vendredi 30 septembre 2011

Je me sens étalon quand tu m'ouvres tes draps après elle (version verso)

Quand je sors de chez une amante et que tu m'appelles, je sais que c'est un moi différent que je vais t'offrir. Je me sens désiré quand tu insistes, je me sens étalon quand je te prends.

Quand je sors de chez une amante et je que je t'appelle, je sais que tu sauras être cette femme fatale, un rien chienne, un rien mienne, et que effacera ce sentiment d'inachevé de cette matinée pas si jouissive qu'espéré. Je me sens incomplet sans toi, je me sens étalon en toi.

Je suis tellement avide de toi que je te capte à peine la porte franchie. Le canapé ou le lit restent mes complices favoris. Point besoin de se dire bonjour, ma bouche couvre la tienne, et mes mains te saisissent. Je me sens tellement puissant que je te prends sans ménagements, que je t'enfonce mon désir au plus profond de ta chatte. Ma queue est raide comme jamais, turgescente, regorgée d'énergie. Sans risquer de délivrer une goutte de nectar, je porte de multiples charges à l'endroit, à l'envers, allant décrocher tes orgasmes toutes les 5 minutes comme on collectionne des trophées. Puis, quand la queue me brûle, quand ta chatte se fait sèche, quand nos corps glissent l'un contre l'autre de la sueur suintante de nos ébats torrides, je cherche dans un feu d'artifice final à jouir de toi, un orgasme sec et hurlant, sans grande effusion de mon nectar mais en couvrant tes râles par le vacarme de cette ultime agonie, en défiant de nouveau tes sens, rugir ensemble comme si nos corps fusionnaient en s'embrasant.

Alors, je te regarde, fourbue, les cheveux en bataille et les yeux hagards, la chatte franchement défaite, accablée de mes pulsions, je laisse ma tension s'échapper, imaginant déjà les courbatures aux abdos du lendemain et savourant la félicité d'avoir été si vaillant pour tant jouir de toi, de t'avoir engourdie de tant d'orgasmes, de t'avoir retrouvée, toi, mon amante, mon point de repère, mon centre.

Cette fois ci, j'ai été ton mâle. Mardi prochain, promis, je reviens avec mes mains, ma langue et mes baisers, pour incarner ton éternel fantasme, selon tes mots, la meilleure lesbienne que tu aies eu entre les cuisses.


mardi 27 septembre 2011

Tu es d'une violence quand tu me baises juste après ton autre amante ! (version recto)

J'aime cette dualité en toi. Une infinie tendresse et parfois, parfois seulement heureusement, une violence qui retourne.

C'est quand tu sors de chez ton autre amante que je sens cette violence en toi. Tes geste plus pressants, plus directs. Tu me poses littéralement sur le lit pour me baiser sur le champs. La dernière fois, tu n'avais même pas pris la peine de fermer la porte palière.

Je sais que tu peux me faire jouir en 30 secondes, mais souvent, je te sens louvoyer pour résister à la déferlante et m'offrir des rafales d'orgasmes avant de te lâcher et m'inonder.

Mais là, quand ta queue est tout juste remise, que tes bourses sont vides de tes élans du matin, tu es ferme et orgueilleux de pouvoir pilonner sans changer de rythme, sans risquer de défaillir, poser tes mains sur mes carotides, écarter mes fesses pour t'enfoncer plus encore, et finalement me brûler de ton désir si ardent avant de fondre dans un rugissement qui couvre le mien.

Je ne sais pas si je fais bien de te laisser mes clés, pour que tu puisses venir comme ça à l'improviste, et disposer de mon corps quand tu veux ... ça me retourne, j'adore, j'aimerai juste être sûre que tu manques de moi après elle, et jamais le contraire.
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