lundi 26 juillet 2010

Double pénétration : j'ai adoré (3/3)

Je rêve d'une double pénétration, mais il me faudra une longue préparation anale.

[... Suite ...]

- Mon cher amant, j'ai aaaaadooooooré cette double pénétration. Voyez vous, j'avais quelques appréhensions. Mais elles ont disparu au fur et à mesure que vous avanciez avec maîtrise et tact sur ce sujet.
Le contexte était un peu fou. Je vous ai cherché longtemps. Et ils ont été nombreux les faux princes à se présenter à moi avec une belle armure, une belle monture et un étendard flamboyant. Mais tous ne rêvaient que de l'estocade dans une joute à un seul impact. Ils ont tous failli me détourner de vous.
Vous ne cherchiez que la princesse. Sous une approche épistolaire, vous m'avez charmée en émoustillant mes fantasmes. Vous avez eu une manche, l'autre, et nous voilà à conclure la belle. Vous avez gagné les trois, ma chatte, mon cul, et les deux à la fois.
Voyez vous, ma rose brune était sauvage, restée à l'abandon depuis trop longtemps. Il me fallait un jardinier pour restaurer sa superbe. Et surtout, un jardinier plus caressant que pénétrant ... que j'inviterai à enfoncer plutôt qu'à effleurer.
Mais le plus beau fût votre capacité à trouver cette perle, ce troisième homme.
- Vous l'avez trouvé à votre goût ?
- Pas tout le temps, il n'a pas les mêmes qualités et les mêmes déficiences que vous.
- Hmmmm .... par exemple ?
- Comment dire ... son armure, il ne l'enlève jamais totalement, il y aura toujours cette barrière de poils entre sa peau et ma langue. Vous, vous m'offrez une peau lisse qu'il m'est agréable de lécher partout. Même quand vous vous négligez quelques jours, j'aime laisser courir ma langue sur vos duvets intimes mi doux, mi dru ... entre virilité et jeune éphèbe juste pubère.
- Et ses qualité supplémentaires ?
- Je vais vous flatter ... la première qualité, c'est que cet homme, je ne l'aurai jamais pris pour amant s'il n'était pas venu par vous. Et quelle surprise à le voir pénétrant et endurant à souhait. Il est tout le contraire de vous. Vous caressez trop longtemps avant de me prendre à mon goût, je vous l'ai déjà dit. Lui porterait l'estocade avant la première caresse si vous n'aviez pas scénarisé notre trio. Vous m'avez donc trouvé un autre amant qui était vaillant sans rester dans votre ombre, sans être votre siamois, sans être une caricature de mâle ...
- Qu'avez vous préféré ?
- Tout, tout et tout. Tout a commencé de la plus belle manière. J'étais à l'écoute quand vous lui avez parlé au téléphone. J'attendais de savoir si sa voix me ferai vibrer. Et ce fut le cas. Quand il a poussé la porte et qu'il vous a répondu, j'ai cru défaillir tellement sa voix rauque présageait de la puissance. Vous saviez n'est-ce pas ?
- Je n'avais pas prévu tant de frissons, mais en vous bandant les yeux, je savais que j'allais dynamiser votre découverte.
- Baiser en double aveugle ... c'est ça finalement le nom de ce fantasme.
- Belle métaphore en effet.
- Quand il m'a touchée, j'étais sûre que c'était lui. J'ai tout de suite senti ses mains plus froides que les vôtres. Il n'avait pas votre signature non plus. C'est au bout de quelques instants que j'ai compris que sa voix serait rare parce que vous imposiez le silence. Vous étiez là, je sentais vos bras, quand cet encore inconnu s'est approché de mon corps sans défenses. Je me suis jetée dans ce vide vers cet inconnu, et vos bras étaient là autour de moi.
Et quels émois. Quand il a mis sa main sur mon visage, et qu'il a sensuellement palpé mes lèvres. J'ai vraiment senti cette double présence ... vos effleurements et ses impacts directs.
Vous m'avez ensuite demandé de me lever face à lui. Debout face à cet homme. Il n'était finalement pas plus grand que moi. Certes, j'avais encore bas et talons, mais vous aviez exigé que j'écarte les cuisses. Pendant qu'il me pétrissait les seins, vous effleuriez ma chatte et mon cul.
- Votre rêve prenait corps.
- Oui ! surtout quand sa main est venue en moi aussi. j'étais humide comme une chienne en chaleur. Vos deux mains découvrant ma chatte, c'était tant de sensations. Je sentais le tourbillons des sens me prendre et ma chatte s'échauffer au fur et à mesure. C'est quand il a ouvert mes lèvres pour que vous y glissiez vos doigts que j'ai hurlé d'être sous votre domination. Vos longs doigts en moi, votre souffle chaud sur ma croupe, et lui, cet inconnu en face de moi, qui m'ouvrait la chatte sans m'embrasser.
- Il vous a embrassé comme un sauvage non ?
