mercredi 27 janvier 2010

Dis moi sur qui tu fantasmes : Brad, Georges, Robbie, Jude, Johnny, Hugh, Ewan, Tom ou Harrison


Dis moi sur qui tu fantasmes, je te dirai qui tu es.

Une majorité des femmes fantasment sur Brad, Geoges, Robbie, Jude, Johnny, Hugh, Ewan, Tom ou Harrison ... Mais que personnifient ils dans l'expression du fantasme ?


Brad Pitt (ou Bradou, Brad Piiiiiiiit) :
Le simple fait de susurrer son nom vous mets en émoi. Le voir un rien mis en scène (photo noir et blanc, lunette d'aviateur) vous fait toutes craquer.
Contrairement à ce que ses rôles de musclor dans les péplums ou films d'action (Troie, Mr and Mrs Smith) pourraient faire croire, c'est un intello. Il a son bac et a fait des études de design. Son image alterne entre le bad boy (Fight club) et le mâle cabossé (Seven). Mais c'est sa plastique et sa belle gueule qui le résument à un sex symbole.

Et comme Georges, il a été élu le sexiest man alive 2 fois (1995 et 2000) ... Brad, c'est avant tout un homme sexy ... devenu père de famille nombreuse.

Mais depuis cette dernère décennie ... rien. éteint par Angelina ? Passé de toyboy à boy toy ? ringardisé ?

Réjouissez vous (telle Jennifer qui ronge son frein), selon les dernières rumeurs de gossipcaniveau.com, il est envisageable qu'il fasse semblant d'avoir l'air de faire un buzz de jouer à l'arroseur arrosé en simulant auprès de paparazzi crédules une séparation prochaine ...


Georges (What else) :
Le nouveau sex symbol, c'est Georges. Vu de France, avec un prénom d'avant guerre (voir ici), c'était pas gaggé d'avance. Avant tout, Georges, c'est surtout la classe. Le sourire, le silence ... Il fait craquer jusqu'au fillettes du quart de son age.

C'est LE sexiest man pas excellence, et il en joue. Il a été élu comme Brad 2 fois sexiest man alive (1997 et 2006), mais avec une différence de taille. Georges garde son coté sexy avec la sagesse en plus.

Obsédé par son image de sex symbol, notre ami Georges organise sa "disponibilité" pour ses fans. Marié une fois, il clame haut et fort que ça ne le tente plus et que le mariage n'est pas fait pour lui.

Georges est devenu transgénérationnel, à faire rêver les quinquas et les jeunes filles à peine pubère. Il déclenche des fantasmes tellement forts qu'il véhicule une image proche d'un logo. Qui n'identifie pas le "What else" à Georges avant le café qu'il vante (+44% de ventes la première année, en y attachant son image classe, people, luxe) ? Lorsqu'il a été hospitalisé en 2007, pas moins de 25 salariés de l'hôpital ont été pris à fouiller dans son dossier médical (et mis à la porte) ... pour y trouver ses mensurations, son groupe sanguin et les radios de sa côte cassée ...

Et enfin, la citation glamour de l'homme 2 fois le plus sexy du monde "J'ai su que j'étais devenu une star le jour où j'ai vu des gens bizarres récupérer mes vieilles chaussettes."

What else ?


Jude Law :
Jude, c'est avant tout un regard et une gueule d'ange. Très courtisé par le monde de la mode, il est toujours tiré aux quatre épingles, dandy smart jusque dans les photos des paparazzi.

Son regard est magnétique, les filles en sont hypnotisées. Son regard ambigü et ses choix de rôles en font le dandy passé sex symbole que chacune imagine capter. D'ailleurs, n'était il pas installé dans son pavillon, marié et père de famille, lorsque la boite à fantasme s'est ouverte pour lui même ?

Alors !! Finalement, il pourrait être capté par n'importe laquelle, ce british à la gueule d'ange et au regard qui en dit long sur sa capacité de séduction, sur sa capacité à percuter les femmes au plus profond d'elles mêmes ...

Pfiouuuu ...


