Ce mariage fut vraiment spécial. Non seulement le mariage était celui d'une d'une amie, mais surtout, c'était celui de mon amante.
Une belle grande blonde pulpeuse à souhait qui ne rêvait secrètement que de mes mains et de mes yeux, à la bouche pulpeuse et aux baisers brûlants, dans les courbes et la croupe enivrent ... une bombe sur laquelle on se retourne dans la rue, et un engin explosif sous la couette.
Elle ne rêvait que de m'avoir à plein temps, lâcher cet homme auprès de qui elle dormait nue ... mais je n'étais pas libre. Cantonnée dans ce rôle d'amante, elle essayait de trouver dans son homme du quotidien ce prince charmant dont elle rêvait. Malheureusement, c'était un chevalier qui partait en armure aux quatre coins de la France, et qui, au lit, se réveillait plus cheval de trait que bel étalon.
Elle me contait combien leurs ébats étaient courts, sa dague fine et courte, et leurs ébats hebdomadaire millimétrés et chronométrés. Elle m'avouait ne jamais avoir transpiré.
Elle rêvait de ce mâle que j'incarnais pour elle, celui qui la léchait et fendait des heures durant, celui qui gardait du mystère sur son emploi du temps, celui qui savait comment la faire frissoner et plus d'un simple baisers, celui qu'elle idéalisait dans ses rêves au point d'imaginer le plein temps.
Lasse d'attendre, elle l'épousa ... et dans la soirée, la mariée m'offrit un dernier baiser ... tendre. Elle rêvait que j'interrompe le mariage comme dans les films, que je la prenne sur mon cheval blanc comme dans les comtes, que je lui offre un long voyage aux Seychelles comme dans ses rêves, et que nous faisions l'amour sur la plage comme dans les cartes postales.
Heureusement, je me suis tût, j'ai laissé mon destrier et les billets d'avion dans ses fantasmes, et j'ai pu lui faire l'amour comme dans ses fantasmes dès son retour de voyage de noces.
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