vendredi 24 septembre 2010

A quoi rêvent les bourgeoises qui s'ennuient à l'heure du thé ?

L'heure du thé, c'est le moment où les bourgeoises qui s'ennuient, espèrent leur jeune amant ... :

Je viendrai comme convenu à l'heure du thé.
Vous aurez servi deux tasses et quelques gâteaux secs.
J'entrerai en silence, mais sans surprise, car j'ai le code et la clé.
J'arriverai dans votre dos, mais vous aurez senti ma présence depuis longtemps.
Vous ferez face comme toujours à cette grande fenêtre ouverte qui vous permet de voir la ville, la rue, les passants.
- Vous m'attendiez ?
- Le thé est servi.

Le tapis sera épais à souhait, vous m'aurez instruit de son nom et du coin de perse d'où il provient, de son histoire et de combien vous aimeriez me voir le fouler. Je poserai mes genoux à vos pieds puis longerai vos jambes de mes mains, pour remonter le long des cuisses et plus haut encore. Ensuite, je soulèverai votre jupe et offrirai votre entre-jambe à la lumière.
- Le thé est-il chaud ?
- Oui, il est brûlant, fiévreux même.

Votre chatte sera hurlante de désir. La jupe remontée sur les hanches, les cuisses écartées, à travers une dentelle translucide à souhait, votre fente s'ouvrira pleine de grâce. De mon pouce je flatterai sa perle. Votre corps lâchera progressivement sa posture, et les soubresauts de plaisirs ne laisseront aucun doute. Vous allez aimer l'heure du thé quand la tasse restait sur le guéridon.
- Vous luisez de désir.
- Oui, je ruisselle de ce désir distillé.

Je vous ferai glisser le bassin pour présenter votre entrejambe, et le soumettre à mes assauts. D'un coup ferme, je glisserai mon gland puis ma hampe ... lentement puis fermement. Puis je stopperai le mouvement et me lèverai. Je sais que vous me suivrez des yeux, espérant je ne sais quel baiser ... Mais je vous poserai sur les lèvres ma queue flamboyante.
- Sans les mains, montrez moi ce que votre bouche sait faire seule.

Vous me sucerez plus que me lécherez, mais manifestement, vous vous sentirez limitée, comme ligotée, sans vos mains pour accompagner le geste.
- Je n'arrive pas à boire mon thé convenablement sans prendre ma tasse.
- Le sucre est encore intact, regardez comme il est encore solidement entreprenant ... vous ne voudriez pas le voir se dissoudre trop vite ?
- Non, bien entendu ... est-ce une flatterie ?
- Oui, vous sucez divinement bien quand je ne vous prive pas de vos mains.

Quand vous m'aurez sucé convenablement, ma queue veinée vous sera retirée ... Je tournerai autour de vous, tantôt dans votre dos, tantôt bien en face. A chaque tour, mes mains qui glissent dans votre nuque, deux doigts pour flatter votre chatte, un baiser pour émoustiller vos lèvres.
- Tournez vous, ici, comme ça, telle une chienne.
- Mais ... je vais être en face de la fenêtre ...

La jupe retroussée, je vous cambrerai les hanches pour m'offrir un point de vue unique sur l'arrière cour. Vos mains sur le dossier, une jambe sur l'assise. Ce fauteuil Napoléon servira de piédestal à votre corps de rêve. Votre croupe frissonnera de se faire empaler. Ou peut être que vous demanderez.
- Bouffez moi, prenez moi !!

Quand j'aurai glissé ma queue en vous, j'exigerai une danse ... voir votre postérieur onduler, frétiller, aller d'avant en arrière, s'empalant sur moi et autour de moi en utilisant toute la lenteur et l'amplitude possible, en ouvrant tous les sens et toutes les sensations, voilà qui sera un plaisir visuel et sensoriel sans commune mesure. Et quand je déciderai, je prendrai les rennes de nouveau, et vous bousculerai vigoureusement. Le fauteuil avancera à chacune de mes charges jusqu'à se trouver bloqué par un guéridon, une lampe ou un tapis. Vous aurez alors la tête toute proche de la fenêtre, et, du haut de ce quatrième étage, vous pourrez offrir votre visage déformé par l'orgasme et vos cris de chienne à vos voisins d'en face ...

