jeudi 17 novembre 2016

Initiation à la sodomie

J'étais alors un jeune mâle mal dégrossi, et j'avais connu peu de femmes, charnellement. Ce soir là, je retrouvais en boite une correspondante, rencontrée sur un chat. Elle était infirmière et traînait sur les canapés avec une de ses copines. Nous nous sommes aiguillonnés l'un l'autre sur les idées toutes faites autour du métier d'infirmière. Évidemment, elle répondait à mes tentatives de déstabilisations par d'autres poncifs sur la taille, ou sur l'age des amants ... La soirée fut belle et elle m’invita à la suivre en voiture jusque chez elle.

Entrés sur la pointe des pieds dans son appartement, ou semblaient dormir ses enfants, elle ferma vite la porte du salon et mis un peu de musique. Ma toute première écoute des Pixies !

Je ne me souviens plus de tout de nos élans, mais je me souviens bien du moment où, au milieu de la nuit, son corps luisant d'avoir visité le septième ciel, ma hampe encore pleine de vigueur, elle s'est mise à genoux entre mes cuisses. Elle a saisi mon arme, posé langoureusement ses lèvres en moult baisers, et murmuré un "j'ai tellement envie de m'empaler sur toi".

Elle en était presque confuse d'avoir ce désir, presque honteuse d'avoir à le verbaliser.

Ce fut une initiation pour moi. La belle prit l’initiative et me colla au fond de son canapé, immobile ou immobilisé, ou les deux qui sait ... la tige en l'air. Elle commença à s'assurer de ma vigueur, et à humidifier mon gland avec une salive abondante. Être pris en main, être immobilisé, et sentir une femme se servir de moi, de mon corps !

Puis, elle grimpa sur le sofa, et s’accroupit lentement. Son corps en déséquilibre, je la regardais faire sans sourciller. D'une main assurée, et tendit sa fente vers l'avant, ou peut être était-ce un basculement du bassin, et d'une autre main, s'assura de poser mon gland sur son bouton gourmand. Puis, en ouvrant les yeux comme si elle tombait en embuscade, elle laissa son corps choir de sa position inconfortable, et avaler ma proposition. Je sentais son oeillet résister ... puis céder presque d'un coup ... et enfin, d'une pression tout autour, ouvrir une voie totalement nouvelle pour moi et mes émois.

Je me souviens de ses grands yeux, entre jouissance et pénitence ... elle qui était sur la corde de la culpabilité. Je me souviens du délice, ces pressions si différentes, qui enserrent sur tout le pourtour et excite le dard d'une chaleur, d'une ardeur si particulière. Je me souviens de son bassin roulant, à croupi sur mon dard. Je me souviens du point de vue sur mon dard, brillant dans la lumière rasante, entrer et sortir de sa croupe, sans jamais laisser apparaître le gland. Je me souviens de ses lourds seins et de ses mains qui caressaient presque sans relâche ces démons de plaisir en liberté. Je me de son corps qui cherchait alternativement appui pour ne pas tomber ... et qui, déchirant le silence dans des convulsions moins civilisée, orgasma comme une bête sauvage ... je me souviens l'avoir remplie de mon nectar tiède, dans un jet compressé puis puissant et joui en même temps qu'elle ... et accueilli son corps éreinté, comblé, et suintant de désir ... soudainement sans énergie, avachi ... et moi entre le sofa et cette "sublime enculée"
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