mardi 8 novembre 2011

Fantasme de fruits : les raisins (2)

Dans votre antre, j'ai jouée avec ce grain de luxure. Je l'ai roulé contre vos lèvres ourlées, je l'ai poussé pour ouvrir un chemin plus profond, je l'ai accompagné de deux doigts entreprenants, le poussant ça et là au fond de votre chatte incandescente.

J'ai vainement essayé de le faire éclater contre toutes les parois, vous projetant par la même occasion d'un nuage à l'autre d'un septième ciel sans retour. Souvent, le gredin m’échappait et je ne pouvais plus le saisir avant qu'il ne revienne par lui même, expulsé des antres profondes par je ne sais quel spasme de plaisir. En le laissant revenir vers moi, telle une goutte de luxure qui perlerait de vos lèvres, je l'ai pincé entre deux doigts, et j'ai enfin eu sa peau ... et vous son suc.

J'ai lapé tout ce que votre corps me livrait de pulpe et de jus en vous mangeant le triangle d'or, en vous dégustant la chatte ... ouverte, lèvres écartés de mes mains complices, jusqu'à la dernière goutte de ce essence de l'union avec Dionysos, sur mes lèvres, sur ma langue ... vous étiez sucrée comme jamais.

Ce premier grain avait tellement joué les fripons que les suivants ont eu droit à quelques préparation avant de connaître leur destin de luxure. D'un coup de dent assuré, je leur ai arraché un bout de peau pour fendre ce globe trop ferme pour livrer sans peine sa pulpe à vos entrailles. Je me souviens avoir déposé la premier du bout des lèvres, le suivant de la pulpe du pouce, et d'avoir même tenté d'en glisser deux ou trois à la fois ... votre chatte était pleine d'une demi grappe quand j'ai apposé mes lèvres pour me délecter du suc qui suintait. Vous dégouliniez de jus de raisin, ces grains, même froids, avaient embrasé votre bas ventre ... je sentais votre corps battre en convulsions de plaisir dont je n'étais plus le seul chef d'orchestre. Les grains se pressaient entre eux et vos cris étouffés n'était que les prémices d'un plaisir comme libéré comme une lame de fond. Vous avez joui de ce plaisir puissant qui déchire le silence, la moitié des grains ont succombé à votre étreinte intime, votre corps, tendu comme un arc, votre chatte pleine comme une outre, et mes lèvres pour saisir ce jus orgiaque ... vous ruisseliez littéralement de plaisir et j'en dégustais chaque goutte

2 commentaires:

  1. et c'était quoi comme raisin?

    vous me donnez envie de retourner vendanger en charmante compagnie...

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  2. @Dita :

    Des raisins blancs, frais, à gros grains, sans pépins, qui éclatent difficilement entre deux doigts ...

    Jus orgiaque ... la suite cette après midi.

    Ed

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