vous ajoutez l'exhibitionnisme.

Ajoutez encore un peu de piquant en utilisant les ascenseurs de votre lieu de travail (sale petite peste envahissante), et vous avez tant d'adrénaline dans votre corps que vous ne savez plus si c'est le désir ou la peur qui vous domine ...

Niveau pratique, ce fut fulgurant et bref, dans cet ascenseur aux yeux de tous (pendant les heures de bureau), que ce fut forcement incomplet ... et nous sommes allés chercher d'autres plaisir au fond de sa voiture.

mardi 18 août 2009

Anulingus : faufiler une langue sous son coccyx

La première fois qu'une femme a débordé avec sa langue entre mes fesses, j'avais beau sortir d'un long bain lascif, je me suis fait surprendre. A plat ventre, je l'ai laissée me prendre et me couvrir le corps de ses baisers humides et de m'entreprendre de sa langue agile. J'étais tellement jeune que je ne savais même pas mettre un nom sur cet anulingus (analingus en anglais).

Depuis, je constate combien offrir ce plaisir à une femme est présent unique. En effet, parmi les zones érogènes, il n'y en a que très peu qui se déclinent de manière identique au masculin et au féminin.

Sans douleurs et tout en douceur, Il s'agit d'un cunilingus à l'envers, de caresses buccales à l'orchidée par derrière la tige, un massage tendre et un rien pénétrant sur une des zones les plus innervée du corps aimé.

Certaines amantes en sont folles ... et réclament leur dose de caresses à l'envers au bon endroit.

Le massage est le chemin le plus délicieux pour préparer la belle. Avec quelques huiles de massage complices, elle, à plat ventre, se détendra au fur et à mesure des effleurements et frôlements. Détendue, presque endormie ou ultra excitée, elle espère les caresses de plus en plus entreprenantes entre ses fesses. Ses deux pommes luisantes et la raie enduite seront le chemin naturel de quelques doigts entreprenants, puis d'une langue gourmande.

Certaines croupes se tendent et se soulèvent pour accueillir cette caresse intime. Dos bien cambré, posture ajustée, genoux entrouverts, Le postérieur s'offre dans toute ses rondeurs et ses courbes, cul divin dont la lumière dessine la silhouette. Avec en ligne de mire une fente qui espère, la langue de l'amant glisse du clitoris au coccyx, insistant entre les plis capiteux de la fleur rose et autour du petit bouton d'or. L'anus stimulé répond en spasmes au clitoris enflé du désir que des doigts un rien pénétrants attisent. Le plaisir grimpe vite, et si la tentation de la lenteur permet ces délices immobiles, la vague prend derrière ou devant, comme une ruade incontrôlable.

L'amante qui offre son derrière à une langue experte en la matière s'expose à une jouissance proche de l'évanouissement ... qui n'est suivi que de ... encore, encore ...

vendredi 14 août 2009

La neige a recouvert le bruit de nos orgasmes

La neige est tombée pendant nos ébats. Elle recouvre maintenant cette douce et sensuelle ville de Lyon de son manteau blanc.
Dans cette cour intérieure, la lumière est différente. La lumière du jour diminue, mais la blancheur de ce nouveau drap crémeux éclaire chaque détail d'une lueur nouvelle. Les traces de pas ne sont pas encore nombreuses, et rares sont ceux qui sont allés poser leurs détritus au fond de la cour ... Les poubelles qui souvent débordent sont étonnamment bien rangées. Sous quelques centimètres de blancheur, leurs pureté apparente apaise au milieu de cette cour déserte.
En face, quelques lumières commencent à s'éclairer. Les enfants sont rentrés de l'école. Les batailles de boules de neiges sur le chemin du retour les ont un peu retardés. Chaque voiture, la tienne, la mienne, aura la trace de leurs mains saisissant de quoi faire quelques boules.
Les balcons sont encore à l'abri des éléments, mais les fleurs ont fané, les plantes sont vert terne. La ville vire au blanc sur blanc, dans un silence voluptueux.