Johnny Depp :
Johnny, c'est le ténébreux. Il incarne le mauvais garçon qui reste classe et sexy. La saga pirate des caraïbes met en relief cette personnalité d'un homme qu'on imagine bien en pirate il y a quelques siècles ... Un jeune premier devenu pirate.
Les fans sont attirées parce qu'il aspire la lumière, parce qu'il est d'une beauté féline, parce qu'il a une beauté d'intellectuel ... avec sa filmographie à la Tim Burton (7 films de Tim Burton à ce jour). Il charme tant par son sex appeal de jeune premier devenu pirate que par sa tête bien pleine.

Père de famille installé, on entend souvent dire que Johnny Depp est ce qu'il y a de plus beau chez Vanessa Paradis.

Et non, il n'est pas mort (fausse rumeur CNN reprise par Twitter le 24 Janvier 2010).


Ewan McGregor :
Le beau Ewan, encore un british. Un écossais cette fois. Le rôle de Obi Wan Kenobi que lui a confié Georges Lucas le range du coté de la sagesse. Mais avant tout, Ewan, c'est un regard en coin et un sourire aguicheur.
Ses rôles de bad boy alcoolique, violent ou héroïnomane (trainspotting) lui collent à la peau comme l'homme qui séduit par son coté bad boy.


Tom Cruise :
Sacré Tom. Carbonisée son image.

Cette homme était fantasmé tant par son sourire, ses yeux que par son pouvoir. Plusieurs années de suite considéré comme l'homme le plus puissant d'Hollywood, il véhicule maintenant une image qui sent le souffre, la manipulation sectaire ... bien moins glamour que sces histoires de couple avec Nicole Kidman.

Il a même eu l'affront d'être élu le plus sexy des petits hommes ... ce qui montre à quel point son aura a diminué et que l'égratigner ne fait plus peur.

Quel fantasme féminin reste t il pour le petit Tom ? Peut être qu'il était l'homme le plus sexy des années 90 ..?


Hugh Grant :
Hugh ... un cas d'espèce. Maladroit et effacé, il charme avant tout. C'est le boiteux par excellence. Saboteur de relations sentimentales dans sa vie perso, à l'image, il ne joue que dans des comédies romantiques.
Il joue de son coté british outre atlantique, et n'hésite pas à lacher une phrase dans la langue de Molière quand il est à Paris (sa mère était prof de français).
Mais de Bridget Jones à Quatre mariages et un enterrement, il n'est ni le mâle rassurant, ni le mâle qui magnétise par son regard ou son coté bad boy ... mais bien cet intello écorché dont on ne peux pas imaginer construire stabilité, fiabilité, durabilité ...

Récemment, glissant vers ses 50 ans, de beau gosse à vieux beau, il affirmait avoir peur de finir sa vie seul en ces termes : "Les hommes descendent de deux races de singes. L'une était monogame. L'autre majoritairement composée d'obsédés sexuels incapables de se caser. Disons que j'ai plus pris de ce côté-là !"



Mais qui reste t il ? Barack, bien sûr : Barack Obama, il fait fantasmer les femmes. Pour plusieurs raisons. En premier lieu, c'est un bel homme, intelligent, et toujours tiré à quatre épingles. Vous l'avez déjà aperçu négligé, mal rasé ... nenni ... C'est un athlète cet homme, toujours debout, droit, avec une prestance et une présence qui fait baver les femmes.

Mais alors, qu'est ce qui justifie les hordes de femmes hystériques qui se frottent à lui à chacun de ses déplacements, allant jusqu'à lui pincer les fesses, susurrer des mots coquins aux oreilles, glisser des messages dans ses poches....

Et oui, il est sexy. Et en plus sportif (basketteur pro). Et en plus il a une voix grave de crooneur. Et en plus, il est tendre et proche de sa famille. Et en plus, il est puissant. Il a LE pouvoir, et ça le range définitivement du coté des premiers de la classe, position qu'il a toujours incarné. Avec classe ...

Mais attention, Michelle veille au grain : "Bas les pattes. Trouvez-vous une vie."

lundi 25 janvier 2010

Georges, sa femme et leurs fantasmes

Georges a une copine, qui quand elle pine,
Hurle à la mort, "ah, qu'elle est divine !!",
La jolie pine de Georges qui se dandine,
A poil sur son lit Georges trime et se demande :
"Quand est-ce qu'on dîne ?"

Georges a une vitrine, sur les Champs-Elysées de la frime,
Et il invite ses cousines et les présente à sa team,
De ses potes célibataires, quand ils ne sont pas à la gym,
Quand à peine sortis de l'usine, il les embarque, Georges.