Quand votre fente sera suintante de nos enthousiasmes, vous vous affalerez sur le fauteuil, flapie et à bout de souffle, un genou sur l'assise, les bras sur le dossier ... Et quand vous vous retournerez, j'aurai disparu.

Juste un rêve ? La tasse de thé est bien vide, mais impossible de se souvenir du claquement de la porte. Est-ce un rêve éveillé, un souvenir à fleur de peau, une idée d'une rencontre future ... ou un fantasme singulier qui vient de de cristalliser ?

lundi 20 septembre 2010

Comment les femmes fantasment les hommes (décrypter les annonces féminines des sites de rencontres)

Je me suis toujours étonné de voir les femmes, ces êtres si délicats, fragiles, sexy, brillants, pugnaces, stylés ... et j'en passe, accorder de l'importance aux hommes, ces êtres si rustres, impuissants, sales, mal habillés, gamins, lâches, égoïstes, menteurs, prétentieux, irrespectueux, inaptes au dialogue, lunatiques, infidèles et pingres (si je me lâchais, je pourrais facilement remplir encore 2 pages).

Dans un monde meilleur, les hommes devraient être meilleurs ... ou les femmes se passeront d'eux ... maintenant que la culpabilité judéo-chrétienne laisse de la place aux relations femme+femme, que la technologie pourrait réduire la fonction de géniteur à quelques gamètes congelées et que les sextoys permettent d'accompagner un monde si caressant de rêves étranges et pénétrants.

Dans ce présent qui reste le nôtre, pour savoir sur quel homme idéal fantasment les femmes, au delà du Georges Clooney et des adjectifs bateaux (humour, charme, fidèle, attentionné, patient, sincère, ...), je vous ai préparé une petite compilation de celles qui en parlent le mieux. Ce sont des femmes brillantes qui se lâchent en mots dans les annonces des sites de rencontres :

- L'homme tout en un : "un mec qui soit mon meilleur ami mon meilleur amant mon frère mon chauffeur mon cuisinier présent mais pas étouffant avec beaucoup d'humour et un brun taquin!! en bref un tout en un" [Nanou]

-L'homme qui prend des initiatives : "A toi qui me croise en voiture, à pieds, à vélo, en mobylette et avec qui nos regards se croisent plus d'une fraction de seconde : OH!!! FAIS MOI SIGNE ET JE M'ARRETE, JE SUIS CELIBATAIRE !!!!!!!" [Jessica] et "Sinon qu'il prenne des initiatives hein, parce que les gars que je dois traîner derrière moi sans façon , j'ai assez donné." [Gout du Nute]

- L'homme ni vantard, ni collant, ni taliban, ni girouette : "Elle Veut pas d'un mec plein de bouche qui se la raconte. Ni du mec qui parle trop qui prétend qu'il est chaud, pas du mec qui sera collé à elle tout le week end .. Elle veut pas d'un taliban qui lui répète tout le temps " j'suis pas satisfait de ton comportement c'est quoi cet accoutrement va me changer ces vêtements tu sortiras sûrement pas comme ça dans les d'vant les gens " .. Elle Veut pas quelqu'un qui la soûle pour rien et qui fasse la girouette." [Elia]

- Le mouton à 5 pattes : "Un garçon qui sait parler le langage des signes canadien ou au moins qui fait sa propre eau-de-vie." [Craboline]

- L'homme qui rempli la vie : "Petit Crayon, recherche petite Gomme, pour Tout effacer et Tout Recommencer" [MissPompier]

- L'homme contraire au commun des mâles : "JE N'AIME PAS : les hommes qui ne complètent pas leurs fiches (particulièrement leur situation familiale), les hommes qui ne respectent pas mes souhaits,les hommes dont toute l'intelligence se résume à énumérer la taille de leur sexe (souvent fausse et embellie) et leurs performances sexuelles (plus que douteuses), les hommes vulgaires, les fautes d'orthographe." [*Eve]

- L'homme qui sait ce qu'il veut : "Je déteste les gros mytho timides, les mecs qui joue d'la flûte, et ceux qui ne savent pas ckils veulent" [Colombienne]

- L'homme qui s'intéresse, qui a un brin de conversation : "Ah pardon bonjour , je tiens à te préciser que si tu lis ma présentation déjà c'est un miracle , car il y en a beaucoup qui ne lisent pas , et de plus que si tu lis tu auras peut être la chance de me parler si tu m'envoies autre chose qu'un " salut ça va ? " ou " salut ça va ? t grav charmante ça te dirait une glace à la menthe ? " " [Gout du Nute]

