vendredi 20 mai 2011

La levrette, sensations masculines dans un fantasme féminin

La levrette est tour à tour un fantasme masculin ou féminin. Certaines amantes adorent la levrette pour diverses raisons, mais une, en particulier, a partagé avec moi, toutes ses sensations, et écouté les miennes, quant à cette position où elle me tourne le dos tout en ouvrant tous ses sens envers moi ... sauf la vue :

- C'est extraordinaire la levrette, je te sens comme jamais. Quand tu entres par derrière, j'ai l'impression de tout percevoir. Ton souffle, la chaleur de ton corps quand il s'approche, ta main quand elle se pose sur mes feses ... Je ferme les yeux à chaque fois.

- Je sens quand tu en as envie, Tu pivotes ton corps pour me présenter ton dos, je sens que ton envie affleure. Tu n'aimes pas chavirer du bout de ma langue, mais souvent, ça excite en toi des envies de levrette.

- C'est fulgurant souvent, tu m'excites tellement quand tu me lèches. Mais j'ai vraiment besoin de toi en moi. Le désir me brûle. Je résiste le plus longtemps possible.

- Tu fermes les yeux ?

- Oui, ça m'aide à tout sentir. Quand tu m'as trop excitée, c'est intenable, je peux jouir au premier de tes assauts. C'est tellement violent, tellement puissant que je suis au bord de l'évanouissement. Je te sens entrer en moi, et je prends feu. Les frissons font place à des bouffées de torpeur. J'ai ultra chaud sur tout mon corps, ma peau n'est plus qu'un immense frisson, et je me sens sortir de ce corps ... une jouissance si violente, je m'autorise à hurler comme jamais.

- J'adore quand tu jouis en une respiration ! C'est très gratifiant, dans l'immédiateté ... Il faut bien que je bouscule un peu ton fort intérieur.

- Ne crois pas que quand ça ne vient pas du premier coup, c'est moins bon. Au contraire, c'est bien meilleur. Mais quand ça vient à la première seconde, c'est pour moi la preuve que nous sommes compatibles, que tu as été fait pour moi. Sexuellement c'est top. Tu te glisses en moi, pas besoin d'artifice, de préliminaires, de montée de désir ... je jouis tout de suite.

- Quand c'est plus long ... ?

- Quand tu arrives à me maintenir en haleine, c'est pire. Au portes de l'orgasme. Des fois, j'ai l'impression que tu prends un plaisir tantrique avec ta jouissance, soit. Mais cette capacité à ne pas libérer ma jouissance, à la soumettre à ta volonté, ça m'étourdit encore plus à chaque fois. La jouissance est d'autant plus forte. Mais tu me tortures à ralentir, ou accélérer, décevoir mon envie d'orgasme immédiat en freinant malgré mes "oui, plus fort". Tu es mon bourreau.

- Bourreau ?

- En levrette, je ferme les yeux, et je me concentre sur les sensations. Je te sens en moi, derrière moi. C'est un plaisir égoïste. Et quand tu changes le rythme, tu me rappelles ta présence alors que je ne cherche qu'à penser à mon plaisir. C'est une position d'introspection, de découverte me mes sens et de mes vertiges.

- Tu voudrais que je disparaisse ?

- Oui, la levrette, pour moi, c'est moi, mon corps, mon antre. Surtout avec toi, parce que tu es fait pour moi, compatible sexuellement, ça en dit long sur le fait que tu es à moi. Tu es en moi. Je vibre pour toi, par toi. Je te sens ... et paradoxalement, pour cette jouissance la plus forte, tu disparais. Je ne sens plus que le feu qui couve, qui me brûle, le mouvement saccadé et le feu qui prend, puis tout s'enflamme, tout brûle.

- De mon coté, la levrette, c'est pas l'idéal. C'est une position assez distante finalement. Pour le coté esthétique ou voyeur, c'est idéal. Ton intimité est exposée, offerte, ouverte. Je vois tes lèvres se plier et de déployer. Un point de vue inouï sur ton petit cul aussi. Mais je suis trop loin de toi. Impossible de t'embrasser, de te parler au creux de l'oreille, de te voir jouir, de glisser mes mains sur tes seins, tes lèvres, ton cou ...

- Je sais, tu cherches souvent à écrouler la levrette, et m'affaler sur le lit.

- J'adore ...

- Je sais, mais c'est encore autre chose, là. Je suis obligée de me cambrer à la limite de la douleur pour accueillir tes assauts au plus profond.

- Les sensations sont inouïes. Et là, moi aussi, je sais que tu es faite pour moi. Je pourrais même jouir en une seconde tellement ton antre me régale d'une explosion des sens.

- Je te vois t'accrocher à la tête de lit pour me prendre encore plus profond. Ca me retourne, me ravage ... j'ai l'impression que tu dévastes tout mon être intime. La jouissance est si différente. Pas de frisson, pas de feu. Tout est en pressions, en chocs répétés tout au fond de moi.

- Souvent, je prends appui avec mes pieds sur le bas du lit.

- Ca me bouleverse quand tu m'anéantis totalement, quand tu me possèdes comme ça. C'est un abandon total. Je te sens me pénétrer jusqu'à des profondeurs insondées. Ton corps envahit le mien. Je sens tes mains sur mes lèvres, ton souffle dans mon cou, tes baisers au coin de l'oreille ... Ca me submerge totalement. J'entends que tu me parles, mais les mots ne m'atteignent pas ... je suis comme évanouie, comme droguée de sexe, la luxure totale ...