- Non, il a commencé par pétrir mes seins que vous aviez recouvert de dentelle. Il a délogé mes globes de leurs bonnets pour mieux les prendre, les pincer, les mordiller. Et quand vous aviez vos doigts en moi, il a commencé à me mordiller comme s'il voulait me faire mal. J'étais entre délices et supplice, comme vous me l'aviez promis. tétons fermes et au bord de la douleur, chatte fontaine de tant de douceurs.
- Vous vous rappelez quand j'ai guidé votre main ?
- Vous avez aimé me pousser vers lui, n'est ce pas ?
- Vous avez aimé que je mette votre main sur sa queue ?
- Oui, j'ai adoré. Vous sentir me combler, et trouver cette queue vaillante et offerte à découvrir. Il s'est stoppé net, comme étonné. J'ai remonté doucement ma paume le long de ses bourses, puis en refermant mes doigts autour de sa tige, j'ai jaugé l'appareil. Pas mal !!! Il me semblait plus large que vous au premier abord ... aussi, j'ai craint pour mes orifices ...
Il s'est écarté d'un pas et j'ai pu me cambrer pour descendre ma bouche sur sa queue. Je convoitais cet instant que j'avais rêvé, en me privant du regard, vous l'avez décuplé en sensations.
- Je l'ai vu au moment où vos lèvres se sont posées sur lui. Il s'est ... figé.
- C'est cette sensation que j'ai trouvé extraordinaire. J'avais les yeux bandé et je ne pouvais rien savoir de lui, de vous, de vos clins d'oeil, de vos signes et attouchements ... et j'avais toujours l’impression que c'était coordonné. Quand il s'est figé, vous avez titillé mon anus à nouveau. Un index entre clitoris et point G, votre langue entre mon coccyx et mon anus. Quand il était mordant, vous étiez caressant. Quand il s'est figé, vous vous êtes affairé derrière à me ... préparer.
- Votre rose brune était suintante de votre cyprine. Je caressais votre orchidée et ses fluides abondants pour lustrer et détendre votre rondelle et ses plissures.
Chaque fois que vous lui arrachiez un râle en agaçant son gland ou sa hampe, je posais ma langue charnue de toute sa largeur sur votre petit trou plissé en ouvrant encore plus votre sourire vertical.
Je sentais votre hâte, mais il me fallait plus de temps pour recouvrer une forme apte à plus que des caresses. Vous rouliez des fesses autour de mes caresses et mes baisers de tendresse. Tout devenait de plus en plus torride.
- Oui, je voulais m'asseoir sur votre pieu. Et quand vous avez cédé, quand vous avez arrêté vos caresses intimes, j'ai posé mon con sur votre queue. Quel bonheur de la retrouver. Mes lèvres se sont écartées avec un tel naturel, j'étais dans un état de grâce. J'ai senti tout de vous. Votre gland, son bout pénétrant, son rebord que j'adore lécher ouvrir le chemin et glisser dans mon antre plus qu'humide, hurlante de désir ... puis votre hampe, lentement, fermement ... j'étais assise sur vous, et lui, je l'avais bien en bouche.
- Je le sentais fébrile. Vous sucez si divinement que je l'ai interrompu. J'aurai été gêné si sa prestation partait en sucette.
- Ah ... je n'avais pas compris comment ça se passait. Vous me confirmez vous vous coordonniez. Quand votre queue me fendait, vous lui avez imposé ...
- Je lui ai indiqué ... Vous vouliez être le centre de gravité. Je n'avais qu'une main disponible pour ne pas chutter lourdement sur le lit, mais avec juste deux doigt, j'ai offert une fleur rose et luisante à son regard. J'aurai adoré qu'il vous caresse longuement, qu'il lèche vos cuisses, votre mont de venus, votre nombril ... et votre clitoris.
- Mais il n'est pas vous. J'ai trouvé ça un rien cavalier aussi, et les yeux fermé, j'ai été surprise de sentir son gland sur mon clitoris. deux queues pour ma petite chatte, les dés étaient lancés. Une devant et une dedans, on progressait. Mais quand il a poussé pour entrer, j'ai bien cru que j'allais le repousser. Ma chatte avait beau être excitée comme jamais et son gland luisant de mes baisers, j'aurai eu des cris de douleurs si vous ne l'aviez retenu.
-Douleur / douceur ... votre cul balance.
- Vous vous êtes couché sur le lit et m'avez invité à m'empaler sur vous en andromaque. Ma chatte adore sentir votre gland glisser et frayer son chemin entre mes lèvres. Chaque frottement est sources de frissons. Certaines fois, quand après un coït ma vulve est toute sèche, je sens mes lèvres résister à votre effraction, et votre gland percer son chemin en emportant mes lèvres vers l'intérieur ... c'est un délice de rudesse que j'adore avoir juste après un orgasme. Là, vous aviez la queue raide comme un phare, et j'ai senti le plaisir du bout des lèvres. Centimètres après centimètre, la rougeur de votre désir s'enfonçait en moi et les frissons de ce que vous bousculiez étaient plus intense à chaque seconde. J'ai senti la goutte de lubrifiant froide et saisissante que vous avez posé sur mon cul. Surprise ! La chaleur de son corps s'approcher de mes fesses ... ses mains sur mes hanches ... vos mains sur ma taille pour me cambrer encore ... et enfin, son dard s'approcher de moi ... enfin !