- L'homme qui donne envie et un sens à la journée : "Une bonne raison de rentrer régulièrement seule et plutôt sobre, qui ne soit pas un chat. Ou pas." [Plait Il]

- Et la conclusion dans une sublime hyperbole : "je veux un homme qui corresponde à ce qui attire les femmes, pas à ce qu'elles recherchent !" [Stephb]



Petit dictionnaire des métaphores des annonces féminines des sites de rencontres (comment les hommes devraient lire les annonces des sites de rencontres) :

Un homme pas prise de tête :
- Ce que comprend un homme : "J'ai pas envie de faire une parade amoureuse quand je veux du cul, ni de me sentir coupable quand je veux une bière et du foot. Pas prise de tête, c'est ce que je veux quand je veux."
- Ce que veux dire une femme : "J'ai des amies et des amis, et je ne veux pas que tu me donnes ton avis, ou que tu fasses le tri, même si je suis (très) proche d'autres hommes. Ce sont des amis, tu es mon amour."
- Ce que lisent les libertins : "Hop hop tagada, on est pas de ceux qui ont besoin de bulles de champagne ou d'un dîner pour se justifier, se désinhiber ou chercher un pseudo raffinement. On sait tous pourquoi on est là."

Un homme qui s'assume :
- Ce que comprend un homme : Ben, une homme ne comprend pas ... bien sûr qu'il s'assume, mais là c'est différent
- Ce que comprend un homme qui vit mal son corps : "Oui, je ne suis pas aussi mince/baraqué/bronzé que Brad, c'est bon là ...!"
- Ce que veut dire une femme : "Ni un loser, ni un larveur, un ivrogne, ni un fêtard, ni un gamer, ni un fan de tuning ... qui aiment plus leur canapé, leur whisky, leur voiture, leur PC ... et qui dépensent plus que l'argent gagné (ou que donne maman). Je ne suis pas ta banque, ton psy, ta secrétaire, ton hôtel, ta femme de ménage, ta laverie, et surtout pas ta mère. Tu t'assumes, je veux d'un homme autonome financièrement, qui s'assume suffisamment pour financer ses passions ... et qui assume sa propre intendance."

Un homme qui sait ce qu'il veut (voir aussi "un vrai mec") :
- Compris par un mec : "Je sais toujours ce que je veux, mais là c'est différent"
- Vu par une femme : "Si tu me dis que tu m'aimes le lundi, tu ne me plaques pas le mardi sans me le dire en face, pour aller retrouver ton ex ou suivre la première minijupe qui passe sous ton nez, et tu ne reviens pas le vendredi en me disant que je suis la femme de ta vie. Si tu m'aimes, tu n'as pas peur de l'engagement avec moi, tu oublies ton célibat et quand tu sors avec tes pôtes, tu me préviens avant, et de l'heure à laquelle tu reviens. Tu oublies les autres filles, et surtout ton ex."

Un homme, un vrai !!! Un vrai mec :
- Compris par un homme : "Un mec qui ne passe pas deux heures dans la salle de bain à mettre du gel et dont la pièce préférée n'est pas le dressing. Un mec qui parle de truc de mec avec des mecs et dont le film préféré contient Stallone, Diesel, Seagal ou Schwarzenneger, voire Tarantino si y'a Bruce Willis dedans".
- Vu par une femme : "Un mec qui sait être l'homme du duo, qui sait prendre des décisions, qui sait protéger sa femme, qui a de l'ambition pour impulser des directions à son couple, son job, sa vie. Juste un brin macho dans le sens où il ne montre pas ses faiblesses facilement. Puissant mais pas Violent dans son attitude, il ne se laisse marcher sur les pieds ni par les autres, ni par sa mère, ni par ses ex. Il me rassure et je peux compter sur lui."

