vendredi 30 janvier 2009

Zob in Job, Sexe au bureau


Lorsqu'une femme devient active sur le terrain de jeu du bureau, les hommes sont souvent désarçonnés. Les hommes considèrent souvent leurs employées féminines comme des objets de leur désir, niant leurs vies familiales et souvent toute courtoisie, courbant pour l'occasion toute la rationalité de gestion des ressources humaines.

La femme, qu'elle vise sont employé, son collatéral ou son boss, use des mêmes techniques de proximité.

La femme mariée qui fantasme sur vous ... ne cherche pas une vie, mais une ou quelques nuits. Elle fantasme sur vous et vous surprenez des regards appuyés en réunion, sa présence systématique aux pauses cafés ou cigarettes. Une fois que vous savez, ça vous obsède en écho d'être l'objet des fantasmes d'une femme qui passe 10 heures par jour avec vous et dont vous ignoriez tout il y a quelques semaines. Vous êtes dans ses filets et elle le sait.

"Le seul moyen de se délivrer d'une tentation, c'est d'y céder. résistez et votre âme se rend malade à force de languir ce qu'elle s'interdit", Wilde

jeudi 29 janvier 2009

Fraise et nombril


Déguster des fruits sur mon corps a longtemps été un étonnement. La fraise, la groseille, la framboise et le grain de raisin semblent obtenir les préférences féminines. Heureusement pour mon ventre, l'ananas ou la noix de coco ont été disqualifiées.

Mon étonnement était proche de l'amusement, préliminaire langoureux, homme objet immobile, fellation sans le dire, par procuration. Parade de séduction, langue ludique sur fruit pas si défendu, caresses buccales sur mon ventre, furieuses tentations de croquer ce désir, de me cambrer et de la saisir, résister et s'offrir en gourmandise ...

Tout ceci a pris une tournure inespérée lorsque ce fantasme m'a permis de la voir littéralement fondre de plaisir. Un délicieux orgasme si particulier qu'il semble avoir été allumé frisson sur toute la surface de sa peau avant de se rompre en spasme, inondation et incendie entre ses cuisses.

Sublime !

Dommage, je n'ai jamais trouvé la clef de ce fantasme, de cet orgasme par l'entremise d'une fraise et de mon nombril.

mardi 27 janvier 2009

Faire l'amour enceinte, avec un amant


Faire l'amour enceinte relève vraiment du don de soi, du partage des sensations et le l'amour avec un grand A.

Aussi, quand l'amante tombe enceinte (de son mari ou conjoint), elle s'éloigne souvent de son amant pour préserver cette bulle intime. Culpabilisation, interdits, manque d'envie des premiers mois, impossibilité de planning ou retour aux valeurs.

Il m'est arrivé plusieurs fois de vivre l'inverse, quand elles étaient repoussée par un homme qui oublie sa femme quand nait la mère.

L'emprise des hormones était si forte ...

Désarçonnée par cet homme qui subitement dit non, la femme enceinte qui cherche ou se rapproche d'un amant est décidée. Elle veut du plaisir, mais en version slow motion. Elle en a marre de ses propres doigts et elle est en colère contre son homme. Elle veut être touchée et calinée sur tout le corps. C'est la célébration de la vie, de la tendresse, de la passion langoureuse et de l'amour.

Au fur et à mesure que le ventre prendra de la place, les positions se réduiront au cunnilingus et à la petite cuillère. Toujours en lenteur, sans aucun heurts. L'orgasme est différent. Au début, il est violent et c'est ce trop plein d'hormone qui stimule cette puissance. Puis, vers 7 mois, on se retrouve plus à jouer les anges immobiles, entre deux nuages (oreillers), à se caresser et masser l'un l'autre, lovés l'un dans l'autre, à se couvrir de baisers et à partager ces instants infinis.

L'Homme Objet



L'homme objet, le coup d'un soir, le one-shot, le fond d'écran, le Rocco, le plan cul, le calendrier ... J'en passe et des meilleures.

Avoir été homme objet ne relève pas de la gageure. Faire parler une femme de son fantasme d'homme objet avec son homme objet est plus compliqué. Il y a d'ailleurs un effet quantique ... le simple fait de parler disqualifie l'homme objet et le ramène (rabaisse ?) immédiatement au statut d'homme.

L'homme objet ne parle pas. Il n'est pas engagé pour ça. Il n'y a d'ailleurs pas d'engagement, pas de contrat, pas de conséquences. On est là pour du sexe et c'est tout. La femme connait son homme, c'est un homme typique. Typique dans le sens où tout ce qu'il va faire est prévu. S'il lui est permis de faire quelquechose.

Attaché, les yeux bandés ou bâillonne, il ne peut pas ou ne sait pas faire de fantaisie. Seul son corps parle. Ce qu'on lui demande, c'est de l'endurance.

Elle veut du pouvoir. C'est une forte motivation. Souvent, l'homme objet n'a pas de prénom, il ne répond qu'aux impératifs : tourne toi, déshabille toi, vas te laver les mains, masse moi, lêche moi ... En retour, il lui est demandé de personnifier la femme par son prénom, par du vouvoiement ...

Elle, elle veut du sexe. Longtemps. Elle en manquait. Que ça dure et que ça lui arrache des rugissements multiples. Elle veut sa sueur mais pas sa semence. Ou pas tout de suite ... au bout de 3 heures minimum.

Attention, l'homme objet doit rester à la disposition de la femme. C'est la femme qui relance ou éconduit.

lundi 26 janvier 2009

Se faire déguster dans un fauteuil


Se faire déguster dans un fauteuil, voilà un fantasme de femme accomplie.
Assise sur un fauteuil un rien voluptueux, poser une jambe sur un accoudoir, et se faire déguster par un amant à genoux, je crois qu'aucune femme ne refuserait un scénario comme celui-ci.