- Je suis persuadé que si vous n'aviez pas le bandeau sur les yeux, vous auriez ouvert des yeux rond comme des gobilles. Votre bouche ouverte, l'expiration d'un grand râle ... j'ai senti votre corps rendre les armes.
- Quel salaud, il est entré en force comme dans un porno. J'ai eu mal à en m'évanouir, quelques secondes, puis, le plaisir est vite revenu ... vous faisiez frissonner ma chatte doucement, et lui s'est immobilisé après un simple assaut ... Comme s'il cherchait son chemin au fond de mon cul.
- Vous aviez le ying et le yang.
- J'aurais adoré sentir les plissure de mon anus s'ouvrir comme vous me l'aviez fait découvrir, sentir ce vide se remplir, lentement, doucement. Mon orifice dilaté aurait pris l'ampleur de son arme et de sa puissance, puis aurai épousé sa vigueur et son rythme. A la place, j'ai eu cet assaut brutal ... Quelle déchirure dans le tempo.
- Le sextoy vous avait préparé un rien.
- Oui, mais là, excusez du peu, j'ai senti la morsure du glaive.
Mais, doucement, le plaisir est arrivé. J'aurais aimé une autre introduction en la matière, mais finalement, vous lui aviez offert mon cul a pénétrer, il m'a enculé comme un salaud.
- Quand j'ai cessé mes faibles va et viens, il a pris le relais.
- Oui, quel délice de vous sentir deux en moi. Une homme, c'est quand même plus chaud qu'un sextoy et ça comble plus profondément. Votre queue raide et immobile, votre bouche sur la mienne, vos mains qui glissaient sur ma taille ... sa queue en légers va et viens entre mes fesses. Une double pénétration, c'est comme une double levrette. Impossible de sentir d'où venaient les douceurs et les douleurs. Je me méfiais de lui et m'abandonnais à "sentir" mon corps. Quelques instants, mon anus est devenu le centre de mon corps, puis le plaisir est devenu plus diffus. Les vagues de plaisirs émergeaient de partout. J'avais le clito en feu, mais si j'avais ne serait-ce que posé une intention de doigt, j'aurais jouit comme une chienne.
- Mais vous avez jouit comme une chienne.
- Oui ... Mais grâce à vos deux queues. J'ai été forcée, percée, puis comblée ... et j'ai jouit de ces va et viens de vos armes dans mes fourreaux.
- Vous avez juré, même.
- Oui, mes mots à chaud ont été encore plus fort que ce j'aurais pu écrire. J'ai crié "défonce moi", c'est ça ?
- A peu près. "Défonce moi, défonce moi le cul, défonce moi la chatte, défoncez moi !". Je ne vous reconnaissais plus.
- C'est que je n'étais plus moi. J'étais la chienne que j'avais fantasmé. Votre douceur et sa brutalité. Votre puissance tranquille et sa fougue sauvage. J'étais entre deux mâles, le plus dangereux me ravageait le cul ... rien n'était innocent dans vos intentions ... vous lui avez offert ma bouche puis mon cul.
Je sentais sa sueur se mêler à la mienne et son ventre me toucher les fesses ou les cuisses des fois. Les yeux bandés je m'imaginais ce nouvel amant ... vous ne pouvez pas savoir combien j'ai imaginé une queue majestueuse, large et longue.
- Il était bien pourvu par dame nature pour combler la dame de coeur.
- Je n'étais plus la dame de coeur, j'étais une chienne, une salope, une pute ... A cet instant, j'aurais volontiers tendu ma bouche à d'autres queues. J'en avais deux pour moi. Je vous imaginais vous cogner à travers ma paroi intime parfois.
- J'ai cru sentir ça aussi. Votre palace intime était un rien plus ferme. Sa présence se sentait à l'intérieur comme à l'extérieur.
- A l'intérieur, hummmm.... A l'extérieur, il était envahissant. Vous l’empêchiez de parler, non ?
- C'était le contrat ...
- Je voulais sa voix pour compléter la vôtre. Vos mots si doux au creux de mes oreilles, mais les siens ne sont pas venus. Vous vous êtes mis en danger, mais jamais vous ne l'avez laissé venir sur votre territoire. La douceur, les mots, les longues discussions. Il n'était qu'une queue, une paire de mains, une odeur d'homme ... oui, une queue, vous m'avez offert une queue.
- Si j'avais eu un frère jumeau, vous auriez aimé ?
- Hmmm ... Je ne sais pas. En fait, j'ai adoré tout de cet homme, mais je crois qu'en duo, je me lasserai de lui rapidement.
- Vous avez aimé son coït ?
- J'ai adoré ma propre jouissance infinie ... j'ai l'impression que ça a durée un temps infini à me faire enfiler par vous deux ... Mais je ne l'ai pas senti venir, sauf que ce gougeât s'est retiré d'un coup d'un seul, qu'il a jeté son préservatif, et a éjaculé sur mon dos. C'était stupéfiant ... cet homme m'avait simplement utilisé pour réaliser son fantasme porno ... j'ai été son cul instrumentalisé.