Nous n'avons rien entendu, ni les flocons tomber, ni le silence s'emparer de la cité. Lorsque les vagues m'ont submergée et que j'ai hurlé mon plaisir ... lorsque tu as rugi en moi ... Nous n'avons rien vu de ce monde qui changeait.
Le ciel s'est voilé pendant que toi, mon doux amant, tu ouvrais mon corsage. La ville s'est drapée dans cette laiteuse pureté tandis que nos corps enfin nus quittaient la dernière dentelle, le dernier bijou. Le silence quasi divin s'est emparé de la ville quand tu m'as mis le diable au corps ... Entre mes reins tu as glissé ton suc immaculé, sous mes caresses, entre les draps froissés tu t'es assoupi. Quand le silence s'est emparé de la chambre, la ville s'était tue depuis longtemps déjà ...

Je suis à la fenêtre, à regarder les gros flocons tomber. Lyon sous 10 centimètres de neige fraiche. Tu es dans ce grand lit, nu. La lumière des impostes dessine ton dos en chair et ombres. Je m'approche à nouveaux de toi, écarte le drap, te suggère une caresse indécente sur ton corps encore luisant de nos sueurs ... pour ouvrir de nouveaux ébats scandaleux.

mardi 11 août 2009

Les fantasmes des Suédoises

Beaucoup de nous fantasment sur les Scandinaves, et en particulier les Suédoises, grandes blondes à forte poitrine. Mais sur quoi fantasment elles en retour ?

Il faut tout d'abord établir une vérité sur le choc en arrivant en Suède. Certes les filles sont belles, très belles. Certes, elles sont grandes et blondes. Mais le premier choc, c'est les mâles. Les Suédois sont tous grand et blonds, et là où vous pouviez afficher un physique avantageux, vous paraissez freluquet face à ces Goths.

Mais revenons en aux Suédoises. Un récent champion de tennis venu au tournoi ATP de Stockholm répondait à la presse sur sa difficulté à se concentrer, tellement la densité belles filles dans le public était haute ... Il y a des belles filles partout. En pull et anoraks, certes, mais pas toujours, notamment dès que vous entrez dans un restau, un bar ou un club.

J'y étais encore récemment début juillet de l'année dernière, et lorsque le ciel passe de soleil vers bleu sombre, puis vers soleil de nouveau (jamais de nuit noire à Stockholm en été), j'ai posé la questions aux filles qui m'entouraient sur leurs fantasmes.

Ces filles qui sont si faciles. Ces filles sans tabous. Ces "dates" qui ne sont pas des dates : les fika. Celles qui pratiquent sans culpabilité le casual sex ...

Oui, ces filles là ... fantasment sur le french lover ou l'Italian stalion (l'étalon Italien). Le brun ténébreux aux yeux bleus ou verts les fait litérallement craquer ... Et elles ne jettent pas leur mouchoir au sol en guise d'avance ... la main sur la cuisse ou l'avance verbale directe sont de mise ...

Je n'arrive pas à me souvenir quand j'ai dormi lors de ce séjour ... trop court.

vendredi 7 août 2009

La peau se souvient

Ma peau se souvient de toi. Voilà le plus beau compliment "tendresse" que j'ai reçu en cadeau.

La peau est une zone érogène, et surtout, la plus vaste, la plus variée, et la première à conquérir.

Du bout des doigts, de la paume des mains, avec les lèvres, la langue ou le reste du corps ...

Se toucher la nuque, les épaules, les jambes, les genoux, le dos, les lèvres, lentement, avec tendresse, est d'un érotique très puissant. Rester longtemps entre réalité et septième ciel offre au corps de délicieux souvenirs cutanés.

Par des rituels de massages ou de bains, la proximité vient et les deux corps qui se connaissent vibrent avant même la caresse. Faire ce jeu les yeux bandés ou dans le noir total assure une sensation tactile décuplée. Garder ses sous vêtement limite tout empressement.

Et lorsqu'après l'amour, nu, les corps fourbus de ces délicieuses courbatures, se touchent et se frôlent de nouveau, c'est une nouvelle symphonie des sens qui commence ...

mercredi 5 août 2009

L'amant idéal tel que le fantasment les femmes

Mais quel est cet amant idéal qui emplit les jours et les nuits des femmes ? Ou comment le devenir en cultivant tout ce qui les fait vibrer ?