Et Georges s'imagine,
Qu'il sera heureux tout le temps,
Alors qu'il est mort en naissant,
Et il n'est jamais dans les temps.
Jamais car
Rien ne lui court dans l'échine,
Rien ne lui court dans l'échine.

Georges joue aussi aux jeux, avec ses copains sur Tf1.
Il s'imagine le champignon, sous sa main peut-être le million,
Mais s'il ne gagne pas, il déprime, alors il tape sur Amandine,
Sa chienne de chienne, naine ; alors elle couine.
Elle est si câline d'habitude
Elle aime lécher les restes des repas de son maître,
Et le minou de sa maîtresse, qui s'ennuie ferme la journée,
Attend son Georges et son goûter, le ventre gros, les seins gonflés,
Elle est sage la copine, devant sa télé.

Et Georges s'imagine,
Qu'il sera heureux tout le temps,
Alors qu'il est mort en naissant,
Et il n'est jamais dans les temps.
Jamais car
Rien ne lui court dans l'échine,
Rien ne lui court dans l'échine. ....


La vidéo ici
L'album ici
Le single ici


Prohom, un lyonnais au regard acide et très talentueux

lundi 18 janvier 2010

Le point G pour les nuls (et leurs amantes)

Une récente étude britannique a tenté de démontrer que le point G n'a pas d'existence. La blogosphère s'est enflammée ... mais ce fut peu orgasmique (arguments misogynes, découpes en tranches de l'anatomie féminine, ...).

Comme dirait l'autre ... ne pas pouvoir prouver l'existence suffit il pour prouver l'absence ? L'air est impalpable, la douleur et le plaisir sont indescriptible, l'expérience est incommunicable, l'amour est indicible ... et pourtant, ils existent.

Mes premières réactions étaient :
- Depuis quand des britanniques sont légitimes pour parler de plaisir et de sexe ? Rappelez vous comment leurs amantes (britanniques aussi) jugent leurs amants britanniques (voir ici). Avant dernier sur près de 200 nationalités !!!
- Depuis quand le plaisir s'analyse en découpe anatomique ? On ne connait encore pas clairement le fonctionnement de la douleur, des impulsions et de l'embrassement, au sens mécanique, nerveux, chimique, physiologique, neurologique ... donc le plaisir, il faudra repasser.

Le plaisir, ça se vit. Ça se partage. Ça s'offre.
Une femme ne se découpe pas en tranche ... et surtout, elles sont toutes différentes.

Bon. Pour revenir au sujet du point G, ou de la zone G puisque c'est quand même largement plus étendu qu'un point ... sans pour autant être impalpable. Discret sans être secret.

De quoi s'agit il ? Des quarante zones érogènes féminines, il y en a une qui est source de tous les plaisirs et de (presque) tous les orgasmes : le clitoris. Mais il ne se résume pas à la petite perle rose, qui grossit et rougit lorsqu'on la sort de sa gousse. En effet, il s'agit d'un iceberg, qui plonge en particulier des deux coté du vagin sous forme de piliers. Depuis l'intérieur, ces piliers sont séparés par une paroi, plus ou moins épaisse, spongio-caverneuse par endroit, plus ou moins sensible, plus ou moins localisable ... et qui se termine par une petite bosse ... le point G.

Il a été prouvé statistiquement (voir ici) que plus cette paroi est fine, plus les orgasmes vaginaux sont probables, par pénétration ou par stimulation de cette paroi (point G).

Comment le trouver ? Et bien c'est assez facile. Si le créateur a raté pas mal de choses, il nous a fait avec des doigts de longueur adéquate. Le point G se trouve à porté d'index et de pouce selon les positions. Autant que faire se peut, il ne faut pas viser le coup direct au but (mâle basique que nous sommes parfois, hein ?), mais de tenter d'y accéder dans une belle symphonie de préliminaires.
Lorsque la fleur sera bien ouverte, le désir et le plaisir déjà bien amorcés, il devient possible de glisser index ou index+majeur dans l'intimité de l'amante, paume vers le haut. A environ 5 à 7 cm, du coté du ventre, on trouve une petite boule de la taille d'une demi noisette avant excitation, d'une demi noix après, douce comme son petit frère le clitoris, parfois toute plate, et parfois strillée (comme une demie mangue présentée en dessert ... désolé, je n'ai que cette image). Cette zone se trouve donc à portée d'index (5 à 7 cm pour mon index qui en fait 10 ... doigts de pianiste). Lorsque l'amante est offerte sur le dos, Caresser le point G, c'est comme caresser le nombril de l'intérieur. Lorsque l'amante tend sa croupe en levrette, il s'atteint aussi avec la pulpe du pouce, paume vers le bas.