- Mais vous avez adoré le jet de sa semence tiède sur votre dos, non ?
- Oui, et non ... ça m'a quand même secoué ... coït interruptus, c'est frustrant pour une femme. Et vous qui gardiez le contrôle et qui ne m'avez rien donné non plus.
- Vous m'aviez sucé de belle manière auparavant.
- Oui, c'est vrai ... mais j'ai été vexée de vos attitudes opposées jusque dans l'orgasme. Du coup, je suis allé prendre une douche. Quand je suis revenue, le bandeau enlevé, vous étiez tous les deux assis sur le bord du lit.
- Sa queue était boursouflée et encore luisante, encore trop molle pour vous combler de nouveau, et pourtant, c'est entre ces jambes que vous vous êtes affairée.
- Vous aimez que je vous attise ... ? Je l'ai regardé 10 secondes, puis j'ai voulu comparer vos queues. Vous saviez que les femmes comparent les queues ... mais là quelle déception. Vous bandiez comme un taureau, et lui, il était flasque comme un flamby.
- J'aurais aimé que vous nous suciez tous les deux.
- Je voulais ranimer sa mèche ... ça a pris plus de temps. J'aurais dû prendre une douche plus longue. Et quand sa queue s'est redressée péniblement, puis vaillamment, vous étiez en moi par derrière, enfin.
- Oui, vous l'avez vraiment sucé longtemps. Je suis allé m'asseoir sur le fauteuil. Puis, j'ai tout déplacé dans l'axe de votre fente ... et j'ai commencé à caresser vos hanches, vos fesses, votre chatte et votre cul de nouveau tout ferme de la douche. J'ai exploré du bout des doigts cet anus offert qu'on aurait dit vierge tellement il était de nouveau clos, ses plissures comme un bouton de fleur n'attendaient que mes doigts et mes baisers. Je vous ai ouverte de nouveau. Votre fleur se détendait et vous balanciez du postérieur dans un ballet de séduction que vous m'aviez plusieurs fois servi. Douce pénétration de la largeur du pouce, doux baiser appuyé d'une langue large puis pointue et pénétrante ... Vos gémissements me guidaient. J'ai glissé mon ardeur dans votre orchidée, puis luisante de votre désir, je l'ai appuyée fermement sur votre oeillet brun pour qu'il s'ouvre doucement et qu'il fusionne avec mon gland large et fier. Longuement, lentement, j'ai vu avec délectation vos fesses s'ouvrir jusqu'à ce que je ne puisse plus voir, et j'ai poussé encore, tout au fond de votre cul, les mains sur votre croupe, ma queue fière et prête à vous inonder de mes doux va et viens à ma façon.
- Vous baisez définitivement très différemment tous les deux.
- Vous me baisiez. Vos lèvres suçaient une queue pour la revigorer, votre cul dansait autour de ma queue.
- Vous avez vite repris la main.
- Oui. J'ai finalement posé mes mains sur vos fesses, et j'ai accompagné votre bassin dans un va et viens. Je voyais ma queue apparaître et disparaître en vous. Délicieux. Votre croupe cognait sur mon bassin avec ardeur. Vous laissiez tomber votre cul comme pour vous asseoir sur moi. Certaines fois, le mouvement lent me permettait de voir votre oeillet ouvert, ses plissures s'enfoncer au fur et à mesure sur ma queue vous fendait, puis, reflux délicieux, chacune des nervures tenter de me retenir comme en me regrettant et m'espérant de nouveau, serrant autour de ma hampe comme un baiser rond au beau milieu de votre sourire vertical ... qui luisait des nectars de nos envies.
Je l'ai senti jouir dans vos bouche. Vous avez eu un mouvement de surprise. De recul qui a pointé mon dard plus profond encore ... puis, votre rythme s'est changé en dégustation. Il devait avoir encore quelques gouttes de plaisir à vous offrir. J'ai vu votre nuque se pencher et vos cheveux accompagner le mouvement. Tous les muscles de votre dos se son tendus et j'ai à mon tour laché prise. Au plus profond de votre antre brune, je me suis adonné au délice de vous imposer mon nectar ...
- Salaud et Salaud. Lui éjacule sans prémices, quelques gouttes, soit, mais j'aurais aimé le sentir venir. Et vous, vous saviez, mais vous avez quand même éjaculé dans mon cul. Vous savez combien il est difficile et long de se débarrasser de vos traces. Ça fait une heure maintenant et j'ai encore l'impression de suinter de vous.
- J'aime que vous ayez des traces de moi, de nos émois.
- J'ai adoré nos émois. J'ai adorer vous avoir tous les deux et jouir de vous, puis vous combler tous les deux à la fois. Pour vous dire franchement, je ne pense pas que ce trio aurait pu me combler plus entièrement. Je pense que maintenant, quand j'aurai une belle et longue queue en moi, je me remémorerai nos émois à trois ... car je sais maintenant combien il est délicieux d'être comblé de partout, à la fois ... j'adore l'amour à trois.