Une relation sérieuse, un CDD, un CDI :
- Un homme comprend : "CDD, c'est une fois. Si on se plait, ça sera quand on en a envie tous les deux. CDI, c'est le mariage ou presque. Là, c'est sérieux. Je mets plus que ton téléphone dans mon carnet d'adresse, on finit rapidement par vivre sous le même toit"
- Une femme voulait dire : "CDD/CDI, c'est juste pas de l'interim, compris ? Dans les deux cas, je veux être ton unique pensée et récolter tous tes désirs. CDD, c'est juste parce qu'on est encore jeunes et qu'on peut faire un bout de chemin ensemble, apprendre à vivre ensemble sans s'emballer, pour signer un CDI au delà de la période probatoire".

Et plus si affinités (moins courant qu'il y a 10 ans) :
- L'idée que s'en fait un homme : "Si je lui plaît, après dîner on baise"
- L'idée qu'avait la femme : "S'il me plaît, on pourra se voir une deuxième fois. Peut être même que dans 1 mois, si on se plait l'un l'autre, je le laisserais m'inviter à prendre un verre chez lui"
- L'idée que s'en font les libertins : "Si tu baises bien et que t'es intéressant, on peut garder contact."

Pas un boulet :
- Un homme ne comprends pas ... il n'est pas un boulet, lui !
- Une femme pense : "Je ne veux pas d'un boulet. Un boulet, c'est un homme immature, qui squatte le canapé, la télécommande, le frigo. Un boulet ne connaît rien à la politesse élémentaire. Il parle en SMS, répétant toujours le même mot en fin de phrase, avec des notions de grammaire d'enfant de 3 ans. En parfait boulet, il va emprunter des objets ou de l'argent pour survivre aux crochets des autres. Le boulet est plus intéressé par vivre chez moi avec mon lit, ma TV, mon frigo, sans jamais rien faire. Mais .... le boulet, c'est lui le plus fort, le premier, le meilleur ... à ses yeux. Le boulet veut surtout de moi que je l'admire."

Un homme qui a envie de me connaître :
- Un homme comprend : "Bien sûr que j'ai envie de te connaître, de savoir où tu habites, de voir comment est ton lit ... savoir si tu fumes après et voir si tu dors nue."
- Une femme imagine : "J'aimerais parler avec toi de mes envies de vacances, discuter avec toi de mes films préférés ou de mes soirées TV, passer du temps le week-end à chiner ou à prendre un verre ... il me faut quelqu'un pour partager tout ça, quelqu'un qui aura envie de me connaître."

Un homme qui croque la vie à pleines dents :
- Ce que comprend un homme : "Soirée sur soirée !! Fête sur fête !! Des potes partout tout le temps."
- Ce que veut dire une femme : "Pas des soirées plan plan devant la télé, des week-end soporifiques et des vacances comme mon grand père. Je veux d'un homme qui organise des surprises, dîner au resto, week end surprise, vacances à couper le souffle".

En écho à vivalivadia (voir ici) trouvé via before sunset (voir ici)

lundi 13 septembre 2010

Ejaculation féminine sur mes doigts (femme fontaine)

L'éjaculation féminine, la première fois, ça surprend. C'est fort, c'est violent, c'est tiède ... c'est humide, très humide pour les draps.

C'est tellement fort et bref, qu'on se retrouve projeté dans des frustrations de "pas assez", de "trop bref", et de "y'en a encore ?" qui sont généralement des frustrations d'amante envers son amant. A chaque fois, j'aurais aimé pouvoir rejouer sur ce terrain encore et encore, et trouver de nouveau la parfaite exaltation qui transporte ... mais ...

Elle m'avait prévenu en ces termes :
- Si tu aimes, moi aussi, je sais éjaculer tu sais ?
- Ah oui ? Ce serait une première pour moi.
- La prochaine fois, si tu veux ...

Et en effet, la fois suivante, j'ai eu le bonheur de découvrir un nouveau nectar, rare, noble, et surtout qui se mérite ...

Cette princesse, est, comme une grande majorité de femme, une exquise clitoridienne qui a été négligée par des amants qui conquièrent trop souvent le corps d'une femme comme on charge une brouette.

Elle a adoré se sentir orchidée entre mes mains, mes doigts, mes lèvres et ma langue, langoureusement, lentement, lascivement, longuement ... et aussi luxurieusement et lubriquement. Sa fleur a livré ne nombreuses batailles avec brio, tentant de résister quelques fois aux baisers trop appuyés ou trop profonds. Sa reddition s'était opérée tantôt en capitulation de spasmes orgasmiques, tantôt en lever de drapeau blanc pour obtenir un vain souffle d'espoir de ne pas jouir encore et encore.