Mais selon les femmes, tout est différent. Toutes les fleurs sont si différentes, si parfaites et si éphémères ... Elles sont symbole de fragilité, de la brièveté de l'instant présent ... carpe diem baby ... (voir le Somei Yoshino ici)

Parfois, les simples effleurements sur les pétales produisent tellement d'effets qu'il est inutile, voire brutal d'investiguer plus profond. A éviter aussi avec les petites fleurs fragiles que vous risqueriez de griffer avec des doigts plus rustique que le dard, plus brutaux que ce que l'antre de l'amante peut accueillir.

Pour certaines, le simple fait d'être fouillée révèle/réveille une jouissance profonde en totale impudeur.

Pour d'autres, la noisette est identifiable et réagit mieux que tout le reste de son antre délicieuse. Une simple pression déclenche en écho un râle de plaisir, suivi d'un délicieux soupir.
Pour la plupart, il faut alterner les mouvements. en faire le tour avec le/les doigts. Doucement, dans un sens, puis l'autre. Un profil tendre et lent, puis un profil torride un peu plus insistant : Suggérer un doux écrassement de toute la largeur des doigts la douce aspérité ...
Eviter absolument les sextoys, il sont trop envahissants, trop recherche de la performance, trop vibrant comme "l'amour à la machine". Les doigts sont parfaits.

Ce qui est favorable pour découvrir ce point G, c'est l'ambiance, la connivence, la confiance. Un amant qui cherche à cocher les positions 1 à 64 du kama sutra (ou de tout jeu de carte érotique) ou à reproduire le dvd "rocco en laponie" ... a peu de chance d'obtenir du plaisir dans le chemin. Car il s'agit bien d'un cheminement, et non d'un but à marquer. D'ailleurs, beaucoup de femmes prennent autant de plaisir dans le chemin que dans la vague orgasmique.

Ce qui est encore plus favorable, de la hauteur de mon expérience personnelle, c'est de garder la vessie pleine. Lorsque la vessie est pleine, elle comprime avantageusement les tissus sensibles, les terminaisons nerveuses ... et, du bout des doigts ou du bout du dard, il est encore plus facile de jouer de cette corde sensible, de cette corde du plaisir féminin, dont le clitoris serait le do majeur et le point G la clef.

... Et pour les mâles qui définitivement n'arriveraient pas à trouver leur chemin vers ce point source de plaisir des femmes, sachez qu'il en existe un autre ... le point G est aussi à la fin du mot shoping !!! Considérez un samedi à faire les soldes comme un long préliminaire ...

Et pour finir, un brin d'humour :

mardi 12 janvier 2010

La morsure du glaive : entre suplice et délices

La morsure du glaive, ou le baiser du bourdon. Cette douce métaphore me laisse encore le gout des délices que l'on ne peut pas arrêter, et des supplices à chaque secondes de nos ébats.

Lorsque les ébats se prolongent, que la belle a été léchée plusieurs fois, que sa perle rose est devenue si sensible qu'elle se rétracte même sous un baiser, lorsque les corps glissent l'un contre l'autre de la sueur des élans partagés, lorsque les draps seraient fontaine de fertilité pour don de sperme méthode traditionnelle, lorsque la boite de préservatif est vide, lorsque la douche nous a vu venir l'un puis l'autre puis les deux pour souffler et nous ressourcer, lorsque amant puis amante nous avons sombré dans un coma post coït de 20 minutes règlementaires, lorsque le nectar masculin a jailli 3 fois, plus rare et plus mérité à chaque fois, lorsque l'on s'est emboité par réflexe et envie, juste pour ne pas laisser d'espace entre nous, tendresse slow sex, lorsque les muscles ne suivent plus mais que le souffle est encore là et le glaive encore dur ... On tente un dernier assaut, on le veut tous les deux, ne pas partir sans jouir de toi, tu disais "encore une fois !", ne pas gâcher une minute de nous deux, rester encore à portée du septième ciel, y grimper encore ... même si nos sexes hurlent des douceurs et surtout des douleurs des frictions que nous nous offrons.

