mercredi 30 septembre 2009

Dans le lit d'une nymphomane

J'ai eu le bonheur de me trouver dans le lit de plusieurs nymphomanes, dont une en particulier, l'ultra nymphomane par excellence (qui ressemblait un peu à celle de Desperate Housewives ou de Sex and the city).

A cette époque, j'avais beaucoup de temps, des week end à lui offrir, et ma candeur de teen ager à éprouver sous ses draps (et ailleurs).

La toute première chose à savoir sur les nymphomanes, c'est qu'elles ont toujours envie ... elles déclenchent les ébats à chaque occasion en tous lieux ...

Laissez moi vous conter un week end typique de ce que j'ai vécu avec délice.

Arrivée le vendredi soir. Il est tard. J'ai la clef, et elle m'attendait... dans son lit bien sûr. Elle était souvent en chat chaud avec quelques mâles en rut. Nue, à plat ventre sur le lit, elle tendait sa croupe en annonçant "prend moi pendant que je les allume". Fourbu du voyage et plein de désir, je me suis souvent laissé tenter par une proposition si torride de sexe rapide. Ses gémissements et spasmes étaient si fort qu'elle n'arrivaient plus à suivre son chat comme avant ... Par dessus son épaule, je lisais les messages de ses amants virtuels, qui déversaient leurs fantasmes. Elle répondaient de plus en plus brièvement ... hmmmm ... ouiiiiii.

Quelques instants plus tard, le bain partagé était l'occasion de caresses réciproques. Huiles de bains et fragrances sensuelles, entre bougies et poison de rêve ... longue et langoureuse trêve.

De retour sur le lit, elle étalait souvent une serviette, Elle dessus, offerte ... "rase moi, fait moi un coquillage lisse". La mousse à raser était superflue tellement elle aimait le feu du rasoir. Pas question pour autant d'abimer le terrain de jeu au début de la partie. Quel bonheur que de glisser la lame si froide sur un mont de venus si enflammé ... La peau enfin lisse, nettoyée des restes de mousse, ne réclamait qu'à être embrassée, léchée, sucée ... Puis, ce fut mon tour. A cet age, je n'avais jamais été aussi bien sucé ... du plaisir à s'évanouir. Puis s'endormir.

Lorsqu'au milieu de la nuit, le corps fourbu et brûlant de quelques heures à comater, vous sentez des mains s'emparer de vos atouts, le désir prend vite le dessus sur le besoin de sommeil. Morphée attendra. En pleine nuit, j'ai rarement été puissant, mais plutôt tendre et caressant. J'ai mille souvenir de nos corps s'endormant l'un dans l'autre ... Sa fleur trop humide de nos nectars pour me garder très longtemps. Ou, au contraire, de longs ébats sans inondation, et sa fleur de devenir sèche après de doux frissons intimes, me gardant verouillé en elle, immobile, si longtemps ...

Les grasses matinées etait le seul moment calme du week end. Et je dois avouer que je les ai savourées tellement en semaine, mes matins commençaient tôt à cette époque.

Petit déjeuner, au lit. Il fallait vite écarter les bols pour faire un usage tout autre du lit. Elle aimait regarder des pornos le matin, ce que je n'avais jamais vu au féminin auparavant. Chaque week end, elle avait une nouvelle floppée de casettes qu'elle avait calées là où elle voulait. De temps en temps, elle me donnait une salopette de plombier, un stétoscope ou autres instruments ... pour faire comme à la télé ... Car c'est ce qu'elle désirait, fantasmait. Que je la prenne comme à la télé. Je ne sais pas si vous avez un jour essayé de faire du copier collé et ébats synchronisés avec un acteur porno ... c'est achtement plus sportif que jouissif ... sauf pour elle qui enfilait les coïts comme on enfile des perles.

Elle aimait ensuite aller sur le marché qui touchait à sa fin, enfilant une jupe et un top, et gardant mon liquide chaud entre ses cuisses. Pour ma part, je restais sur ce lit, tendre ami de ma somnolence méritée.