Mais ce jour, après une bonne petite heure d'orgasmes du bout de la langue, elle lâcha :
- Mets moi quatre doigts, fiste moi !!!

En levrette, elle m'a tendu sa croupe en une rapide pirouette. Sa fente rose clair faisait face au faible éclairage. J'ai posé un doux baiser, du plus profond élan ... puis mes doigts sont entrés en elle. Sa fente s'ouvrait facilement à mes doigts, un, puis deux, puis trois. Le va et vient entre ses reins commençais doucement. De mon autre main, je pressais sur sa taille parfois pour une cambrure encore plus sensuelle.

- Encore, plus fort !!!

Ma mains avait maintenant pris sa place, emboîtée dans sa vulve comme si c'était son logement naturel. Mon petit doigt allait et venait sur son bouton de plaisir, et je labourait vaillamment ce qui fut une délicate orchidée, et qui aimait maintenant être défoncée.

Mes doigts continuaient leur oeuvre, et les frottements délicieux devenaient de plus en plus profonds.

- Oui, encore, tout au fond !!!

Je poussais aussi loin que mon petit doigt le permettait, alternant ce jeu en profondeur en saccades rapides, par des mouvement latéraux, pour ouvrir encore plus l'orifice des délices. La ténébreuse antre laissait paraître parfois son rosé caverneux autant que mes doigts intrusifs la laissaient dilatée.

- Tu sens le sexe, ta chatte a un arôme orgiaque.

A cet instant même, un jet bref et puissant est venu couvrir ma main.

Ma première impression fut la surprise, surtout la chaleur de cet éjaculât. Je crois que j'ai compris ce jour ce que les femmes décrivent par la chaleur du nectar masculin au creux du ventre. J'ai ensuite été bouleversé par les convulsions de plaisir épileptique, et la sensitivité, même aux caresses de ce corps devenu incontrôlable, de cette peau devenue entièrement érogène.

Ce n'est qu'au bout de quelques minutes que je n'ai pu apposer un baiser intime sur son corps affalé, de la nuque aux coccyx ou l'inverse, dans des draps humides, trempés même, de cette extase singulière.

mercredi 8 septembre 2010

Pourquoi les femmes aiment les longues queues : deep shot / deep spot

C'est toujours un sujet de longueur ou de largeur qui fait marcher les hommes. Chacun en veut/rêve une plus grosse, plus large, et les spams débordent de ces fantasmes masculins, de voir dans le prolongement de leur ego leur supposée position d'animal dominant.

Les femmes, qui n'ont pas de problème d'ego et de positionnement dans l'univers jouent de cette ridicule course à la taille pour faire marcher les hommes.

En se documentant un peu, on s'aperçoit vite qu'il est vain de tenter de changer ce que dame nature nous a donné (voir ici les siliconages, implants, pompes à vides, crèmes développantes, lifting, sections de ligaments, ...). Et oui, comme au poker, ce n'est pas la taille qui est importante, mais ce qu'on fait avec ... et mieux qu'au poker, il n'y a pas d'adversaire qui pourraient avoir un meilleur jeu, mais juste une partenaire.

Mais alors, que penser de l'effet d'un gros sexe ou d'un sexe plus discret sur une femme ?

Mathilde répond : "Un gros sexe m'attire, m'émeut. Et les petits sexes me repoussent. Je sais que beaucoup d'autres femmes sont comme moi. Mais il est politiquement correct de dire que la taille ne compte pas. Pour protéger les hommes et ne pas blesser leur sexualité souvent fragile. Et pourtant ..." [en commentaire dans l'article précité]

E. répond : "Si pour ce trio vous me trouvez un Rocco, je ne pourrai que le sucer, je n'ai pas envie d'une déchirure" [une amante]

Il y a de l'alchimie dans l'effet visuel d'une belle queue, rose et raide, turgescente et fière avec son gland prometteur sur le désir, voire le plaisir immédiat qu'une amante pourra en retirer. J'ai eu des amantes qui étaient en pâmoison devant l'objet du désir que je leur tendais, et qui restaient de longues minutes à s'enivrer visuellement, et à jouer avec, qui en pressant une veine, qui en tâtant le gland, qui en faisant rouler la peau sur la collerette, non pas pour une recherche de mon plaisir, mais vraiment pour leur propre ravissement de contempler et manipuler à l'envi ...