- Mais tu préfères la levrette quand même, esthète de l'orgasme.

- Oui ! Mais je sais que tu vas me faire fléchir ensuite, juste au moment de mon orgasme d'esthète, puis m'envahir de cette pénétration profonde, m'inonder totalement, me maintenir dans un état d'orgasme continu jusqu'à ce que tu exploses littéralement de plaisir à ton tour, jusqu'à ce que tu m'inondes, jusqu'à ce que tu t’affales enfin sur moi, à bout de forces, que tu me couvres de tout ton poids, ton souffle court dans mon cou, nos sueurs mêlées, de la tête au pieds, nous deux devenus un.

mardi 17 mai 2011

J'ai toujours rêvé d'un amant de 20 ans de moins que moi

J'ai toujours rêvé d'un amant plus jeune. Quand j'avais 25 ans, j'avais envie de déniaiser les adolescents. Quand j'ai approché de la quarantaine, mes vingts ans me manquaient. Mais là, c'est juste inespéré ...

Je ne pensais pas recevoir de la vie un tel cadeau. A 65 ans passé, tu comprendras combien pour moi le temps est compté. J'ai envie de savourer chaque surprise, chaque sensation.

Tu disparais de mon après midi après m'avoir laissée en sueur sur mon lit. Il n'avait pas frissonné comme ça depuis longtemps. Je passe les mains sur mon corps, et me délecte de ce que chaque centimètre que j'effleure du bout de mes doigts. Mon corps me remémore. J'ai été désarçonnée, surprise, enflammée, enivrée ...

Etait-ce cette fois ci, ou une autre fois ? Je mélange mes souvenir avec la naïveté d'une adolescence. Non, j'ai encore la morsure de notre union en moi. C'était bien aujourd'hui, mon corps se souvient et saupoudre ma peau de souvenirs récents. Tes assauts étaient doux, puis, tu m'as dévastée. Fort, profond, pénétrant jusqu'à forcer le plaisir à me faire gémir, hurler même.

Reviens vite. J'ai hâte que tu me relances de nouveau, un matin pour le lendemain, plein de désir. Je me sentirai femme pour toi. 6 jours ou 6 mois ? Ne me fais pas trop attendre, mais ne viens jamais sans ce désir, plein de cette sève verte, vaillante énergie que tu déposes délicatement, ou moins, sur mon corps.

mercredi 11 mai 2011

J'ai envie de toi et mon mari en même temps

Tu peux pas savoir combien la puissance masculine me fascine. Tu es un amant génial, mais je ne fantasme plus que de mon mari et toi dans un même lit, pour moi, rien que pour moi.

Toi, ça ne te fais rien, mais la plupart de mes amants ne fantasmaient que sur des trio avec deux femmes. Quand je leur expliquais combien je trouvais ça dévalorisant au premier abord, combien je me sentais rabaissée au rang de numéro deux, ils me réconfortaient en m'expliquant que j'étais la reine et l'autre la princesse, que l'autre n'avait d'importance que parce qu'elle déclencherait de nouvelles sensations entre nous deux, que ce n'est pas une nouvelle amante qu'ils cherchaient, mais de cumuler deux amantes et de sentir le plaisir sans savoir d'où il vient ....

Et bien j'ai une folle envie de ce fantasme au féminin ... avec mes deux amants préférés.

J'ai envie que vous me caressiez de partout, que chaque frisson soit un prélude enivrant vers la volupté, que je soit l'aimant de vos élans contrôlés, que votre désir de moi se sente en puissantes ruades ...

Je sens déjà comment je dégoupillerai vos queues, comment je les jaugerai, les convoiterai. Mes premiers baisers à l'un, un baiser plus torride à l'autre, puis l'un et l'autre. Vous, ma bouche, vos bouches, mes mains ...

Je sais que tu ne te laisseras pas faire longtemps, et que ta langue prendra possession de mon antre. Je sens combien le délice se mêlera à la frustration de vivre ces deux plaisirs, le sucer et me faire lécher, enivrant, mais jamais pleinement à l'un ou à l'autre. Tu prendras un malin plaisir à concentrer mon attention en me désarçonnant d'un coup de langue plus appuyé ou plus pénétrant. Lui, comme je l'imagine, me forcera à honorer sa queue comme s'il était le seul.

Puis viendra le moment où j'exigerai d'avoir vos deux puissances alignées, cumulée ... orgiaque ... en moi. Je te veux dans ma chatte, lui sera dans mon cul. Je sais qu'il peut jouir vite et je rêve de sentir la chaleur de son sperme glisser lentement entre mes fesses, glisser vers ma fente ... et se mêler au tien. Je veux que tu viennes en même temps que lui. Ne contrôle rien ... je veux que vous déchiriez le silence de vos râles de plaisirs, que vous couvriez mes halètements en donnant vos dernières gouttes d'énergie, que vous jouissiez de moi, du désir de moi ...

Mais comme tu es mon amant et lui mon mari, tu le connais et il ne te connait pas ... Il y a certains fantasmes qui ne se réaliseront jamais. Et pourtant, je rêve de cet enivrant délire chaque nuit.

Aide moi, et trouve moi une manière de combler ces désirs ... !
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