Voilà, j'ouvre un blog pour parler de ses fantasmes. Ses fantasmes singuliers, des fois pluriels ... fantasmes féminins.
Fanstasmes dont moi, homme, je suis l'instrument, l'objet, le sujet, le chef d'orchestre ...
Elle, c'est LA femme. Elle est jeune ou plus mature, mariée ou célibataire, libertine ou à la recherche de parenthèses ... Elle sait ce qu'elle veut. Ou plus souvent, elle sait ce qu'elle ne veut pas.
Elle ne veut pas de train-train, d'attaches, de vulgarité, de violences gratuites, de pots de colle.
Elle veut l'anonymat et jouir de son corps.
Elle a gardé en elle des fantasmes non assouvis. Non assouvis parce que trop impliquants ou impossibles à réaliser avec un conjoint sans ébrécher une relation équilibrée.
Elle les veut tous. Et je vais vous les conter ici. Ca c'est passé à Lyon, ça se passe à Lyon ... entre Rhône et Saône.
Moi mon fantasme c'était d'aller en sex-shop avec ma conjointe la première fois c'était sur annecy dans un sex shop, le magic eden.
RépondreSupprimerOn était tout excité avec ma femme, ensuite en sortant de l'établissement on s'est précipité chez nous et vous connaissez la suite :-)
Bonjour,
RépondreSupprimerje lis régulièrement vos articles et je dois dire qu'ils sont à la hauteur de ce que nous voulons.
J'ai été très troublée et déroutée mais toujours enchantée.
Continuez, vous me ravissez...
Une Lilith parmi tant d'autres...
Bonjour,
RépondreSupprimerMerci pour ces commentaires. Je m'aperçois qu'une grande partie des lecteurs de ce blog sont des Eve ou des Lilith (et un peu moins d'Adam) ... Ce qui me réjouit encore et encore.
Ed
Ayant bien dépassé les deux heures du matin, j'imagine que le bonsoir est de rigueur.
RépondreSupprimerJe ne suis qu'une passagère tombée sur vous au hasard des liens et des lectures nocturnes pourtant maintenant cela fait bien trois nuits que vous m'obsédez. C'est que je deviendrez presque insomniaque à trop vous lire.
Vous m'êtes inconnu, lyonnais pour seule information, et pourtant je jurerai vous connaître intimement, par ce que vous nous livrez à chaque post. Comme si j'entendais tout cela directement de votre bouche.
Que vous soyez tendre ou cru, même si je diverge de certains points de vos dire, que vous soyez marié et/ou amant, que tout soit véridique ou non, vous maniez bien les mots, les femmes et les fantasmes. C'est que ça donnerait presque envie, et c'est tout ce qui compte quelque part.
J'apprécie de me retrouver dans plusieurs de vos contes, parce que bien qu'espérant toujours être unique (comme bien d'autres toutefois), j'imagine que quelques part nous nous ressemblons tous et toutes un peu, dans nos histoires de vie. Nous avons donc toujours à apprendre d’autrui.
Casanière à mes heures, j'ai été votre "junkie" aux piercings qu'il a fallut aider à se dévoiler, cette ado qui fantasmait de sa première fois, l'initiatrice ou l'initiée. J'aimerais écrire comme vous le faite, pour garder le souvenirs de chaque fantasmes singuliers ancré en moi... j'ai presque envie de dire éternellement en mémoire comme dans la peau!
Par la même timidité qui m'a empêché de commenter tous les articles que je côtoyaient, je vous demanderez s'il est possible de ne pas publier ce commentaire. Requête dont vous serez seul juge d'accepter ou non bien sûr. Sachant que je n'en mourrai pas.
Ce soir je voulais juste vous remercier de ces nuits de douceur, torpeur .. et parfois plus lorsque je lisais entre les lignes.
Soit dit en passant, faire des compliments commençant à m'écorcher vif le bout des doigts et me donner des sueurs froides je m'arrêterais donc là, mais vous surtout continuez je vous en prie.
PS : On se demande toujours si la photo correspond au profil de l'auteur ...
re Ps et merde, désolée je m'étais promise de ne pas écrire de roman pompeux ... pari manqué.
RépondreSupprimer@La passagère anonyme :
RépondreSupprimerDésolé, je n'ai pas pu être présent à 2h36 pour lire et intercepter votre message, et le retirer éventuellement de la circulation.
J'ai trouvé votre message touchant, ce ton de la confidence peut rester ici, il y a toute sa place ... à vous de me dire.
Concernant ma capacité à continuer, j'ai des passages à vide, comme le retour de l'été où la motivation m'a manqué. Je suis revenu au blog en commetant des messages plus court, plus simple, écho de conversations passées avec mes amantes "fondations".
J'ai aussi des moments de trop plein, où le métier que j'exerce et le marché où je suis me font me promener d'une ville à une autre et d'un continent à un autre, et quand par bonheur je suis sédentaire, à enchainer de longues journées peu propices à la bagatelle (même virtuelle), surtout que les heures restantes sont consacrées à ma femme, mes filles, et ma survie culturelle parfois.
Donc, continuer oui, dans une constance changeante ou un changement constant.
Bonne route à vous, y compris sur des chemins humides entre les lignes.
Ed
En relisant mon commentaire qui finalement n'en n'est pas vraiment un et vos mots, je me dit que positionné sur le premier article d'un site qui a déjà fait un bon bout de chemin, la confidence restera sauve.
RépondreSupprimerMerci pour les cinq gentils mots, quand à vos passages à vide rien de bien grave tant que même en dehors d'ici vous continuez de cultivez cette passion de la vie qui à l'air de vous prendre d'assaut parfois. Et puis malgré ça, j'imagine que l'on a tous le droit de flancher de temps un temps ... bn vous seulement un peu mais quand même ^^
En tout cas pleins de bonnes choses, j'imagine qu'entre les cuisse d'un amant un jour j'aurais peut-être une pensée pour vous, qui sait alors ce que celà donnera ..
Bien le bonsoir Ed.
La passagère