Quant à l'imaginer et l'orchestrer, il suffit de trouver l'amant approprié.
Celui qui saura interrompre le thé, ou vous asseoir délicatement ou encore vous bousculer au fond du Napoléon, c'est selon.
Celui qui saura parcourir vos jambes et glisser ses lèvres sur vos cuisses, remonter en douce caresses sous l'étoffe de vos coulisses, et chercher en frissons à combler vos caprices.
Celui qui saura, à genoux à vos pieds, offrir l'apparence de l'amant soumis, et cadencer le battement de vos fluides à travers votre poitrine, glisser sa langue sur les pétales offerts et se laisser tirer les cheveux, offrir un tango vite-vite-lent et un plaisir charnel que l'on voudrait éternel.

Peu nombreuses sont les femmes qui acceptent de se voir offrir un (ou des) orgasmes sans retour. Le fauteuil est pour celles ci le royaume des sens incarnés, où corps et fauteuils se confondent dans un plaisir de sixième ciel lascif et infini (ou presque).

vendredi 23 janvier 2009

L'amour en voiture

L'amour en voiture reste un fantasme masculin et féminin.

Souvent, on s'y retrouve par nécessite, par hasard ou par pulsion du moment.

Ce qui est clair, c'est que la phase d'effeuillage est peu sensuelle. Se déshabiller en voiture, même partiellement, relève de la contorsion plus que de la parade amoureuse. Préférez la jupe au jean qui s'enfile à plat ventre sur le lit.

Les positions aussi sont limitées. On est plus proche du sport que de la tendre fusion des corps.

La voiture joue le rôle d'une bulle intime, pour peu qu'elle soit cachée au fond d'un parking, à l'ombre.

L'impact est fort et intense. La pénétration est quasi obligatoire tant les positions 69 sont peu pratiques dans une voiture normale.

La préférée des femmes est souvent de s'empaler sur un mâle encore ligoté dans un pantalon qu'il a sur les genoux. Elle se saisit du désir de l'homme et le glisse en elle. Puis, s'appuyant sur les fauteuils, poignées ou volant, elle va et vient en imposant le rythme. L'homme se trouve souvent coincé entre raidir son arme, pointer son bassin ou se saisir de seins souvent encore sous dentelle.

Le désir monté violemment est rapidement rejoint par le plaisir. Même si les vitres se couvrent de buée, c'est plus le signe de l'agitation que de la durée. Le coït surgit très vite.

Fourbu, l'un sur l'autre, l'un dans l'autre, dans cette position inconfortable qu'on ne peut pas quitter confortablement, on se demande à chaque fois quelle pulsion nous a poussé à encore faire cette folie d'étudiant.

mardi 20 janvier 2009

Coucher la première fois, avec un inconnu




Coucher le premier soir (ou l'après midi) avec un inconnu, avoir une aventure d'une fois est souvent très fantasmatique pour une femme. Elle prend le pouvoir sur la relation homme-femme et décide quand elle appuie sur le bouton start et quand elle appuie sur le bouton stop.

Dans sa vraie vie, si elle couchait le premier soir, elle serait vite entourée du qualificatif de femme facile ou de salope. Dans son fantasme, elle ne fait qu'écouter son corps et céder à la tentation.

J'ai de multiples fois été l'instrument de ce fantasme. Anonyme, j'ai été l'amant fantasmé qui, dans l'instant présent, fait rimer tentation et pulsion, désir et plaisir. Sans enjeu, la femme s'abandonne à formuler ses désirs d'être caressée, déshabillée, regardée, parcourue de mille caresses, embrassée sur toutes ses courbes.

Dans ce ballet anonyme, les deux désirs sont amenés à un choc frontal. C'est une conquête de l'autre, une découverte de l'inconnu.

Est elle douce, est elle charnue ? Aime t elle si je lui mordille les oreilles ? Préfère t elle ma langue ou mon dard ? Est elle ample ou étroite ? Préfère t elle être dessus ou aime t elle que je la couvre ? Aime t elle m'avoir entre ses cuisses ou aime t elle cambrer sa croupe ?

Est il tendre et me caressera t il longuement ? Sait il embrasser ? Sera t il l'amant idéal imaginé ? Saura t il trouver la clef de mon plaisir ? Sait il où se trouve mon petit abricot ? Comment fond il ? J'espère qu'il ne dort pas après ! Et si j'ai encore envie, sera t il assez vaillant pour me prendre encore une fois ?

Sans honte ni culpabilité, elles se sont abandonnées à jouir d'une relation furtive et torride ...

jeudi 15 janvier 2009

Fantasmes singuliers


Voilà, j'ouvre un blog pour parler de ses fantasmes. Ses fantasmes singuliers, des fois pluriels ... fantasmes féminins.

Fanstasmes dont moi, homme, je suis l'instrument, l'objet, le sujet, le chef d'orchestre ...

Elle, c'est LA femme. Elle est jeune ou plus mature, mariée ou célibataire, libertine ou à la recherche de parenthèses ... Elle sait ce qu'elle veut. Ou plus souvent, elle sait ce qu'elle ne veut pas.

Elle ne veut pas de train-train, d'attaches, de vulgarité, de violences gratuites, de pots de colle.

Elle veut l'anonymat et jouir de son corps.

Elle a gardé en elle des fantasmes non assouvis. Non assouvis parce que trop impliquants ou impossibles à réaliser avec un conjoint sans ébrécher une relation équilibrée.

Elle les veut tous. Et je vais vous les conter ici. Ca c'est passé à Lyon, ça se passe à Lyon ... entre Rhône et Saône.
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