Tout d'abord, il faut bien garder en tête que la femme qui rêve à un amant est en phase de frustration sexuelle avec son mari/conjoint, de désert sexuel ou de reconstruction de son idéal masculin. Il ne faut pas ignorer cette situation.

Son amante est unique, il faut le vivre et le dire.

En tout premier, l'amant idéal, c'est un romantique. Il s'oublie un peu et approche son amante comme une reine, lui fait la cour à l'ancienne.

Il sait être tendre tout le temps, avant, pendant et après les orgasmes. Ses mains courent sur le dos de sa partenaire après le grand frisson, il sait offrir des massages avant et après l'amour.

Ensuite, au lit, c'est plus un amant qu'un hardeur. Il cherche à offrir du plaisir dans un confort au féminin plutôt que répéter les défi de gymnastes plus pornos que coquin.

Il ne demande jamais une évaluation pathétique de sa performance, ni ne fait de commentaire de collectionneur sur les capacités ou caractéristiques intimes de son amante.

Il ne cherche pas à explorer le passé de son amante et dénigrer les hommes passés de son amante. Il ne liste pas non plus son catalogue de conquêtes, et surtout ne cherche pas à faire rentrer son amante dans une case de sa collection.

C'est un homme avec de l'expérience. Il n'a pas de tabous mais sait comprendre des limites et des interdits. Il sait les contourner, offrir, suggérer mais impulser une dynamique nouvelle aussi. Il sait être entreprenant est défricher des jardins secrets en jachère. Il connait le corps d'une femme et sait en virtuose obtenir tout ce que d'autres n'ont pas su déclencher comme "good vibrations".

C'est un homme endurant, sans défaillances majeures. Plus proche du coureur de fond que du sprinteur, il connais son rythme et ses pulsations et sait offrir quelques frissons au féminin sans sombrer immédiatement dans le bouquet final suivi de ronflements que l'amante connait à la maison.

C'est un homme droit et intègre. Il ne ment pas sur sa situation et ne formule pas de promesses intenables. Il n'est pas envahissant et ne fera pas effraction dans la bulle de son amante, et sera présent quand elle aura besoin de lui.

C'est un amant sensible. Il accepte sa part de féminité et ouvre son coeur. C'est d'ailleurs son coeur et sa sensibilité que son amante aime en premier ... et qui ouvre toutes les portes.

L'amant idéal, c'est celui qui rappelle, celui qui laisse des messages, celui qui sera encore là demain et au delà des vacances ...

Serait-ce le prince charmant ou l'amant singulier ? C'est en tout cas celui qu'on a l'impression de tromper de retour avec son mari.

Difficile de le devenir, cet amant idéal ... mais voici en quelques lignes le rêve d'amant idéal verbalisé (ou non) dans le creux de mon oreille.

lundi 3 août 2009

Offrir ses fesses à un amant d'un soir

Offrir ses fesses à son amant du soir, ce tout nouvel amant qui n'a encore offert aucun orgasme féminin ... voilà un fantasme de femme auquel je ne m'attendais pas.

Le plaisir anal, la sodomie est synonyme de plaisir féminin ... en théorie ... et entre théorie et pratique, il y a un léger décalage qui s'appelle expérience. Le plaisir anal ne vient au féminin qu'avec une tendresse pleine de précautions d'un amant pour qui ces élans sont évidents.

L'amante qui tend sa croupe à la première joute, qui cherche à comprimer le membre de son nouvel amant à l'intérieur de son séant, qui décline tout autre accès que la face nord au premier rapport ... fait preuve d'une véritable envie fantasmatique d'être baisée, et uniquement baisée ...

En niant toute intimité charnelle, en refusant son propre accès au plaisir, elle s'imposait le rôle de la soubrette ... offrir du plaisir à sens unique.

En franchissant cet interdit suprême, avec un inconnu mâle dit-dominant ... et surtout en imposant de force à mon membre gourmand son cul indécent ... Elle pulvérisa ce fantasme pour le rendre acceptable tout en étant hors du commun ... Et remplit par la même occasion ses envies d'être soubrette, d'une homme qui la prendrait sans retenue, et à qui elle imposerait un plaisir sans retour ... Fantasme de la prostituée ?
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