vendredi 17 juillet 2009

Glisse toi entre mes fesses, fais moi jouir à l'envers

Glisse toi entre mes fesses, prends moi par derrière ... Elle avait toujours fantasmé de se faire prendre à l'envers par une belle et large queue qui laisserait son empreinte entre délices et supplice.

Son homme avait bien parcouru son corps de long en large et pratiqué tout ce que Rocco et Canal+ lui avait laissé comme éducation sexuelle si ordinaire ...

Mais jamais elle n'avait pris de plaisir, ni dans la brièveté et brutalité de ces ébats conjugaux, ni dans le mélange de douceurs et douleurs ... Elle n'avait de lui que le devoir conjugal et la douleur d'un mâle qui ne sait faire que du mal et si peu de bien ... elle ne vivait son fantasme que par les écrits érotiques qui laissent tant d'amertume, mais tant de rêves éveillés aussi.

Lorsqu'elle voulu passer de la discussion à la rencontre, elle me demanda de l'initier à ce désir. Elle vint à moi avec ses huiles de massages, et moi avec mes mains de masseur amateur. Notre balet érotique de découverte mutuelle nous amena à être effeuillé progressivement, et nous trouvés nus sur un drap froissé, quelques centaines de baisers et un orgasme partagé plus tard ...

Couchée sur le ventre, son dos luisait encore de la sueur de nos ébats. Mes mains enduite de la mixture complice, je glissais le long de sa colonne, puis de chaque muscle. Caresse ou massages, éffleurer puis palper, embrasser puis frictionner. J'étais assis sur ses cuisses, ma verge encore luisante de nos envies assouvies entre ses cuisses, posées entre ses fesses. Chacun de ses râles était un appel à plus de fusion. Mes doigts glissaient de plus en plus loin au delà du coccyx, pour ouvrir ses deux belles fesses et filer vers sa fente intime. En remontant, j'huillais toute son intimité. Son petit trou pointait de plus en plus et ma queue étant redevenue ferme comme un dard de jeune bourdon, il me suffit de glisser un oreiller sous son ventre, de libérer ses cuisses et de les ouvrir, pour voir combien son envie était irresistible...

Mes doigts entre ses lèvres, ma queue entre ses fesses si accueillantes, elle eu un de ses frissons qu'elle ne su décrire. Une sorte de mélange entre une douce effraction et un plaisir dont on se sait plus d'où il vient. Un frisson, une vague de frisson, une déferlante de frissons proche de la convulsion ... Elle inclinait tantôt sa croupe pour saisir ma queue jusqu'à la garde, tantôt se dérobait presque pour sentir le passage à peine libéré de mon gland, pour se replanter sur ma dague suintante de désir ... jusquà la garde de nouveau.

Je me suis endormi sur son dos, ou contre son dos, et nos rêves d'amants diurnes répetaient sans cesse ce fantasme incarné ... Prends mes fesses, glisse ta queue enntre mes fesses, fais moi jouir à l'envers.

18 commentaires:

  1. Ed,



    Quel magnifique texte tu nous offres là...



    Merci pour ces plaisirs charnels si bien décrits: doux, sensibles, forts, simples...



    Je fais passer le lien à des amis. :)


    Diane

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  2. J'aime beaucoup votre façon d'écrire. C'est à la fois sauvage et sensuel....Continuez , je me régale à chaque nouveau billet.

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  3. "Une sorte de mélange entre une douce efraction et un plaisir dont on ne sait plus d'où il vient. Un frisson, une vague de frssons, une déferlante de frissons prochent de la convulsion."
    C'est exactement cela ! Exaltante et enivrante sensation.

    Oranne

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  4. c du vrai plaisir que tu viens de nous raconter

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  5. Bonjour,

    Oui ... je m'en délecte encore en souvenirs ...

    Ed

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  6. j'men branlerais bien

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  7. Encore Wahou :)
    Est-ce que la recette c'est de rester soi-même ? (répondez-moi par mail)

    Bref ! Bonne continuation :)

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  8. @Bruno :

    Je ne sais pas s'il y a une recette, mais en tout état de cause, il y a des ingrédients. L'alchimie, l'amalgame prend ou ne prend pas selon les situations ... Mais les ingrédients ne sont pas négociables ... ils sont tous dans les faisceau synonymes de attention, patience, écoute, mystère, persévérance, partage, offrande, raffinement, sensualité ...

    Bonne route
    Ed

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  9. Et ces fesses, Ed, ces fesses! mmmm, miam de désir et de d'extrême Gourmandîse,

    sourires, baiser-s- Ludie

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  10. @Ludie :

    Superbe postérieur, superbe dos ... une perspective extraordinaire pour gourmet de l'oeillet.

    Ed

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  11. je rêve souvant à ce fantasme seulement je n'ose l'exprimer à mes partenaire. Un derrière prend un dimention bien réel, comme le chauffé par des petites tapes, un ou duex doix doivent prendre un certaine ampleur dans sa violet africaine, un beau cul bien préparer dois gravité d'une assention mutuel ....

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    1. @Anonyme :

      Il vous faut chercher un amant anonyme, car il n'y aura pas d'enjeu à se draper avec lui dans ces chemins de luxure. Trouvez le tendre et fougueux, qu'il sache vous fendre avec sa queue, qu'il sache vous ouvrir de nouvelles sensations pénétrantes, percutantes ...

      Ed

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  12. Quand la douleur laisse progressivement place au plaisir qui m'inonde. Quel délice alors de me sentir pleine, et comme prise au piège du désir de soumission, de l'abandon des sensations extrêmes.. un vrai régal.

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    1. @Anonyme :

      Ce passage d'un bord de la rivière à l'autre est si personnel qu'il n'existe pas vraiment de similitudes entre les femmes que j'ai connues à l'envers. Certaines aimaient se faire souiller, humilier ou dominer. D'autre imaginaient posséder leur amant en leur offrant leur cul en friandise. Mais les plus enivrantes expériences ont été avec celles qui, dans un formidable lâcher prise, se retrouvaient emplies et au bord du gouffre de la jouissance, et hurlaient ce plaisir qui, selon leur mot, ne venait de nulle part et sortaient de partout pour les remplir entièrement ...

      un vrai régal.

      Ed

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  13. Réponses
    1. @Anonyme :

      Tout reste à vivre, encore et encore ... Car le vivre sublime les mots, l'écrire sublime l'écho.

      Ed

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  14. Encore un texte qui va mettre nos sens en émoi... j'aime beaucoup l'expression "jouir à l'envers" :-)

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