Il est trop tard, je suis blessé de toi. Salive ou lubrifiant ne cicatriseront pas les déchirures de ma hampe, fines mais au combien sensible lorsque je m'enfonce en toi. Il est trop tard, j'ai beau te lêcher, te sentir de nouveau devenir fontaine par l'envie jamais étanchée, ton antre est meurtrie, fièvreux pétales d'une fleur dévastée tellement je l'ai parcourrue, fendue, labourée, écartée, de mes doigts, de mon glaive, de mes doigts et mon glaive.

Mais l'envie est trop forte. Le support des mots frippons nous permet de franchir ces secondes, où le délice est si proche, où le délice est si présent ... à la recherche du coït simultané ... le dernier ... encore un.

Et puis, il arrive. L'orgasme. Bref, violent. Tel un tsunami, il te ravage. Tu est bandée comme un arc, les mains sur le ventre, abdos d'acier et seins pointés ... Je rugis en toi, déposant la dernière goutte de nos nectars mellés au fond de ton calice, tout au fond. Mes muscles me tirent tout autant que mon arme se rétracte, et je roule pour rendre l'âme à coté de toi. Nos corps luisent de nos nectars, suc, sèves, fluides mélangés ... Ma hampe douloureuse reflette la lumière, et ta fente flapie, déformée et vannée est rouge de cette épreuve.

Nous avons baisé toute la journée ... tu voulais un dernier assaut. Mon corps s'est souvenu de toi, à chacun de mes pas ... une semaine pour cicatriser, une vie pour s'en rappeler

lundi 11 janvier 2010

L'amour sur le capot

L'amour sur le capot, c'est aussi un fantasme féminin.

C'était un soir d'été, tard, après la fête des anciens. Nous étions plus d'une centaine, plus tard une petite trentaine en virée en boite, puis seulement nous deux.

La voiture était arrêtée au bord du lac. Derrière nous, un lotissement, devant le silence de l'eau qui dort.

Elle a laissé glisser ses mains dans mes cheveux, et moi mes lèvres sur les siennes. Les sièges reculés, nous avons pris possession de tout l'espace disponible.

Elle a commencé par me faire tomber la ceinture et le pantalon pour me faire gouter ses talents de chuppa queen. Mon désir n'était pas éteint, mais attisé. Pour ma part, je n'avais qu'à me laisser faire, mes caresses étaient limitées par l'espace.

Aussi, j'ai vite émis l'idée de sortir de la voiture. Je l'ai assise sur le capot, ai remonté sa jupe pour découvrir son coquillage rose. Avec mes doigts de fée, j'ai ouvert ses pétales. Son calice était de ceux qui ne s'ouvrent que lorsque les cuisses soutiennent le mouvement. J'ai donc repoussé plus loin encore ses genoux pour faire jaillir sa fleur, et je l'ai couchée sur le capot. Son mont de vénus était offert, son coquillage lisse luisait sous la lune. J'y ai apposé une langue intime, puis une langue coquine, une langue timide, puis intrépide ... une langue pointue, puis de toute la pulpe, j'ai envahi tout les replets de son triangle capiteux ...

Son top était tombé sur ses hanches, elle était maintenant topless et ses lourds seins ont vibré en cadence avec son bassin qui s'agitait. Ses spasmes on brulé son antre. Avant que le vertige ne s'estompe, j'étais en elle dans cette position fantasmatique : la levrette sur le capot.

Je ne suis pas sûr de recommencer ça en hiver ...

lundi 4 janvier 2010

Cyprine or not cyprine : mêmes positions, mêmes fantasmes ?

La cyprine, le moment de son apparition et sa quantité changent du tout au tout d'une femme à une autre. Mais comment aborder ces orchidées aux nectars si différents mais aux pétales si délicieux ?

La cyprine, même si le terme n'apparait pas sous ce nom dans les dictionnaires médicaux, est le terme entendu pour désigner le liquide secrété par la femme par les glandes de Bartholin, au moment de l'excitation, afin de faciliter la pénétration par lubrification de son antre enivrante (voir ici), et au passage, convoyer plus facilement le sperme vers l'ovule.

