lundi 27 juillet 2009

Assouvir le fantasme de la cabine d'essayage

La cabine d'essayage est un lieu ambivalent par nature. Intime et secret, on s'y déshabille. Public et partagé, seule une tenture nous protège, et ce lieu garde le souvenir des passages précédents, et gardera notre empreinte à jamais.

Ce magasin portait un nom qui flirtait avec l'appel du destin : baiser sauvage. Mon amante voulait s'offir (m'offrir) de la lingerie un rien coquine.

C'est en haut de cet escalier que s'offre une collection des plus attirante de toutes les lingeries possibles pour habiller des courbes de femmes qui aiment se faire déshabiller. Elle n'avait vraiment jamais eu envie de lingerie, et son homme ne portait pas d'attention à ce coté de la féminité. C'est avec moi son amant qu'elle fit éclore cette envie d'impudeur, jusqu'à essayer les modèles les plus torrides ...

Je vous laisse imaginer une femme qui essaie de la lingerie derrière une tenture pourpre ... son amant qui attend dans un fauteuil des plus voluptueux, et la vendeuse qui est appelée au téléphone ... Je n'ai pas mis longtemps à soulever la tenture et me glisser contre elle ...

Chaque dentelle fut essayée puis mise à l'épreuve de mes mains et de mes lèvres ... La tenture nous offrait cette sensation d'intimité immense. La conversation téléphonique de la vendeuse nous semblait tellement interminable (nous avait elle oubliés), que nous nous sentions in-découvrables. Son impudeur franchit des frontières délicieuse au moment où elle me guida pour porter mes lèvres entre ses jambes ...

Je crois que je n'ai jamais essayé autant de dentelles du bout de mes doigts, fait glisser strings et boxer pour laisser passer ma langue, pris et donné tant de plaisir dans une pièce sans lit ni fauteuil ...

mardi 21 juillet 2009

Prends moi, prends moi fort, encore !

Prends moi, viens vite, j'ai besoin de toi. Je t'attends depuis des mois, j'ai envie de toi. Fais moi l'amour comme la première fois, mi ardent, mi maladroit. Viens à moi, mon mâle et offre moi ta chaleur et ta sueur. Monte cette escalier si joueur, qui te rapproche en puisant dans ta vigueur. Ouvre ma porte en glissant deux doigts dans l'ouverture. Avance dans le couloir, tu en connais chaque endroit, même dans le noir, tu es si adroit dans les lieux étroits. Entre dans ma chambre et reste deux secondes immobile que je vois ta silhouette. Regarde moi, je suis nue dans la pénombre, la lumière glisse sur ma peau et souligne les ombres. Dénude toi, ôte moi cette armure de chevalier et viens à moi. Offre moi ta chaleur, offre moi ton ardeur, j'ai besoin de toi en moi. Glisse ton arme sans ménagement, regarde comme j'ai le coquillage lisse depuis longtemps. Prends mes seins à pleines mains, mon coeur y cogne plus fort quand tu m'empales. Vas y, vas y fort. Martèle ton envie, j'aime quand tu me déflores. Pousse ton dard jusqu'au fond, lui qui est si large et si long, vient cogner au plus profond de mon torride sillon. Griffe moi, mord moi, lèche moi, fait moi vibrer au rythme de la saccade, fais moi faire la grande glissade. Oui, encore, viens fort, offre moi ce jus chaud au fond de mon corridor. Tais toi et respire, rugis mon auguste lion, offre moi toute ta puissance et ta fertile semence ...

... puis affale toi et redeviens lionceau ...

... jusqu'à demain soir !!

vendredi 17 juillet 2009

Glisse toi entre mes fesses, fais moi jouir à l'envers

Glisse toi entre mes fesses, prends moi par derrière ... Elle avait toujours fantasmé de se faire prendre à l'envers par une belle et large queue qui laisserait son empreinte entre délices et supplice.

Son homme avait bien parcouru son corps de long en large et pratiqué tout ce que Rocco et Canal+ lui avait laissé comme éducation sexuelle si ordinaire ...

Mais jamais elle n'avait pris de plaisir, ni dans la brièveté et brutalité de ces ébats conjugaux, ni dans le mélange de douceurs et douleurs ... Elle n'avait de lui que le devoir conjugal et la douleur d'un mâle qui ne sait faire que du mal et si peu de bien ... elle ne vivait son fantasme que par les écrits érotiques qui laissent tant d'amertume, mais tant de rêves éveillés aussi.