Revenue de son marché avec de quoi nous nourrir, elle revenait me trouver dans le lit avec des surprises erotico culinaires différentes à chaque fois. Raisins, fraises, framboises, et mêmes tranches d'ananas frais était tant de faire-valoir de ses courbes, intertices, monts et antres ... Qu'elle complétait avec une lente dégustation partagée de cette salade de fruit dont j'étais souvent le principal fruit de ses pulsion. J'ai en mémoire tant de coït sucrés et tant de douches pour nous débarasser de ces viscosités sur nos peaux encore chaudes de longs frottements ...

Il arrivait que je rende grâce, que je ne sois plus en état de produire une goutte d'émoi ... un orgasme masculin sans une goutte ... jamais ça ne m'étais arrivé auparavant ... Les draps auraient pû être une fontaine de fertilité, j'avais tout donné ...

L'après midi se passait dehors, et ils nous arrivait souvent de faire quelques flippers dans un bar, bière trappiste à la main. Les mâles alentours se rinçaient l'oeil, et elle se réjouissait de cet exhibition de caresses appuyées ... Qui se terminaient dans la voiture ... chauds comme la braise, nous n'avions pas envie d'attendre le retour dans le nid. Cette voiture nous a vu reculer ou basculer les sièges tant de fois qu'elle pourrait tenir un blog de nos ébats.

Le début de soirée était souvent le moment où elle appelait sa famille, ses amis. De temps en temps, elle était appelée par des prétendants ou des ex, voire des amants ... Chaque fois que j'arrivais à le détecter, je m'empressais de la perturber dans sa conversation ... Souvent difficile à embarasser, elle se laissait déshabiller, caresser, embrasser, fendre, prendre ... De temps en temps, elle me racontait que son correspondant lui demandait si elle avait bu ... parce qu'elle était "bizarre" ...

La nuit était une nouvelle joute sublime, mélange de kama suthra ou jeux érotiques, de bains partagés à nouveau, et d'endormissements temporaires, laissant nos corps récupérer quelque énergie ...

Son hypersexualité ne s'arrêtait jamais. Je rendais grâce de nouveau, réclamant un rien de sommeil afin que mes forces vives puissent de nouveau abonder.

Je me souviens avoir sombré souvent dans la somnolence sous ses caresses, mon membre ni endormi, ni tout à fait présentable ... Et elle, insatiable, à prendre du plaisir à se frotter contre moi, à se faire l'amour avec ses cinq doigts, ou à literallement se planter sur moi comme ou pourrait s'asseoir sur un cierge ... Le suplice, son délice.

Le matin du dimanche était une nouvelle grasse matinée, et le compte à rebours de mon départ était lancé. Mon train souvent était au début de l'après midi ... Mais nous avions le temps de glisser vers le septième ciel, avant et après la douche ...

Le départ était pour moi une libération ... et je portais sur moi les traces de tant de frottements et de frictions ... mon corps avait vraiment besoin de ces 5 jours pleins pour se remettre avant de rejoindre mon ultra nymphomane pour un nouveau week end.

3 commentaires:

  1. bon allez je te donne juste mon pseudo lol ...lily je viens regulierement sur ton blog et je t'ai déjà laissé un com.....je ris car ne dis pas que tu es ....un homme objet allez avoue ça te plait non?? mdrrr bon wk a plus......anonyme anonyme je ne le suis pas vraiment tu as déjà mon pseudo lol

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  2. Lee problème avec les nymphomanes, c'est que ça ne court pas les rues.. et ce n'est pas forécement marqué dessus, donc on passe souvent à coté :-)

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  3. Edouard,
    j'ai lu attentivement vos ébats amoureux avec une juen femme nymphomanes, quelle chance que vous avez eu de désirer une femme qui aime l'amour, je n'ai pas eu cette chance, j'ai une forte libido pour mon âge, j'ai une énergie d'un homme de 30 ans par contre, je suis un homme sentimentale et je suis toujours tombé sur de belles femmes mais j'ai servi de bouée de sauvetage et de fantasme.
    Pouvez-vous m'indiquez un endroit ou une femme mature recherche un homme qui puisse la combler.
    Georges

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