Mais il y a aussi de l'alchimie aussi dans ce qu'une queue peu déclencher par sa présence et sa prestance. Et ici, je voulais parler du deep shot et donc du deep spot (où le point profond). C'est tout au fond, à l'entrée du col de l'utérus qu'une zone extrêmement sensible provoque des sensations incomparables.

La position la plus favorable est bien entendue la levrette bien cambrée, bien ouverte, mais en missionnaire, on peu aussi y accéder. Dans cet assemblage des corps et des envies, la fleur est grande ouverte, les cuisses et mêmes les fesses peuvent être ouvertes pour laisser éclore une orchidée offrant le passage le plus profond possible ...

... Et là, chez certaines, du bout du pistil, on découvre, au fond de l'orchidée, une cathédrale majestueuse et sensitive, qui procure des plaisirs incommunicables en mots, et offre à l'orchidée une félicité proche de l'évanouissement éternel.

Car il s'agit tant de la taille du sexe, de la profondeur du vagin, que de la position qui rendent insondable l'abysse des plaisirs ou qui permettent de posséder votre amante entièrement, jusqu'au fond.

Et quand cette cathédrale vous est ouverte, alors, sans mentir, vous devenez instantanément la quintessence des amants que cette orchidée a invité à s'enivrer ... juste en étant, en étant vous, en étant là, en elle ...Vos performances apparaissent naturellement comme divines, jamais éprouvées auparavant, et surtout, reproductibles en un instant et à l'infini.

C'est là la magie du deep shot, c'est que la technique est simplissime et limitée à une longue pénétration, profonde, lente, appuyée, dévastatrice ... et que dès que l'abîme est entièrement possédé et que le gland s'écrase sur le deep spot, un tsunami de jouissance désarçonne toute orchidée ...

Pour rentrer dans les détails, il existe deux deep spots :
- Le deep spot avant, sur la face antérieure de l'antre, qui se trouve très profond au delà du point G, et qui est difficile d'atteindre avec les doigts (sauf si le terrain de jeu est très peu profond). Personnellement, en jouant avec les doigts, je préfère taquiner le point G (G spot). Du bout de la queue, c'est plus simple (plus long qu'un doigt) et c'est plus compliqué, car le deep spot avant s’atteint en missionnaire (et dérivés tels que le tigre) et andromaque. Et le problème dans ces positions, c'est que l'homme est quelques centimètres plus court ....
- le deep spot arrière, mon préféré. Il se situe sur la face postérieure de l'antre aux délices. Il est un rien plus profond, mais plus facilement atteignable (levrette et dérivés). C'est le point qui, lorsque stimulé, donne l'impression à votre amante que plus aucun autre orgasme aura le goût de celui ci. Elle sera littéralement ravagée de plaisir.

Pour ma part, cette alchimie n'est pas garantie, et dépend d'une certaine compatibilité physique (longueur masculine supérieure à profondeur féminine). Il m'est arrivé de visiter cette cathédrale chez un bon tiers de mes amantes, mais pas tout le temps. Selon les positions, selon les évènements de la vie (pendant la grossesse par exemple, c'est une position un peu trop pénétrante). Et pour trois d'entre elles, ces sensations sont devenues systématiques ... le nirvana pour elles et pour moi !!!

Quand une femme clame qu'elle aime les longues queues, c'est peut être tout simplement qu'elle a un puits spacieux, et qu'elle souhaite agrémenter son intérieur avec des artistes du plaisir à la mesure pour atteindre ce fameux deep spot.




Note pour celles et ceux qui me pensent présomptueux sur la taille de l'objet précité (le mien) : c'est une taille tout à fait normale, je rentre dans les préservatifs comme dans une seconde peau, sans flotter ni devenir tout violet. Je vous ferai grâce d'abréviations subjectives (BM, TBM, TTBM) et de mesures objectives en centimètres, longueur, diamètre, circonférence que l'on trouve à foison sur les sites web libertins. Dame nature m'a donné ma part, et je l'utilise au mieux.

vendredi 3 septembre 2010

J'aime lécher ta peau, elle est salée à souhait

Ta peau est salée à souhait, j'adore laisser courir ma langue dans tous les coins et recoins, plis et replis, et autre fiertés de ton anatomie.