Lorsqu'elle voulu passer de la discussion à la rencontre, elle me demanda de l'initier à ce désir. Elle vint à moi avec ses huiles de massages, et moi avec mes mains de masseur amateur. Notre balet érotique de découverte mutuelle nous amena à être effeuillé progressivement, et nous trouvés nus sur un drap froissé, quelques centaines de baisers et un orgasme partagé plus tard ...

Couchée sur le ventre, son dos luisait encore de la sueur de nos ébats. Mes mains enduite de la mixture complice, je glissais le long de sa colonne, puis de chaque muscle. Caresse ou massages, éffleurer puis palper, embrasser puis frictionner. J'étais assis sur ses cuisses, ma verge encore luisante de nos envies assouvies entre ses cuisses, posées entre ses fesses. Chacun de ses râles était un appel à plus de fusion. Mes doigts glissaient de plus en plus loin au delà du coccyx, pour ouvrir ses deux belles fesses et filer vers sa fente intime. En remontant, j'huillais toute son intimité. Son petit trou pointait de plus en plus et ma queue étant redevenue ferme comme un dard de jeune bourdon, il me suffit de glisser un oreiller sous son ventre, de libérer ses cuisses et de les ouvrir, pour voir combien son envie était irresistible...

Mes doigts entre ses lèvres, ma queue entre ses fesses si accueillantes, elle eu un de ses frissons qu'elle ne su décrire. Une sorte de mélange entre une douce effraction et un plaisir dont on se sait plus d'où il vient. Un frisson, une vague de frisson, une déferlante de frissons proche de la convulsion ... Elle inclinait tantôt sa croupe pour saisir ma queue jusqu'à la garde, tantôt se dérobait presque pour sentir le passage à peine libéré de mon gland, pour se replanter sur ma dague suintante de désir ... jusquà la garde de nouveau.

Je me suis endormi sur son dos, ou contre son dos, et nos rêves d'amants diurnes répetaient sans cesse ce fantasme incarné ... Prends mes fesses, glisse ta queue enntre mes fesses, fais moi jouir à l'envers.

lundi 13 juillet 2009

Mords moi

Ce fut un moment intense et érotique que se se sentir mordillé, mordu sur tout le corps.

Elle voulait que notre rencontre soit unique et fantasmatique dans tous les sens du terme. Un après midi d'un été déjà trop chaud pour travailler, elle s'installa et bloqua la porte pour qu'elle reste entrouverte. En arrivant, je me suis voilé les yeux comme elle, puis, poussant la porte, je me suis glissé dans ce cocon hors du temps. Instants magiques que de prêter l'oreille et chercher l'autre. Entendre sa respiration en écho à la mienne. Se poser sur le coin du lit et ôter quelques étoffes encombrantes, pas toutes, mais celles qui nous servent d'armure au dehors sont en excès lorsque l'on est mi nu, mi vêtu. C'est en ouvrant la bouteille de champagne et en servant à l'aveugle deux coupes que je cherché à garder un rien d'équilibre. Mais dès la première lampée, les bulles et le vertige sont revenus et l'effleurer fut d'un flot de sensation percutant, de ces flots qui vous submergent et vous envahissent sans que vous sachiez d'où, ni vers où ... et malheureusement ni comment ...

Elle avait posé sa coupe et s'approcha de moi, mes mains, mes lèvres ont parcouru chaque recoin de sa peau. Ses cheveux longs se sont mélangés avec mes doigts. Ses épaules ont frissonné lorsque mes baisers les ont découvertes. La dentelle s'est sentie brulante lorsque son désir est devenu hurlant.

Et là, j'ai été submergé par cette femme sublime qui a pris le dessus, m'a chevauché en gardant toute sa lingerie, m'a embrassé des lèvres au nombril, et du nombril jusqu'à la garde ... puis m'a mordillé de partout.

Je dois avouer que ce fut une sensation presque familière lorsqu'elle me mordilla les lèvres. Erotisme dopant les sens surtout lorsque l'on a les yeux bandés. C'est lorsque ses dents sont venues mordiller mes doigts, mon torse, mes lobes, mon cou que j'ai senti que cette joute serait inoubliable. Alternativement, elle se plantait sur ma queue ou partait dans un voyage pour mordre une autre partie de mon corps. Ce fut certainement lorsqu'elle mordilla ma tige que ce tour de voltige prit tout son prestige ... Ce fut un des moment de plus profond vertige ... sortir de son corps et sentir la caresse des draps, sentir tout ce corps et combien il était sensibbles à cette autre peau si torride, tendre cette queue au rythme des mordillements, arc-boutter le bassin comme un va et vien ... et sentir le frisson déchirer le septième ciel, inonder cette pièce sombre d'un rugissement de plaisir, épilepsie délirante d'une queue saillante ... sur laquelle elle s'est de nouveau plantée au beau milieu de mes spames ...