Epilogue :
- L'homme est parti comblé, gentleman jusqu'au bout ;
- La belle a regretté de ne jamais avoir pu comparer nos queues côte à côte (tiens, je croyais que c'était un truc de mec, de se la comparer) ;
- Ce fut la dernière fois que j'ai vu la belle, comme convenu, nous étions amants singuliers, pour franchir sans enjeu et sans blessure, dans un anonymat parfait, ce fantasme qui lui tenait tant au coeur ... et au cul.

vendredi 2 juillet 2010

Double pénétration en trio, et le sextoy qui mate du fond du fauteuil (2/3)

Je rêve d'une double pénétration, mais il me faudra une longue préparation anale.

[... Suite ...]

Je l'avais aimé pour ses mots en réponse à l'annonce, elle l'a sélectionné du dernier carré pour son absence d'égo sur-dimensionné.

Pour cette rencontre en trio, j'ai réservé une chambre dans un hôtel plus anonyme. Dans les petits hôtels de mon carnet d'adresses, un homme seul n'aurait jamais passé l'accueil sans montrer patte blanche. Le Novotel de la gare de la Part Dieu s'y prêtait. L'ambiance y est celle d'une gare et d'un quartier business. On y croise des centaines de personnes, qui pour prendre une chambre, qui pour rendre les clefs à toute heure, qui pour venir chercher un visiteur ou simplement faire une réunion déjeuner ordinateurs et dossiers sur un coin de table, mais aussi un ou deux groupes pour une réunion dans les salles juste au bout du couloir ... C'était parfait pour passer inaperçu.