Lorsqu'une femme ne secrète pas assez de cyprine, au delà des douleurs que cela peu occasionner aux deux amants, il y a des conséquences assez immédiates sur les positions sexuelles et les fantasmes.

Tout d'abord, il faut proscrire ou éviter autant que faire se peut la pénétration rapide et charges héroïques, les changement nombreux de positions, et la levrette. Dans ces trois cas, la lubrification n'est pas suggérée, entamée ou suffisante. Une longue et langoureuse pénétration permet de lustrer avec le peu de nectar produit l'intérieur de la fleur de l'amante et les bords du dard de l'amant. Chaque changement de position occasione une perte de lubrification que vous regretterez. La levrette, comme toutes les positions où la femme est de dos, n'exitent pas le clitoris ... vous perdez là la source principale d'excitation de votre amante ... sa petite perle rose.

Avec peu de cyprine, il vaut mieux favoriser la féllation, les doigts de fée, le cunilingus (voir ici), l'amour sans pénétration (voir ici), le slow sex (voir ici) ... Mais on peut aussi jouer avec du lubrifiant, voire changer de préservatif souvent (ben oui, ça sèche à l'extérieur au bout de quelques minutes). Mais le meilleur lubrifiant reste le nectar masculin ... C'est très jouissif de pouvoir fendre une orchidée humide de votre propre nectar, après les 20 minutes règlementaires pour reprendre forme ... l'amante est souvent déroutée d'être prise jusqu'à la garde sans douleur et sans les milles douceurs préliminaires. Son plaisir est de l'ordre de l'inconnu, spasme déroutants, vertiges enchantés.

Les fantasmes en sont modifiés, car sans cyprine, restent à jamais dans la chair la crainte de la douleur et le passé (passifs) des brutaux amants précédents ou de l'homme légitime avec qui le devoir conjugal prime plus que le désir. Avec ça en tête, les fantasmes féminins vont plus sur de l'amour sans pénétration ... ou, très étonnant, la sodomie. J'ai eu quelques amantes, qui ne partageaient que brièvement leur orchidée, mais volontiers leur oeillet brun, longuement et profondemment, après avoir été portée au septième ciel du bout de la langue.


Lorsqu'il y a abondance de cyprine, il y a moins de limites et de craintes. Tout devient possible, sans précautions physiques. La fleur est toujours accueillante. Mais ... il faut distinguer l'abondance de cyprine suite à excitation, et celle qui correspond à une nature d'abondance de nectar, même hors excitation.

Dans le premier cas, l'abondance hors norme de cyprine est occasionnelle. Souvent, lors d'un premier contact charnel illégitime, la situation ou la scénarisation entrainent des décharges d'adrénaline et de cyprine. J'ai eu des amantes tellement déroutées qu'elles n'ont pas su gérer et ont fondu de plaisir dès que le dard du bourdon s'est posé à l'entrée de la fleur. Cette abondance peut se reproduire en scénarisant des fantasmes, en utilisant la corde de l'interdit ... ou en se faisant rare.

Dans le second cas, l'abondance hors norme de nectar est permanente, tout est permis. Les quickies, le viol simulé, les multiples changements de positions ... le nectar féminin est toujours là, il inonde carrément le dard. la douche froide permet souvent de faire une pause, car le souffle et les muscles manquent quand on fait l'amour des heures de suite. Evidemment, les positions les plus sportives à la Rocco peuvent être tentée, même sous l'eau ...

Les fantasmes les plus mâles sont à l'honneur. L'amour dans des lieux insolites (escalier, ascenceur, voiture, ...). Le viol simulé reste le plus fréquent (voir ici), mais aussi tout les scénarios où l'amour est une relation de force, comme les rapports domination-soumition. J'ai aussi découvert tellement de femmes pour qui l'excitation était tellement facile que les préliminaires leurs étaient étrangers, voire ne leur apportaient aucun plaisir supplémentaire. Des rèves d'une belle grosse queue, bien gonflée, bien veinée ... voilà les images que certaines m'ont décrites de leurs rêves et fantasmes.
Dans tous les cas, la lingerie devient importable, car humide au premier regard, au premier soupir ...
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