Couchée dos sur mon ventre, elle me pris la nuque lorsque mes mains glissèrent entre dentelles et cuisses pour accompagner ma lige encore émue. Je crois que je l'ai accompagné deux ou trois fois dans des convulsions charnelles ... pour lui glisser quelques instants plus tard ...

Mords moi ... mords moi encore !!

vendredi 10 juillet 2009

Sexe sous la douche, elles en rêvent et aiment

Le passage sous la douche à deux est vraiment une expérience inoubliable. Non seulement, il permet de voir, sentir et embrasser des courbes sous l'éclat sublime que proposent les gouttes d'eau, mais il offre aussi tant de manières de cultiver cette joute charnelle sous des angles inexplorés.

Sous l'eau tiède ou chaude, embrasser chaque recoin de son corps peut être caressé, embrassé, sucé, mordillé, lêché. C'est la mise en musique de ses plus étranges et pénétrants songes d'étés. Les gouttes ruisselles sur ses seins, sur ces reins. Cambrant ses courbes, elle exposes des angles nouveaux et me tente. Me glisse entre les gouttes et nos fluides se mélangent sous cette cascade.

Mordillés, embrassés, sucés, ses seins durcissent. L'appel à remplir les mains de son homme est hurlant. Plus au sud, le nombril est offert, et la langue se réjouit d'en faire cent fois le tour. Debout, elle s'offre à son amant, à ses mains et sa langue, se laisse ouvrir les pétales, accompagnant les caresses intimes de petits gémissements ... L'orgasme est venu tel une déferlante. vague de frisson de se faire lécher, vulve offerte à un amant à ses pieds, corps parcouru de la caresse des perles de pluies tièdes et de ces mille frissons ... Tout son corps était caressé, comme si j'étais partout à la fois, à lui masser les épaules, lui mordiller les seins, lui caresser le dos, lui embrasser les cuisses et caliner ses pétales roses jusqu'au septième ciel ...

mercredi 8 juillet 2009

Sexe sous influence

Alcool, aphrodisiaques, Cocaïne, GHB, GBL ... il y a mille manières de ne pas être soi et de décupler les sens. Dans un duo charnel, être sous influence, c'est se dédoubler ... être acteur des caresses, mais aussi spectateur en se regardant agir comme jamais on ne se l'était permis.

Les sensations sont décuplées, et la moindre caresse peut déclencher un orgamse. L'énergie ne vient pas à manquer, et les envies de joutes charnelles peuvent se succéder toute la nuit.

Mais le principal atout de ces substances qui vous mettent sous influence ... sont la volonté de faire tomber les barières et de s'affranchir des tabous.

Il est savoureux de voir une femme réclamer le sourire aux lèvres et vous saisir la tige de ses lèvres pulpeuses. La voir enfin lâcher prise et se laisser buttiner entre les cuisses. La trousser dans l'escalier. La laisser s'empaler face sud puis face nord sur une queue qu'elle connait tant ...

Tant de portes qui s'ouvrent sous influences, fantasmatiques ... et qui jamais ne se referment complètement.

jeudi 2 juillet 2009

Sexy Bikini fantasme sur la plage

L'été arrive ... Le soleil, la plage, le farniente, le temps qui passe à ne rien faire d'autre que somnoler, lire un bon livre et regarder les autres ... Voilà le quotidien des belles femmes sur la plage.

Tout est prêt pour fantasmer sur ces inconnus qui sont en maillot, presque à nu. On les connait de mieux en mieux au cours des journées, ils partagent le même coin de plage. Leur quotidien nous devient familier, horaires, disputes, intérêts, rapport à l'eau, au sable, au soleil, à la nourriture et à l'apéro ... rien ne nous est étranger. Les histoires de famille et de couple sont quasi publique ... grande scène de sable, remplie d'acteurs spectateurs qui à tour de rôle sont exhibitionnistes ou voyeurs.

Et parmi elles, nombreuses sont celles qui fantasmes, en écho à leur histoire passée, leurs manques ou leurs envies. Ce père de famille qui fait des châteaux de sable toute la journée, ce surfeur qui dort à même le sable, cet autre homme qui vient dans cette petite crique par la mer avec son voilier, ce jeune adolescent qui se cherche, ce quadra qui bosse sur la plage ... Tant de pistes pour des débuts de rêves, tant de fantasmes ...
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