Nous avions pris possession de la chambre deux heures plus tôt. Elle avait souhaité prendre un bain pour se détendre. J'ai attendu probablement une demi heure à somnoler sur un lit fait. Puis un cri d'appel à l'amour :
- Où est mon cadeau ?
- J'ai un cadeau quand vous serez sortie de votre bain.
- Mais mon cadeaaaaauuuuuuuuu ... !!!!!
- Celui dont on allume la mèche ?
- Ouiiiiiiiii, il est où ??
- Il sera là dans un peu plus d'une heure.
- Vous avez d'autres réjouissances au programme, j'espère.
- Pourquoi ré ?



En guise de cadeau, j'avais apporté un foulard de soie rouge. J'ai noué ce foulard autour de ses yeux puis éteins toutes les lumières. Le soleil frappait sur les tentures. Je pouvais distinguer les formes de nouveau au bout de une à deux minutes. Elle était enroulée dans une serviette, dans l'encadrement de la porte de la salle de bain. Mes doigts entre la serviette et sa peau pour libérer le tout. Elle était nue, debout, dans la pénombre, les yeux bandés. Malgré le peu de lumière, je pouvais saisir ses contours et contempler son grain de peau fraîchement sortie du bain. Les frissons sur le bout de ses seins étaient naissants. C'est quand j'ai posé mes lèvres sur un téton que je l'ai senti durcir. Sans reculer d'un souffle, elle a écarté les bras pour toucher le cadre de la porte de part et d'autre. De cet appui, cambrée, je l'ai senti projeter sa poitrine dans ma bouche. Mes lèvres étaient gourmandes ... je crois l'avoir mordillée, embrassée, léchée, goûtée de longues minutes. Son souffle tantôt haletant, tantôt un long râle de jouisseuse épicurienne rythmait les volutes de ma langue sur son buste divin.

- Pourquoi vous éloignez-vous ?
- Pour mieux vous revenir.
- Je vous entend, mais je ne sens plus votre parfum.
- Vous allez aimer ce foulard sur les yeux ...
- J'aime tout ce qui m'attache ... à vous.
- A propos d'entraves, je suis allé chercher votre lingerie, tendez moi vos mains.
- Vous me menottez ?
- Pas cette fois ci, juste un soutien de dentelle pour rendre votre poitrine fière dans un écrin ...

Je me suis ensuite agenouillé lentement, mes mains effleurant sa silhouette, sa taille, ses hanches ... Face à son orchidée rose et lise, elle a senti mon souffle chaud.

- Vous comptez me rhabiller ? C'est le monde à l'envers.
- Vous rêviez de l'amour à l'envers non ?

Mais point question d'enfermer son orchidée dans de la lingerie. Je voulais la goûter. Sa peau était tellement douce. Tiède comme l'eau du bain. Lisse comme celle d'un ange. Mes baisers couraient d'une cuisse à une autre, passant soit par le nombril, soit par le mon de venus. Mais je la désirais horizontale, aussi, je me suis levé, puis je l'ai étendue sur le coin du lit.

Ma langue visitait chaque courbe, chaque sillon. A travers la dentelle pour sentir de nouveau ses tétons durcis de désir. Puis, revenant sous le nombril, sur les hanches, sur le mont de vénus. Elle le gardait toujours lisse. Pas court. Lisse comme un clitoris. Les pétales de sa fleur était replets tant elle gardait les cuisses fermées. D'une sensualité à ... en faire des photos érotiques. Ses lèvres verticales, délicieuses et capiteuses, croisaient la pulpe des miennes pour s'y mêler, frissons de volupté.

- Vous ai-je déjà dit que vous seriez une bonne lesbienne ?
- Je pensais que vous cherchiez des élans pénétrants plus que caressants.
- Oui, mais gardez vos élans et votre fougue pour me prendre avec mon cadeauuuuu.
- Vous avez les yeux bandés ... Comment comptez vous imposer que mon dard reste au repos pendant un heure ?
- Je pourrais ne pas ouvrir les cuisses ...

A ce même instant, la belle écarta doucement, dans un geste d'exhibition langoureuse, une jambe, puis l'autre, ouvrant les pétales d'une fleur que la pénombre n'arrivait pas à garder secrète.

