La cyprine, le moment de son apparition et sa quantité changent du tout au tout d'une femme à une autre. Mais comment aborder ces orchidées aux nectars si différents mais aux pétales si délicieux ?
La cyprine, même si le terme n'apparait pas sous ce nom dans les dictionnaires médicaux, est le terme entendu pour désigner le liquide secrété par la femme par les glandes de Bartholin, au moment de l'excitation, afin de faciliter la pénétration par lubrification de son antre enivrante (voir ici), et au passage, convoyer plus facilement le sperme vers l'ovule.
Lorsqu'une femme ne secrète pas assez de cyprine, au delà des douleurs que cela peu occasionner aux deux amants, il y a des conséquences assez immédiates sur les positions sexuelles et les fantasmes.
Tout d'abord, il faut proscrire ou éviter autant que faire se peut la pénétration rapide et charges héroïques, les changement nombreux de positions, et la levrette. Dans ces trois cas, la lubrification n'est pas suggérée, entamée ou suffisante. Une longue et langoureuse pénétration permet de lustrer avec le peu de nectar produit l'intérieur de la fleur de l'amante et les bords du dard de l'amant. Chaque changement de position occasione une perte de lubrification que vous regretterez. La levrette, comme toutes les positions où la femme est de dos, n'exitent pas le clitoris ... vous perdez là la source principale d'excitation de votre amante ... sa petite perle rose.
Avec peu de cyprine, il vaut mieux favoriser la féllation, les doigts de fée, le cunilingus (voir ici), l'amour sans pénétration (voir ici), le slow sex (voir ici) ... Mais on peut aussi jouer avec du lubrifiant, voire changer de préservatif souvent (ben oui, ça sèche à l'extérieur au bout de quelques minutes). Mais le meilleur lubrifiant reste le nectar masculin ... C'est très jouissif de pouvoir fendre une orchidée humide de votre propre nectar, après les 20 minutes règlementaires pour reprendre forme ... l'amante est souvent déroutée d'être prise jusqu'à la garde sans douleur et sans les milles douceurs préliminaires. Son plaisir est de l'ordre de l'inconnu, spasme déroutants, vertiges enchantés.
Les fantasmes en sont modifiés, car sans cyprine, restent à jamais dans la chair la crainte de la douleur et le passé (passifs) des brutaux amants précédents ou de l'homme légitime avec qui le devoir conjugal prime plus que le désir. Avec ça en tête, les fantasmes féminins vont plus sur de l'amour sans pénétration ... ou, très étonnant, la sodomie. J'ai eu quelques amantes, qui ne partageaient que brièvement leur orchidée, mais volontiers leur oeillet brun, longuement et profondemment, après avoir été portée au septième ciel du bout de la langue.
Lorsqu'il y a abondance de cyprine, il y a moins de limites et de craintes. Tout devient possible, sans précautions physiques. La fleur est toujours accueillante. Mais ... il faut distinguer l'abondance de cyprine suite à excitation, et celle qui correspond à une nature d'abondance de nectar, même hors excitation.
Dans le premier cas, l'abondance hors norme de cyprine est occasionnelle. Souvent, lors d'un premier contact charnel illégitime, la situation ou la scénarisation entrainent des décharges d'adrénaline et de cyprine. J'ai eu des amantes tellement déroutées qu'elles n'ont pas su gérer et ont fondu de plaisir dès que le dard du bourdon s'est posé à l'entrée de la fleur. Cette abondance peut se reproduire en scénarisant des fantasmes, en utilisant la corde de l'interdit ... ou en se faisant rare.
Dans le second cas, l'abondance hors norme de nectar est permanente, tout est permis. Les quickies, le viol simulé, les multiples changements de positions ... le nectar féminin est toujours là, il inonde carrément le dard. la douche froide permet souvent de faire une pause, car le souffle et les muscles manquent quand on fait l'amour des heures de suite. Evidemment, les positions les plus sportives à la Rocco peuvent être tentée, même sous l'eau ...
Les fantasmes les plus mâles sont à l'honneur. L'amour dans des lieux insolites (escalier, ascenceur, voiture, ...). Le viol simulé reste le plus fréquent (voir ici), mais aussi tout les scénarios où l'amour est une relation de force, comme les rapports domination-soumition. J'ai aussi découvert tellement de femmes pour qui l'excitation était tellement facile que les préliminaires leurs étaient étrangers, voire ne leur apportaient aucun plaisir supplémentaire. Des rèves d'une belle grosse queue, bien gonflée, bien veinée ... voilà les images que certaines m'ont décrites de leurs rêves et fantasmes.
Dans tous les cas, la lingerie devient importable, car humide au premier regard, au premier soupir ...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire