
Aussi, j'aime venir à toi après avoir purifié l'animal qui est en moi. Je suis aussi vaillant, mais ton corps ne me mets plus dans l'embarras. Je peux arpenter ton antre des heures durant, laissant libre court à des impulsions, accélérations, percussions ... dignes d'un étalon. Tu gémis entre plaisir et agonie, dans une abondance de cris que tu dégorges à chacun de mes coups du butoir. Ton corps suinte contre le mien, et ton triangle fuit de ton délicieux élixir qui accueille mes élans. Puis, quand ton corps est épuisé, courbaturé, brisé en mille morceaux, quand ton esprit ne sait plus d'où vient le plaisir, la pression, l'envahissement, et que l'abandon ultime te met dans un état comateux ... alors, j'écoute mes sens, et je rugis à mon tour.

Oh putain, j'adore quand tu me baises. Surtout quand tu me pénètres et que ton corps lourd pèse sur le mien. J'aime quand ton sexe cogne tout au fond, je crie comme une chienne, tout l'immeuble sait qu'on baise.
