Ouvrir la porte de la chambre, montrer le chemin du lit conjugal à son amant constitue le méga fantasme ... C'est la double transgression : L'amant dans les bras et dans les draps.
La jouissance est à la hauteur du délit. Chacune dans son propre lit a savouré un fantasme longtemps rêvé, longtemps repoussé, et finalement le voilà. L'onde, les flots de plaisir sont à la hauteur de ces songes-obsessions, lents préliminaires à une après midi torride.
Lorsque la culpabilité vient parachever cette hyperbole des sens interdits, on touche le fond de l'impasse. J'étais donc leur homme objet.
A celle qui a découvert un huitième ciel, il est difficile de lui faire quitter ce nouveau terrain de jeu, où se mélangent ultra-désirs, ultra-plaisirs et ... ultra-dangers.
Et le plaisir de l'homme objet?
RépondreSupprimerje me sens totalement incapable de faire ça.
RépondreSupprimerc'est pour moi la limite à ne pas franchir. je changerais peut-être mais aujourd'hui impossible de l'imaginer.J'ai l'impression que ça me couperait tout mes effets.
:)
@Dita :
RépondreSupprimerMa fois, je m'en croyais incapable aussi, mais quand on en ligne de mire ce méga fantasme, il ne s'agit pas de plier la tente, mais de montrer toute l'ardeur de l'amant espéré ...
Ed