J'adore me faire un festin de ton corps. Ta peau est dorée comme les blés. La moiteur de l'été me permet de vivre mes élans dans une moiteur sensuelle, tropicale envie de toi. Les rayons de soleil soulèvent les duvets intimes qui seuls retiendrons quelques gouttes de cette chaleur torride que tu vas m'offrir. Mais avant que tu ne puisses bouger un doigt, un cil, je veux te voir, t'embrasser sous toutes les coutures.

Mets toi à nu, ta peau si lisse et si douce, sans vêtement aucun, sur mon lit. Ne te love pas dans les drap et ne compte pas masquer ton intimité sous un de tes déhanchés sensuels favoris ou une pénombre propice, je te veux en pleine lumière, avec ta queue fière, érigée en tour de Babylone de me désirs.

Laisse moi poser mes lèvres sur les tiennes. Ne bouge pas. Ou si. Laisse moi sentir juste les battements de ton coeur quand je pose mes seins lourdement sur ton torse. J'adore sentir ton battement de coeur du bout de mes seins excités. Depuis tes lèvres, je descendrai le bout de ma langue le long de tes joues, puis je me ferai un festin de ton cou de baisers gourmands. C'est un délice, car je peux sentir la peau fraîchement rasée mais aussi le crin naissant, ni duvet ni poil, mais aussi rugueux qu'une langue de chat. Et sur le seul point de rudesse de ton corps, je teste et reteste ma résistance ... Pas loin se trouvent tes aisselles. Quel délice de te lever les bras et de te mettre les mains derrière la tête, comme menottés. Tu es maintenant dans cette position lascive que j'adore. Et ma langue ne résiste pas à s'enivrer d'embrasser tes aisselles roses que tu tiens épilées pour mon plus grand plaisir. Quel plaisir de n'avoir aucun obstacle et de pouvoir te dévorer de mes lèvres et de te lécher partout. C'est doux comme une peau de bébé et salé à souhait.

Plus tard, bien plus tard, mes mains découvrent tes biceps ou pecs ... je sais que je vais m'y égarer interminablement. Mais, là bas, bien plus bas, se trouve mon dessert. Il pointe droit et fier, droit comme un I, rose clair comme un flamant ... Tes traces de bronzage ne laissent aucun doute, tu étais à la plage, mais pas à la plage naturiste. Là aussi, tu m'offres un terrain lisse comme mon clitoris. Tes bourses sont un délice à gober ou à saisir dans les mains. Quel sentiment de puissance de voir le sang battre dans les veines turgescentes de ta queue. Il faut dire que je joue un peu avec en posant un doigt ou deux pour voir ta grosse veine se gonfler ... corps caverneux, tu es mon opium. Je m'empalerais volontiers sur toi, et mes reins hurlent d'engloutir ton arme si bandée de désir ... mais c'est le goût de ta peau que je veux sur ma langue, le goût de tes muqueuses, le goût de tes sucs ... aussi, je me réserve de céder à la tentation.

Lorsque je parcours ta hampe de ma langue, je sais que j'ai eu raison. Quel sensualité que ton membre qui luit là où je viens de le lécher. Ton gland est mon cadeau. Sa collerette, d'abord. Puis lui. Je ne sais si je préfère le mordiller, le presser dans ma main ou le sucer de mille et une manières. Ta première goutte de nectar est déjà là, témoin des primeurs de ta sève. Transparente et fluide, cette goutte sait que je vais la laper de la pointe de ma langue. Ca te surprendra. Parce que je glisserai cette langue pointue dans ton gland. Quelques sursauts et soubresauts. Je sais que ça t'as surpris cette fois comme la première fois, et combien ce plaisir pénétrant est trop violent. Mais quand je saisis ton membre à pleines mains pour le comprimer un peu, ton gland rosit puis s'ouvre à ma langue et je sais, je vois que mes baisers pointus te plaisent enfin.

C'est là que je sais si tu vas jouir et libérer ton nectar sur ma langue, ou si tu résistes à mes caresses amoureuses ... mais dans tous les cas, je viendrai poser ma chatte ouverte sur ta langue pour que tu me lèches à ton tour, mon prisonnier sans menottes, geôlier de mes rêves de stupre, libérateur de mes fantasmes.
Related Posts Plugin for WordPress, Blogger...