Son calice était sublime. Rose fluorescent aurait été sa couleur si la lumière avait pu percer ces tentures. Couleur luxure dans cette pénombre. Ma langue, de toute sa largeur, pris possession de cette fleur. J'e l'ai senti se raidir et tressaillir. Elle adorait être léchée, et c'est ainsi qu'elle jouissait le plus violemment. Mais cette fois, je ne voulais que la préparer. Un baiser entre les deux lèvres, une longue respiration. Valse hésitation. Ses pétales ouverts, je pouvais goûter autant à son clitoris du bout de ma langue, que pointer dans son puits profond et envoûtant. Sur mes papilles son nectar d'excitation. Le puits s'ouvrait peu à peu plus grand, et son clitoris pointait majestueux tel un pistil ivre de pollen.

- Mais où partez vous ?
- Ouvrez vos sens, devinez moi.
- Vous me rhabillez ?

En effet, son antre préparée abandonnée au sixième ciel, aux frontières des spasmes délicieux, je m'étais retiré de son triangle des préludes pour ôter mes chaussures et autres étoffes superflues, et surtout, quérir ses bas. Longs massages de ses pieds. Puis, l'un après l'autre, j'ai glissé ses doux bas délicats, passage de la cheville, effleurement de mollets, le genoux et sa pliure si sensible aux baisers, puis la cuisse interminable ... ajustements pour bien l'aligner, bien veiller à ne point le filer ... un doigt entre peau et dentelle, retiré subitement pour faire claquer sur la cuisse. Surprise. Consolée de ma langue sur son puits.

La belle était là, sur le lit, jambes à nouveau serrées, soutien gorge et bas, yeux bandés de soie, et sourire sensuel et concupiscent aux lèvres. Quelques caresses et quelques mots au creux de l'oreille, la belle s'est retrouvée à plat ventre, postérieur offert à mes mordillements, à mes morsures ... du bout de ma langue, j'ai enduit son sillon, sa rose brune, en ouvrant ses cuisses progressivement. Sa fleur clandestine et ses divines plissures se sont offertes à mes yeux gourmands lorsque de ses mains elle a ouvert ses deux pommes, écarté ses fesses. La rose brune apaisée et offerte luisait de mes baisers humides. Avec une main agile et lubrique, j'ai flatté d'une longue caresse, clitoris et coccyx, méllant nos nectars lascifs. La belle roucoulait au fur et à mesure que je courtisais son orifice.

L'heure avançait et la belle était prête ... mais j'avais encore une exigence pour cette sublime expérience. La belle était dans un état vaporeux ... doux orgasmes cristallins, ses deux passages des désirs nus et luisants, en dentelle en haut et bas en bas. Je suis allé chercher ses escarpins pour compléter sa tenue lubrique et j'ai croisé son sextoy qui nous matait sur le canapé.

- Vous avez apporté votre sextoy ?
- Imaginez qu'on nous fasse faux bond.
- Il semble jaloux de se voir remplacé par un inconnu, permettez que je lui offre votre cul ?

A ces mots, j'ai glissé ce sextoy dans son entrée des artistes ... doucement ... soulevant sa croupe pour une cambrure propice au supplice.

- C'est la première fois que vous me déflorer le cul sans m'avoir baisé le con.
- Il y a un temps à tout.
- N'y aurait il pas un autre sextoy dans votre boxer qui frétillerait pour moi ?

A ces mots, elle a roulé vers moi, sextoy entre les fesses, pour s'agenouiller sur le lit et saisir mon enthousiasme.

- Regardez, il est en émoi. Votre boxer est humide de votre excitation. Je suis sûre qu'il perle déjà.
- Je vois qu'avec le toucher vous avec une maîtrise parfaite.
- Laisser moi vous goûter.

Lles yeux bandés et le sextoy vibrant dans ses entrailles luisantes, elle a sorti mon dard de son repère, pour l'entreprendre du bout des lèvres, puis à pleine bouche, de ses baisers, de sa langue et de ses délicieux mordillements. Mon nectar s'est activé dans ma hampe et de sa bouche pulpeuse, elle a bu et aspiré tout ce que j'avais de désir latent ... elle ronronnant, moi rugissant ...

- C'est ce que j'appelle une longue préparation anale.
- Votre cadeau est prêt ... regardez, il m'a envoyé 5 SMS d'impatience. Je l'appelle.
- J'adore les hommes impatients s'ils restent ardent lentement.
- "Chambre 406 ... poussez la porte, posez votre cape et votre armure. Avancez dans le noir, la belle est avide de vous déguster".

[... A suivre ...]
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