L'amour sur le capot, c'est aussi un fantasme féminin.
C'était un soir d'été, tard, après la fête des anciens. Nous étions plus d'une centaine, plus tard une petite trentaine en virée en boite, puis seulement nous deux.
La voiture était arrêtée au bord du lac. Derrière nous, un lotissement, devant le silence de l'eau qui dort.
Elle a laissé glisser ses mains dans mes cheveux, et moi mes lèvres sur les siennes. Les sièges reculés, nous avons pris possession de tout l'espace disponible.
Elle a commencé par me faire tomber la ceinture et le pantalon pour me faire gouter ses talents de chuppa queen. Mon désir n'était pas éteint, mais attisé. Pour ma part, je n'avais qu'à me laisser faire, mes caresses étaient limitées par l'espace.
Aussi, j'ai vite émis l'idée de sortir de la voiture. Je l'ai assise sur le capot, ai remonté sa jupe pour découvrir son coquillage rose. Avec mes doigts de fée, j'ai ouvert ses pétales. Son calice était de ceux qui ne s'ouvrent que lorsque les cuisses soutiennent le mouvement. J'ai donc repoussé plus loin encore ses genoux pour faire jaillir sa fleur, et je l'ai couchée sur le capot. Son mont de vénus était offert, son coquillage lisse luisait sous la lune. J'y ai apposé une langue intime, puis une langue coquine, une langue timide, puis intrépide ... une langue pointue, puis de toute la pulpe, j'ai envahi tout les replets de son triangle capiteux ...
Son top était tombé sur ses hanches, elle était maintenant topless et ses lourds seins ont vibré en cadence avec son bassin qui s'agitait. Ses spasmes on brulé son antre. Avant que le vertige ne s'estompe, j'étais en elle dans cette position fantasmatique : la levrette sur le capot.
Je ne suis pas sûr de recommencer ça en hiver ...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire