jeudi 25 novembre 2010

La Fée Lation, reine des Chupa Queens

Seule une femme sur dix sait bien sucer, et méritent d'être appelées "Chupa Queen".

Une Chupa Queen aime sucer, et elle vous fait aimer être sucé. C'est son fantasme récurent que de vous déguster, de vous tenir en main, en bouche, voire, de vous "finir" entre ses lèvres.

Ces femmes sont les Chupa Queens.
Quand un homme est sucé par une Chupa Queen, les sensations sont indescriptibles. Je vais tenter de partager mes expériences en utilisant des mots qui ne sont que réducteurs, les tourbillons des sens sont si forts que ces mots, je le sais d'avance, ne seront pas assez forts. Mais les mots, tout en étant des traitres à ma pensée, ne seront pas pour autant des frontières à votre imagination, vos inspiration ...


Aimer sucer :
La toute première chose à savoir, c'est qu'une Chupa Queen aime vraiment sucer. Elle est demandeuse, voire impose de prendre en bouche son sucre d'orge. Ça change vraiment tout, l'intensité, les nuances, les variations. Tout est sublime et sublimé. On ne sait plus qui offre du plaisir à l'autre tellement cet acte unilatéral devient un partage, une fusion, une union de deux êtres vers un duo.

Connaître parfaitement le sexe masculin :
Rien n'est étranger dans le sexe masculin pour une Chuppa Queen. Les zones érogènes d'une verge lui sont évidentes. Elle serait dans le noir qu'elle saurait comme en pleine lumière manœuvrer l'animal. Tous les leviers sont des atouts. Le gland n'est pas qu'une extrémité, il y a une col, une couronne, une face antérieure, une face postérieure. Le frein (si si !!) possède même une fossette (si si si !!!).

Le corps est lui aussi très sensible. Il peut devenir turgescent quand il est dur comme du bois, et moins vaillant à d'autre moment, mais toujours aussi sensible.

Les bourses si elles ne sont pas négligées, manipulées par une expertes, sont d'un érogène sans limite.

Et enfin, l'orifice, qui se nomme Ostium (embouchure en Latin ... à ne pas confondre avec hostie, même si ça s'avale aussi), est d'un raffinement délicat dans les plaisirs pour qui sait faire des baisers pointus sans aiguillonner.

Varier :
Elle sait varier. Sucer, embrasser, mordiller, mordre aussi, faire coulisser la peau sur la hampe, presser dans la main, presser contre les lèvres, humidifier, prendre à pleine bouche, enrouler la langue, presser entre deux doigts, presser de toute la main, coordonner bouche et main, déguster les bourses, faire des baisers pointus ...

Et accélérer, ralentir et s'attarder :
Une Chupa Queen sait aussi s'attarder. Accélérer et varier apportent des pulsations, d'un plaisir que l'on exhale tellement il est intense. Ralentir et s'attarder galvanise les frissons, qui comme une lame de fond, possèdent le corps dans ses moindre recoins.



Utiliser des secrets de maître :
Projeter le gland contre le palais, utiliser la succion jusqu’à faire le vide dans la bouche, les baisers pointus, les vibrations d’un ronronnement sensuel, les baisers mentholés (chaud et froid), la compression des veines pour rendre la tige turgescente, les frissons à base de glaçons, sucer au rythme downtempo d’un Buddha Bar ou Hotel Costes …

Et savoir finir en beauté :
Une Chupa Queen sait finir, conclure. Parfaire et achever une fellation, dans un ballet de mouvements rapides et amples, au moment opportun, pour porter à son faîte le plaisir. Deviner quand le frisson a passé le point de non retour, et garder le contrôle quand les spasmes électrisent le corps de l'amant.



On se sent tout d'abord objet pour celles qui scénarisent la fellation. Pour une fois, la position nous est imposée … Souvent impuissant à reprendre le contrôle, lèvres, langue et mains sont trop loin de tout pour que les frissons soient masculins et féminins.

Puis, quand les frissons commencent, on se sent sultan. Le lâcher prise devient alors la seule manière d'apprécier et ressentir toute la délicatesse ou la vigueur de ce plaisir si particulier. Ces frissons peuvent rester à l’état de frémissement pendant de longues minutes, si ce concerto sur un instrument à bouche s’attarde jouer une partition larghissimo ou lento. Piano ou Forte, ce lent rythme ouvre les sens et le plaisir s’expire en halètements qui sont autant de témoins du régal à être entre d’aussi bonnes mains et d’aussi virtuoses lèvres.

Arrive un point de non retour, souvent cherché par une Chupa Queen qui règne sur son art. Allegro Vivace, le cœur s’emballe et les frissons deviennent tremblotements et spasmes désordonnés. La montée de la jouissance se fait dans une puissante et vigoureuse impulsion intérieure qui déplacerait des montagnes. La talentueuse Chupa Queen peut alors se régaler en dégustant le nectar tiède, ce qui prolonge, voire amplifie encore la jouissance.


A toi, ma belle Chupa Queen, ma fée (lation)

89 commentaires:

  1. Merci de me donner tant de frustration, il est 14h45 le 25 novembre et mon amant ne sera pas de retour avant le 6 décembre prochain...
    le temps va être long, très long.

    Encore un très bel, et très bon article cher Ed.

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  2. @Laora :

    L'attente ne fait elle pas partie des préliminaires ?

    Ed

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  3. Parfois il est bon que les préliminaires ne prennent pas trop de temps,...

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  4. Merci Ed, vous vous faites l'écho d'un billet que j'avais intitulé "J'aime sucer" !
    Si je puis me permettre une suggestion musicale : HOTEL COSTES 12,DJ Vadim, "Beijos"

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  5. @Lou :

    En effet, quand on adore, ça se ressent à l'autre bout de la langue.

    Ed

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  6. Merci pour ce cours, mais quand on fait les choses avec amour, je pense qu'on ne peut que bien les faire...

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  7. Très bel article ! J'ai beaucoup aimé ... surtout le commentaire de Chouchou dans mon oreille "tu n'as rien à apprendre !" :-)

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  8. @Maxine :

    Ma foi, je m'inscris en faux. Autant trop de technique nuit à l'acte, surtout s'il n'y a que ça et peu d'élans du coeur, autant il y a de superbes amours qui ne savent pas se servir de leur dix petits doigts.

    Dire qu'il y a des dispositions ou un don ... Ca me semblerait plus juste.

    Ed

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  9. @Sof :

    Alors comme ça, vous lisez le blog à deux ?

    Ed

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  10. J'ai tendance à penser qu'il n'y a pas de mode opératoire mais simplement du feeling. Je ne veux pas me vanter ni me targuer d'être ce que vous appelez une "Choupa Queen", mais j'aime sucer et je pense réussir à donner du plaisir à mon partenaire sans pour autant suivre des règles prédéfinies dans un certain ordre.
    Tout doit se faire selon les réactions de l'autre, chacun réagi différemment mais surtout, on ne réagit pas toujours pareillement aux mêmes stimulis. Il me semble que le plus important est de rester attentif à notre partenaire et de sentir ses moindres vibrations sans qu'il n'ait besoin de parler.

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  11. Des dispositions et un don peut être mais qui ne peuvent se révéler qu'avec certains hommes très inspirants...Les mystères et la symbiose d'une rencontre !

    Orane.

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  12. @Captain :

    Je suis parfaitement d'accord, mais celles que j'appelle Chupa Queen savent donner plus, beaucoup plus que du plaisir ... On peut vite devenir accroc ... Heureusement, elles vivent loin !

    Ed

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  13. @Orane :

    Je crois que l'inverse est vrai aussi ... une belle fleur peut ou non inspirer selon si elle se trouve dans les broussailles d'un jardin terne et négligé, ou dans un jardin luxuriant et enivrant.

    Ed

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  14. Évidemment...ce qui vaut pour l'un, vaut pour l'autre !

    Orane.

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  15. Ah la prochaine fois que je vois mon amant je lui demande de me faite passer l'examen d'obtention du diplôme de Chupa Queen. Comme j'adore ça je suis sûre que j'ai déjà la moitié des points acquis !! :-)
    Mais j'ai quand même noté 2 ou 3 conseils merci Ed !

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  16. @Carole :

    Vous allez tout gâcher en tentant une approche quantitative et numérique de cette qualité. Ces moments se vivent et se partagent, plutôt que se noter en points et en diplômes.

    Et puis, ne tentez jamais d'obtenir de la franchise d'un amant que vous venez de sucer.

    Ed

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  17. Je plaisantais ! Je ne lui demanderais jamais une chose pareille ! Voir son plaisir me suffit ! :-))
    Et il me complimente sur ce point sans que j'aie besoin de rien dire ! Donc tout va bien !
    Parce que si les femmes se mettent à refaire la scène "Alors heureux?" que nous détestons tant où va-t-on mon cher Ed je vous le demande ???

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  18. @Carole :

    Surtout que l'alchimie peut marcher de manière ahurissante avec certain(e)s, et un vrai flop en d'autres occasions. Alors qu'on est le/la même.

    Ed

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  19. Il m'est même arrivé avec un partenaire de faire un tabac la première fois et un flop au deuxième rendez vous !Je n'ai rien compris !!
    Décidément le sexe a des voies impénétrables parfois !!

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  20. @Carole :

    Peut être un amant qui a ce besoin de nouveauté à chaque fois ?

    Ed

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  21. @Dita :

    C'est ça, tout est question de pression, non ?

    Ed

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  22. Et jouer avec l'Ostium du bout de la langue on du bout de l'ongle...

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  23. @Irma Vep :

    Du bout des ongles ... c'est presque plus que pointu.

    Ed

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  24. Pouahhhh !!! Seigneur !! J'ai découvert votre site cet après midi et j'adore lire et relire vos pages !! et celle ci ! Ma foi ...
    Dieu sait comme j'adore lécher sucer serrer le sexe de mon comgagnon dans ma bouche et mes mains ...
    Un homme qui aime partager son plaisir et se laisse aller à se tordre de plaisir sous les assauts de ma langue et de ma bouche salivante. hmmmmmmmmm !!!

    Tirer un peu sur les bourses, appuyer contre le périnée, effleurer du bout de la langue la petite porte ou la frôler de ses doigts. Réticent au début, ils finissent pas en redemander et s'offrir à moi après cette découverte que je leur apporte de leur propre corps.

    Instant sublime quand la chuppa en bouche je les regarde dans les yeux et les vois fondre comme neige au soleil ...

    Dieu m'en soit témoin, c'est fou comme j'aime donner du plaisir d'autant plus, quand il sait me faire partager le sien et se laisse aller!!!

    J'ai quand même une lacune, je n'arrive pas souvent à aller jusqu'à l'éjaculation malgré une endurance et une profondeur à force de pratique, assez développées, de la salive en abondance et la preuve très net que l'homme a un plaisir intense. Grande frustration pour moi... snif !

    Enfin, instant nostalgie ...
    On sent que vous maitrisez le sujet.

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  25. @Sinou :

    Votre lacune ne serait pas celle de votre amant ? Bandez lui les yeux la prochaine fois, pour qu'il "écoute" les frissons de plaisir encore plus intensément.

    Merci pour vos commentaires.

    Ed

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  26. "Seule une femme sur dix sait bien sucer", donc 90 % de maladroites, d'abstinentes,de chastes, de pudiques, de prudes... soit autant de malheureux ! Pauvres hommes que nous sommes.

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  27. @Janus :

    Heureusement pour vous, vous n'avez pas eu une seule femme dans votre vie.

    Ensuite, vous êtes dur avec les autres, qui n'en sont pas moins femme, et qui sauraient vous combler sans faire des milliards d'étincelles de leur bouche.

    Ed

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  28. Ah... il existe des stats pour la fellation...ben flûte alors !

    C’est à la femme de déterminer à quelle profondeur, elle va prendre le sexe dans sa bouche.
    Beaucoup de femmes ont tendance à croire que leur partenaire éprouvera plus de plaisir si elles engloutissent son pénis en entier. Mais on risque d’éprouver une sensation de suffocation en voulant trop bien faire. Je peux faire, mais pas à chaque fois !
    Le regard est très important pour l' homme pendant la fellation. Il prend encore plus de plaisir à lire dans nos yeux que l'on aime...(je l'ai remarqué...)et j'aime bien aussi le regarder !

    Je n'ai pas aimé la faire non plus à tous mes partenaires... Certains sont plus inspirants que d'autres et peut être, Monsieur Janus que vous ne l'êtes pas tout simplement ! Vous êtes vous déjà posé cette question avant de balancer vos stats ?


    Orane.

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  29. @Orane :

    Pour éviter sur suffoquer, il faut prendre des plus petites sucettes.

    Gourmande !

    Ed

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  30. @ Ed

    C'est la première fois que j'interviens sur votre site que je viens de découvrir par curosité. Néanmoins, j'aime être honnête, même protégé par l'anonymat d'un divin pseudonyme (particulièrement approprié dans mon cas).

    "Heureusement pour vous, vous n'avez pas eu une seule femme dans votre vie." Soyons honnête : deux. La première, fraîchement divorcée, m'a fait payer une addition qui n'était pas la mienne, la seconde m'a fait découvrir le vrai plaisir sexuel (hormis la fellation) et je l'ai épousée.

    @ Orane

    "Ah... il existe des stats pour la fellation...ben flûte alors !" Pour la sexualité en général, il y a des publications scientifiques régulières à l'exemple de la dernière enquête CSF ("Contexte de la sexualité en France"). Celle-ci a été menée sous la responsabilité scientifique de Nathalie Bajos (Inserm) et de Michel Bozon (Ined), et coordonnée par Nathalie Beltzer (ORS Ile-de-France). Cette enquête a été réalisée à l’initiative de l’Agence nationale de
    recherches sur le sida et les hépatites virales (ANRS). On y apprend des tas de choses intéressantes, qui mettent à mal bien des préjugés. En voici quelques exemples :

    La masturbation est "une sorte de tout premier contact avec la sexualité" pour 90 % des hommes, toutes générations confondues. Les femmes, elles, sont moins nombreuses à la pratiquer (60 %) et l'expérimentent plus tardivement.
    Au lit, "fellation et cunnilingus ont connu une diffusion spectaculaire depuis les années 1970 et sont devenus une composante très ordinaire du répertoire sexuel", constate l'enquête. En revanche, la pénétration anale demeure une pratique minoritaire. En 2006, 37% des femmes et 45% des hommes disent en avoir fait l'expérience contre respectivement 24 % et 30 % en 1992.
    Le plaisir n'est pas toujours au rendez-vous. Au cours des douze derniers mois, 36,3 % des femmes ont eu "souvent" ou "parfois" des difficultés à atteindre l'orgasme et 16,8 % des hommes ont pu rencontrer des problèmes d'érection.
    L'échangisme, quant à lui, est très peu répandu et davantage masculin : seulement 1,7 % des femmes et 3,6 % des hommes ont fréquenté un lieu échangiste au cours de leur vie. Le recours à la prostitution ne recule pas. En 2006, 3,1 % des hommes ont payé pour avoir un rapport sexuel (contre 3,3 % en 1992).
    Source : Le Monde, 13 mars 2007.

    @ Orane

    Avant de conclure, je me permets de répondre à deux de vos assertions :

    "Je n'ai pas aimé la faire non plus à tous mes partenaires... Certains sont plus inspirants que d'autres et peut être, Monsieur Janus que vous ne l'êtes pas tout simplement !" Peut-être en effet. Cette interrogation m'a déjà effleuré à plusieurs reprises pour expliquer le refus de mon épouse. Inquiet, j'ai fini par soumettre mon vit (sous forme de photos) à la critique d'un ami homosexuel, un ami de longue date qui a une vie particulièrement dissolue ; c'est un fieffé coquin ! Résultat : il m'a rassuré, concluant que j'avais "vraiment une belle chibre" (sic) et regrettant que je ne sois pas bi car il aurait aimé en profiter. Je le connais depuis assez longtemps pour savoir que c'est un fameux opportuniste et non un menteur. Par conséquent, je lui fais confiance à ce sujet.

    "Vous êtes vous déjà posé cette question avant de balancer vos stats ?" Je me suis déjà posé cette question (cf. la remarque précédente). Par contre, je n'ai fait que rebondir sur la phrase d'introduction du présent article. Je n'ai donc avancé aucune statistique, sauf à faire l'équivalence entre une amatrice sur dix femmes, donc 10 %, et la différence, soit 9 sur 10 ou 90 %.

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  31. Bonsoir,

    Et si on gardait le cap ... Les Chupa Queens ?

    Ed

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  32. Effectivement. Par conséquent, souhaitons longue vie aux Chupa Queens... même si je n'ai pas le plaisir d'en connaître.

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  33. @ Janus

    "Par conséquent, souhaitons longue vie aux Chupa Queens... même si je n'ai pas le plaisir d'en connaître."

    Si fait mon cher ...vous de faire connaissance de façon épistolaire avec une Chupa Queen ! sourire !

    Orane.

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  34. @Janus pour sa longue ( désolée) explication !

    Merci pour toutes vos précisions et vos sources !
    Déployez toute votre fougue ( à vous lire ) à faire aimer à votre femme ce plaisir car réellement cela en est un !

    Je ne me retrouve pas ds ces stats ...

    Orane.

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  35. Ed,

    Gourmande, cela ne fait aucun doute ... sourire !

    Orane.

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  36. @ Janus

    Vous avez demandé conseil à votre ami qui c'est exclamé devant votre "chibre"....mais avez vous posé la question à votre femme ?
    Avez vous totalement confiance en vous ?

    Orane.

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  37. @ Orane

    "mais avez vous posé la question à votre femme ?" Bien évidement ! C'est même la première personne à qui je me suis adressé. Sa réponse ? Que j'arrête de l'embêter avec des "conneries" (sic).

    "Avez vous totalement confiance en vous ?" Disons que j'ai perdu confiance en moi à l'image de Samson et Dalila.

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  38. @ Janus

    C'est vrai que les femmes n'abordent pas avec la même aisance les "jeux" amoureux.
    C'est tout de même fort dommage pour vous qu'elle assimile cela à des "conneries"...
    Je trouve cela d'une grande tristesse...

    Orane.

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  39. @ Janus...oubli !

    Avez vous essayé de lui demander ses raisons ! C'est important de les connaitre et de les comprendre pour peut être changer quelque chose chez vous...expérience négative ( mais cela se surmonte) pas envie d'avoir du liquide préséminal ou du sperme dans la bouche ...sensation de soumission...

    Il est évident que la sexualité doit se vivre dans le respect. Les mauvaises expériences du passé peuvent avoir un impact important sur la capacité à développer le plaisir de faire une fellation.
    Dommage que la fellation ne soit pas toujours vécue comme un véritable échange de plaisir...



    Orane.

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  40. @ Orane

    "Je trouve cela d'une grande tristesse..." Imaginez alors quand on la vit au quotidien.

    "Avez vous essayé de lui demander ses raisons ?" Elle n'apprécie tout simplement une pratique qu'elle juge dégradante.

    "Dommage que la fellation ne soit pas toujours vécue comme un véritable échange de plaisir." Je ne peux que vous approuver sur ce point. Cela dit, l'absence de plaisir engendre progressivement l'absence de désir, qui a lui-même pour conséquence de mettre entre parenthèse la sexualité, puis à se poser des questions d'abord sur ses propres capacités sexuelles (que le doute met à mal), puis sur son amour. Si vous me le permettez, je concluerai mon intervention en citant quelques assertions philosophiques d'un ami et confident (qui se reconnaîtra à travers ses initiales car il faut rendre à César ce qui appartient à César) :

    L’homme est à l’image du diamant : précieux… et à multiples facettes. (L.O.)

    Le sexe, c’est comme le sport : moins on pratique, moins on est performant. (L.O.)

    Le sexe pour le sexe, soit ! Mais avec tendresse… (L.O.)

    La folie, c’est l’abstinence ! (L.O.)

    La pornographie, c’est du plaisir par procuration. (L.O.)

    L’infidélité ne se commande pas, elle s’improvise. (L.O.)

    Il est terrible de ne plus susciter de désirs. Mais n’est-ce pas encore plus terrible de ne plus en ressentir ? (L.O.)

    Si le désir s’effrite avec le temps, le besoin d’amour reste toujours présent. (L.O.)

    À un moment ou un autre de sa vie, un homme se sent toujours seul. (L.O.)

    Il n’y a rien à espérer d’un homme marié, hormis le pire. (L.O.)

    Penser l’amour est aussi mauvais qu’un vin bouchonné. (L.O.)

    L’amour ne se pense pas, l’amour se vit ! (L.O.)

    Si vous pensez aimer, c’est que vous n’aimez pas… (L.O.)

    L’amour est affirmatif et non interrogatif, encore moins conditionnel. (L.O.)

    Les sentiments apaisés sont comme les volcans éteints : il ne faut pas les réveiller ! (L.O.)

    La solitude peut se vivre à deux. (L.O.)

    Qu’est-ce que divorcer sinon brûler ce que l’on a adoré ? (L.O.)

    En amour, nous sommes tous des mendiants : nous n’avons rien à offrir mais tout à recevoir… ou l’inverse. (L.O.)

    On ne donne pas du plaisir à une femme : elle le prend tout simplement. (L.O.)

    La vie est une tragi-comédie qui se finit mal au final. (L.O.)

    La vie est un roman écrit à l’encre de notre sang et de nos larmes. (L.O.)

    La jalousie n’est pas synonyme d’amour, elle peut même symboliser son contraire ! (L.O.)

    Merci pour cette discussion (même anonyme et en décalage dans le temps) mais revenons au sujet principal les divines "chupa-queens", qui représentent pour moi un idéal, un rêve, un fantasme, une obsession, une frustration, une douleur, un soupir…

    Juste une interrogation pour conclure : quel est l'équivalent masculin de "chupa queen" ? Je pose la question car j'adore le cunnilingus.

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  41. @ Janus,

    "Imaginez alors quand on la vit au quotidien."

    Oui, je peux aisément ...



    "Elle n'apprécie tout simplement une pratique qu'elle juge dégradante."
    Avec la confiance et la complicité ds les "jeux", rien n'est dégradant !

    "La jalousie n’est pas synonyme d’amour, elle peut même symboliser son contraire."
    Qu'il est bon de ne pas être envahit par cet horrible émotion !

    "La vie est une tragi-comédie qui se finit mal au final."

    "L’infidélité ne se commande pas, elle s’improvise."

    Eh oui, je le crois !
    Et là nous sommes tous égaux, enfin !

    "La solitude peut se vivre à deux."
    Oui, et c'est con tout de même !

    "Il n’y a rien à espérer d’un homme marié, hormis le pire."

    Pourquoi espérer ?

    "L’homme est à l’image du diamant : précieux… et à multiples facettes."

    Et oh c'est quoi ce macho !


    "Cela dit, l'absence de plaisir engendre progressivement l'absence de désir, qui a lui-même pour conséquence de mettre entre parenthèse la sexualité, puis à se poser des questions d'abord sur ses propres capacités sexuelles (que le doute met à mal), puis sur son amour"

    Seriez-vous en plein questionnement ?

    Merci aussi pour ces échanges...J'espère qu' Ed ne nous en voudra pas ....

    Orane.

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  42. @ Janus...encore un oubli !

    "Je pose la question car j'adore le cunnilingus."

    Et elle apprécie t-elle que vous lui fassiez ?

    Orane.

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  43. @Janus et Orane :

    J'ai en effet validé les échanges épistolaires parcequ'il restaient cordiaux et à chaque fois avec une contribution et non une contradiction.

    Quelle impression ça fait ?

    Un peu l'impression de vous voir flirter dans mes draps.

    Ed

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  44. Ed,

    De la soie vos draps ... sourire !

    Cela fût (est) très agréable de me laisser ainsi emporter et conduire , la magie du virtuel ! re sourire !

    Merci à vous Ed et je vous souhaite un très joyeux Noël !

    Orane.

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  45. Un petit cadeau musical...

    L'inédit :http://www.deezer.com/listen-7180019


    Orane.

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  46. @ Orane

    "Seriez-vous en plein questionnement ?" Le doute et la frustration engendrent inévitablement l'interrogation et l'introspection, donc le questionnement (avant la remise en cause des fondements ?).

    "Et elle apprécie-t-elle que vous lui fassiez ?" Elle appréciait, serait plus exact. Elle appréciait avant de me l'interdire... par mesure d'hygiène. Là, c'est à la fois frustrant et blessant (car cela sous-entend un manque d'hygiène de ma part alors que ce n'est nullement le cas ! Pis, elle me rend ainsi implicitement responsable de ses infections urinaires récurrentes).

    @ Ed

    "Un peu l'impression de vous voir flirter dans mes draps." Cela rejoint finalement votre billet intitulé "Double pénétration : j'ai adoré". Un beau texte puisque sans vulgarité mais qui ne peut intéresser que les initiés, les amateurs du genre. Pour ma part, je ne conçois l'amour qu'à deux, l'un contre l'autre, l'un avec l'autre, l'un dans l'autre. D'ailleurs, Christine Orban a écrit qu'"Une femme qui aime l’amour n’aime l’amour qu’avec un seul homme. Ils peuvent se succéder, jamais se cumuler." (Christine Orban, Le Silence des hommes). Toutefois, Woody Allen n'a-t-il pas dit que "Le sexe entre deux personnes, c’est beau. Entre cinq personnes, c’est fantastique" ? Honnêtement, je préfère les propos de Christine Orban.

    Je finirais, néanmoins, sur les paroles de Zsa Zsa Gabor : "Je ne sais rien du sexe, j’ai toujours pratiqué pendant le mariage."

    Merci pour cet échange et, sincèrement, bonnes fêtes de fin d'année à tous (même si nous ne nous connaissons pas et ne nous connaîtrons vraisemblablement jamais ; comme l'a écrit Orane, c'est "la magie du virtuel" et de l'anonymat préservé, suis-je tenté d'ajouter).

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  47. @ Janus,

    Ce que vous dites est encore plus triste ...

    "Une femme qui aime l’amour n’aime l’amour qu’avec un seul homme. Ils peuvent se succéder, jamais se cumuler."
    Cette phrase fait l'écho à ce que je pense !
    En amour il n'existe aucune recette... Il suffit d'une rencontre et d'une symbiose, de la confiance, de la connivence, du respect... et alors c'est magique... Éternel si nous arrivons et voulons maintenir l' équilibre de ces ingrédients....
    Merci pour vos souhaits et à mon tour je vous adresse les miens !

    Orane.

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  48. @ Orane

    "Ce que vous dites est encore plus triste..." Triste peut-être, mélancolique assurément (mélancolie des plaisirs passés, aujourd'hui perdus). Cependant, comme André Gide, "Je temporise, je louvoie, je tâche de me persuader que le lendemain sera meilleur si je prends mon parti de lui sacrifier l'aujourd'hui" (André Gide dans son Journal en 1917).

    Cependant, comble d'ironie, mon épouse me considère comme un obsédé car je m'inquiète pour ma sexualité, notre sexualité (plus exactement l'absence de celle-ci). Pour elle, ce n'est pas une priorité, pas même un jeu, rien finalement. Elle estime donc que je m'inquiète pour des billevesées. Finalement, je n'ai échappé à la folie de l'abstinence que grâce à la pornographie, terrible aveu. Je m'arrêterai ici dans les confidences car même l'anonymat ne protège pas des blessures intimes.

    "En amour il n'existe aucune recette... Il suffit d'une rencontre et d'une symbiose, de la confiance, de la connivence, du respect... et alors c'est magique... Éternel si nous arrivons et voulons maintenir l' équilibre de ces ingrédients..." Vos propos me rappellent ceux de Vinicius de Moraes : "Je peux dire de l’amour que j’ai vécu qu’il n’est pas immortel, puisqu’il est flamme, mais il est infini tant qu’il dure…"

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  49. @ Janus...

    Mais c'est surprenant ce que vous dites la concernant alors que vous disiez : "la seconde m'a fait découvrir le vrai plaisir sexuel (hormis la fellation) et je l'ai épousée." Elle est devenue différente...Qd on aime le sexe cela ne perd pas ! On peut se mettre en sommeil mais qd on appuie sur le bouton cela redémarre au quart de tour ... Enfin je fonctionne ainsi !

    Elle est un peu ( non beaucoup ) égoïste cette femme de vous laisser ainsi...Je ne trouve pas que cela soit des chimères et elle doit bien voir votre détresse ! C'est un peu facile de vous traiter d'obsédé ! Vous semblez dialoguer sur le sujet avec aisance en plus ( l'écriture aurait elle un effet catharsis ?)

    La pornographie est devenue votre refuge pour ne pas sombrer ... Nous avons chacun nos bouffées d'oxygène , mais à vous lire, votre manque et votre souffrance sont si criants !
    Vous n'avez jamais songé à prendre une maitresse ? Je suis indiscrète là !
    Mais vous deviez bien penser qu'à ce stade de vos confidences cela tomberait !

    Mes propos sont très pragmatiques, non ? un peu terre à terre aussi ...sourire.

    Orane.

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  50. "Je peux dire de l’amour que j’ai vécu qu’il n’est pas immortel, puisqu’il est flamme, mais il est infini tant qu’il dure…"

    Rien n'est jamais acquis...un petit rien ds notre comportement ( ou qui ns parait si peu ) et pour l'autre cela devient l'enfer.

    L'amour ou la passion, c'est comme un jardin, il y a les jardiniers et ceux qui n'y connaissent rien ou si peu !

    Orane.

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  51. @ Orane

    "Qd on aime le sexe cela ne perd pas !" C'est comme le vélo ? Plus sérieusement, je reprendrais en guise de réponse la formule de mon ami L.O. : "Le sexe, c’est comme le sport : moins on pratique, moins on est performant."

    "On peut se mettre en sommeil mais qd on appuie sur le bouton cela redémarre au quart de tour..." Si cela pouvait être vrai... Mais le désir (surtout féminin) est une donnée éminemment variable, donc particulièrement complexe. La preuve ? Il n'y a pas de Viagra féminin.

    "Vous semblez dialoguer sur le sujet avec aisance en plus (l'écriture aurait elle un effet catharsis ?)." Curieux de nature, je n'ai pas de sujets tabous. J'ai pour habitude de n'esquiver aucun sujet mais en y apportant systématiquement une réponse précise et argumentée (ce qui prend parfois du temps). Cela dit, l'écriture est, en effet, un exutoire salutaire ; c'est une façon d'exsuder le mal.

    "La pornographie est devenue votre refuge pour ne pas sombrer..." Je n'en suis pas fier ! C'est un pis-aller qui, au final, renforce le malaise qui m'étreint. Il n'y a, en effet, aucun plaisir dans la pornographie, juste un soulagement hormonal qui ne résoud rien sur le fond. Pis, cela amène des complexes.

    "Vous n'avez jamais songé à prendre une maitresse ?" Je suis un homme, donc faillible. De plus, ne sommes-nous pas dans une société de consommation ? Enfin, ne dit-on pas que "le coeur a ses raisons, le corps ses pulsions" ? Tout cela est vrai mais je n'ai jamais franchi le pas à ce jour. Plusieurs raisons : la peur liée au manque de confiance en soi, le besoin de tendresse, de se sentir aimé, besoin incompatible, me semble-t-il avec l'infidélité, le désir de ne faire souffrir personne, un certain confort matériel que je n'ai pas envie de remettre en cause, de mettre en danger, la peur d'aimer car on ne maîtrise pas les sentiments, ils sont incontrôlables (dès lors, "les sentiments apaisés sont comme les volcans éteints : il ne faut pas les réveiller !"). Il y a aussi des raisons plus prosaïques : ça se trouve où et comment une maîtresse ? Honnêtement, je ne connais aucune femme prête à accepter un relation sans lendemain, uniquement basée sur le sexe et non tarifée (rire).

    David Le Breton, sociologue, a écrit : "Si le visage dévoile l’homme, il le dissimule tout autant." C'est exactement mon cas ! Personne ne se doute du mal qui me ronge, personne dans ma famille, ni parmi mes amis (sauf deux confidents), encore moins mes collègues de travail. Tous me croient parfaitement heureux ! Preuve que la vie n'est qu'une vaste comédie... mais aussi un espoir, un espoir plus ou moins fou qui s'entretient au quotidien (chauqe jour, je sacrifie mon présent dans l'espoir d'un lendemain meilleur). Aussi, je me permets de venir voguer en esprit sur les rivages coquins de sites comme "Fantasmes Singuliers" où l'érotisme domine sans jamais sombrer dans la pornographie, qui meurtrit plus qu'elle ne guérit en réalité.

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  52. @ Orane

    "L'amour ou la passion, c'est comme un jardin, il y a les jardiniers et ceux qui n'y connaissent rien ou si peu !" Pour ma part, je distingue l'amour de la passion ; Oscar Wilde, ce diable d'Irlandais, disait que "La seule différence entre un caprice et une passion éternelle, c’est que le caprice dure un peu plus longtemps" tandis q'Eugénie de Guérin a écrit : "L’amour, c’est l’âme qui ne meurt pas, qui va croissant comme une flamme". Néanmoins, au regard de mon expérience, je dois être dans le second cas que vous exposez ! (rire) Cela dit, faute d'avoir la main verte, je suis bon cuisinier.

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  53. @ Janus ( nous sommes entrain de transformer ce blog en forum...)

    "Le sexe, c’est comme le sport : moins on pratique, moins on est performant."

    Je ne peux pas être d'accord avec cette citation...
    Oui, c'est comme le vélo... mais il faut aussi avoir confiance en soi !

    "Mais le désir (surtout féminin) est une donnée éminemment variable, donc particulièrement complexe.."

    Après le viagra, une molécule pour les femmes bientôt sur le marché: La flibansérine...
    L’organe central de la sexualité féminine c’est... le cerveau. « C’est pour cette raison qu’on observe tant de différences entre les femmes, explique Francesco Bianchi-Demicheli, responsable de la consultation de gynécologie psychosomatique et sexologie de l’Hôpital universitaire de Genève. Les mêmes stimulations peuvent engendrer des réponses très variables d’une femme à l’autre, mais aussi chez la même, d’un jour, d’une heure à l’autre, selon son état d’esprit, son humeur, son cycle hormonal. »

    « L’émergence du désir sexuel dans le cerveau est quasi instantanée, plus rapide qu’un clin d’oeil ».
    lu ds sciences et avenir...Mais la sexualité ne peut être normative...

    "Néanmoins, au regard de mon expérience, je dois être dans le second cas que vous exposez ! (rire) Cela dit, faute d'avoir la main verte, je suis bon cuisinier."
    Pourquoi vous attribuer totalement le flop...Dans une relation, nous sommes deux, non ?
    Vous allez bien finir par trouver cette recette qui vous convient puisque vous avez l'espoir! (sourire).
    Cette recette est fonction de chacun et de la rencontre avec l'autre et donc unique.
    Au contraire de vous je n'ai aucune ou si peu de référence littéraire sur le sujet ...Juste mon expérience et mon ressenti.

    "ça se trouve où et comment une maîtresse ? "
    Je ne saurais vous renseigner...

    Mais à vous lire vous n'êtes pas prêt car qui dit infidélité dit "danger" et mise en danger de soi et remise en question de nos fondamentaux. Le risque zéro n'existe pas et effectivement nous ne savons par avance ce que nous réserve une rencontre...la vie est faite de mystères et de surprises qu'il faut savoir accueillir.
    Avant de conclure : Passion vient du latin patior signifiant souffrir...mais nous l'employons de nos jours tout différemment. Ce mot passion est employé pour parler d'une émotion qui est plus forte que nous...

    "Il vaut mieux se perdre dans sa passion que perdre sa passion."
    [Denis Robert], Extrait de Le Bonheur, un livre que j'ai aimé et une phrase que j'ai gardé en mémoire.


    Orane.

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  54. @ janus,

    "Tous me croient parfaitement heureux ! Preuve que la vie n'est qu'une vaste comédie..."
    Oui la vie peut être une vaste comédie...mais jusqu'où êtes vous prêt de jouer ainsi et de passer " à côté" de votre vie et de ce que vous rêvez qu'elle soit. Se poser des questions , oui ! Mais se regarder de la fenêtre passer ds la rue...cela est-il épanouissant ?

    Orane.

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  55. Redonne-Moi : http://www.deezer.com/listen-2174689

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  56. @ Orane

    "Je ne peux pas être d'accord avec cette citation... Oui, c'est comme le vélo... mais il faut aussi avoir confiance en soi !" LÀ, ce n'est pas gagné ! Reconquérir la confiance perdue est une gageure en l'état actuel. Mais vous avez entièrement raison sur le fond : en amour, la confiance en soi est un impératif pour une sexualité épanouie. D'ailleurs, comme vous le soulignez avec raison, notre cerveau est le plus puissant des aphrodisiaques.

    "Après le viagra, une molécule pour les femmes bientôt sur le marché: La flibansérine..." VOUS m'apprenez quelque chose ! Par contre, je ne suis pas certain de son efficacité puisque, pour vous citer, "L’organe central de la sexualité féminine c’est... le cerveau".

    "Pourquoi vous attribuer totalement le flop...Dans une relation, nous sommes deux, non ?" MAIS dans le cas présent, un seul se plaint : moi !

    "Vous allez bien finir par trouver cette recette qui vous convient puisque vous avez l'espoir! (sourire)." JE ferai un voeu le 31 au soir !

    "Au contraire de vous je n'ai aucune ou si peu de référence littéraire sur le sujet... Juste mon expérience et mon ressenti." POURTANT vous détenez la vérité, vous vivez la réalité car la vie n'est pas un roman.

    "Mais à vous lire vous n'êtes pas prêt car qui dit infidélité dit "danger" et mise en danger de soi et remise en question de nos fondamentaux." JE n'ai tout simplement plus confiance en moi. dès lors, comment envisager une quelconque relation si cette confiance n'est plus au rendez-vous ?

    "Avant de conclure : Passion vient du latin patior signifiant souffrir..." LE début d'un amour est toujours source d'angoisses, d'incertitudes, de doutes, donc de souffrances. Cependant, la passion est éphémère.

    "Oui la vie peut être une vaste comédie... mais jusqu'où êtes vous prêt de jouer ainsi et de passer "à côté" de votre vie et de ce que vous rêvez qu'elle soit ?" VRAISEMBLABLEMENT jusqu'au terminus s'il le faut. Tout se maîtrise en effet : la douleur, la frustration ou la tristesse ne sont rien, hormis des afflictions passagères... tout comme la joie, le bonheur ou le plaisir. Je vais me répéter mais je considère désormais que "les sentiments apaisés sont comme les volcans éteints : il ne faut pas les réveiller !" Honnêtement, j'ai trop peur des sentiments car ce sont des forces que l'on ne maîtrise pas, du moins que je ne maîtrise pas.

    Orane, je vous remercie pour ces échanges mais ne tranformons pas ce blog en forum.

    @ Ed

    Puis-je vous proposer un texte personnel sur le corps féminin ?

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  57. @Janus :

    Les commentaires sont ouverts pour tout type de commentaire, a fortiori sur le corps féminin ... j'avoue que je suis ... surpris par la teneur de votre dialogue singulier. Peut être vous faudrait il l'un et l'autre ouvrir un blog.

    Ed

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  58. Voici deux plaidoyers amoureux écrits en 2005 par mes soins. J'ignore ce que vous en pensez mais j'estime qu'en dépit du temps passé, ils ont conservé leur fraîcheur. Néanmoins, je vous laisse seuls juges.

    QU'EST-CE QUE L'AMOUR ?

    Qu’est-ce que l’amour ? L’amour est un bien plus précieux que l’or. Il est éternel tel le diamant ou éphémère à l’image d’un arc-en-ciel. Il est solide comme le roc ou fragile comme le cristal. Pour sa part, mademoiselle de Scudery disait de celui-ci : « L’amour est un je-ne-sais-quoi, qui vient je-ne-sais-où et qui finit je-ne sais-quand. » Cependant, on ne désire que ce qui ne nous appartient pas. On ne s’attache qu’à ce que l’on peut perdre, puisqu’il ne prend de la valeur que du fait qu’il n’est jamais acquis. Or, l’amour n’est pas un acquis définitif, mais une conquête de tous les jours. Si affirmer sa flamme a un sens, si dire « je t’aime » a son importance, déclarer s’aimer pour la vie est une utopie car l’amour est un combat quotidien. Je suis tenté de comparer l’amour à un animal sauvage que l’on apprivoise progressivement mais que l’on ne domestique jamais ; il peut à tout moment recouvrer sa liberté et redevenir par la même aussi sauvage qu’à l’origine, mais sous d’autres cieux…

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  59. DANS UN AUTRE GENRE : LE CORPS FEMININ.

    Le corps féminin est une contrée que j’aime à parcourir, admirant du regard ses courbes et ses rondeurs. Enivré par ses effluves, je lance mes mains à la découverte de cet espace précieux et ô combien mystérieux. Celles-ci vont alors par monts et par vaux, détachant un bouton par-ci, se glissant par-là. Elles n’en font qu’à leur tête, n’obéissant désormais qu’aux douces ondulations d’un corps qui s’offre à la conquête. Mues par ces secrètes injonctions, elles effleurent, caressent, enlacent, étreignent. Un oubli, une réclamation ? Elles se font dociles, répondant immédiatement à toute exhortation pour réparer leur étourderie.
    Le corps féminin est un jardin fait d’humeurs, de senteurs et de saveurs. Par conséquent, comment résister au plaisir de le baiser ? D’abord prude, la bouche s’empare hardiment des lèvres qui s’offrent à elle. Electrisées, les langues entament une folle sarabande. L’émotion gagne alors le corps tout entier. Les sens s’affolent. Les doigts s’égaillent dans la chevelure. Les souffles se mêlent. On embrasse passionnément le visage aimé, on le caresse. Grisées par le désir, les lèvres glissent le long du cou. Parfois les dents meurtrissent les chairs. Mais généralement plus sages, elles mordillent avec affection lobes et tétons. Les mains dénudent les épaules que la bouche embrasse fougueusement.
    Telle la plage sous l’effet de la marée, le corps féminin se découvre peu à peu. D’un chemisier déboutonné apparaissent alors deux merveilleux globes laiteux, orgueilleusement soutenus par cette savante pièce de dentelle qu’est le soutien-gorge. On ne peut résister au plaisir de placer aussitôt ses mains sur ces mamelons fièrement dressés. L’assaut de ces deux citadelles est coordonné : les mains se glissent dans le dos, bien décidées à dégrafer le plus adroitement possible l’obstacle ainsi dressé, tandis que les lèvres se ruent sur la poitrine ainsi dévoilée. C’est un spectacle merveilleux dont je ne me lasse jamais ! L’excitation se propage à la vue de ces seins révélés. Mes mains s’emparent de cette gorge généreuse dont la fermeté démontre l'émoi. Elles caressent, palpent, s’amusent. Ma bouche n’est pas en reste : elle découvre le soyeux de la peau, son onctuosité. Les lèvres aspirent les tétons et la langue les titille avec malice. Les seins sont gonflés de désirs que trahit parfois un soupir de satisfaction. L’imagination est alors débridée et nombre de possibilités s’offrent aux amants du moment pour égayer leur jeu amoureux… [...]

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  60. [...] Mais soyons sages et poursuivons notre découverte du corps féminin. Les mains glissent le long du corps, se saisissent des hanches, caressent les cuisses. Les lèvres suivent, baisant le ventre dénudé, les dents mordillant la peau veloutée que pétrissent les mains. Quel ravissement que le contact électrique de cette peau chaude et satinée ! Les mains relèvent la jupe, ou déboutonnent le jean, qu’elles s’attachent ensuite à enlever grâce à la complicité féminine. Les variantes sont ici pléthores puisque liées à l’instant présent ; rien n’est prémédité : tout est improvisé au gré des opportunités. Une question s’impose alors : jeu de main, jeu de vilains ? Non, jeu de coquins ! Et la bouche dans tout cela ? Toujours la bienvenue, elle n’est jamais très loin.
    Le jeu continue et gagne en intensité. Mes mains apprécient le galbe des hanches. La tentation est grande de se ruer sur cette intimité révélée mais pieusement voilée par une affriolante étoffe de soie ou de dentelle (1) que mes dents déchiquetteraient avec avidité. À ce stade, une offensive généralisée serait vraisemblablement couronnée de succès, mais ce serait une victoire à la Pyrrhus puisque de courte durée. Il me faut donc patienter. J’envoie mes mains en reconnaissance. Elles s’approchent de leur objectif, l’effleurent mais ne s’y attardent pas, préférant descendre le long des jambes ou courir vers la poitrine. Ma bouche se contente d’un innocent baiser dans l’aine. Toutes attendent un signal, un frémissement. Pourtant, au fil des caresses, mes mains s’enhardissent et abordent à pas feutrés les contours de l’obstacle textile, illusoire rempart à mon désir. En catimini, un doigt se faufile en éclaireur sous la couture. Pas d’opposition ? Mes doigts se lancent alors à l’assaut du mont de Vénus. Ils s’insinuent dans cette luxuriante vallée sombre, source de félicités à foison. Les battants du temple sacré s’ouvrent au plaisir. Telle une étoile de mer, ma main s’empare de ce coquillage de chair veloutée et ombré d’un fin duvet. N’y tenant plus, j’introduis un, puis deux doigts dans les chairs ruisselantes, auxquels j’imprime un doux mouvement de va-et-vient. L’aimée écarte progressivement les longs fuseaux que sont ses jambes et arque les reins, comme pour m’inviter à prendre possession de son ventre encore plus profondément. [...]

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  61. [...] Il me faut alors me débarrasser des sous-vêtements ; seul le string est toléré !
    Sitôt passé la difficulté des hanches, le slip glisse le long des jambes avant d’être déposé à côté du lit ou jeté à l’autre extrémité de la pièce – c’est selon l’excitation du moment. Que penser à cet instant de ce corps dénudé, qui, désinhibé, s’offre aux caresses et aux baisers les plus osés ? La femme est alors dans toute sa beauté ! Je me délecte à la vue de ce fessier si complaisamment présenté. Remontant le cours sensuel des cuisses, je caresse la croupe avant de me faire plaisir. Ma main va s’encanailler en pressant amoureusement le périnée. Quelle volupté lorsque cette intimité vient se plaquer contre ma poignée afin d’être câlinée. Mes sens sont alors si aiguisés que, parfois, je ne résiste pas au ravissement déraisonné de croquer cette partie charnue tout en l’embrassant passionnément. Ma bouche avide s’empare de la secrète vallée au désir perlé, et ma langue plonge au plus secret de cette délicieuse anatomie. Mes lèvres s’imprègnent du goût subtil de ce trésor caché. Elles happent avec gourmandise les pétales nacrés, puis ma langue les écarte délicatement pour pénétrer dans l’antre convoité. Le corps ondule sous l’effet de cette sensuelle linguistique. Le bassin se soulève pour marquer son approbation. Tandis que goulûment, la bouche dévore avec passion ces lèvres humides que la décence interdit de montrer, mes doigts s’engagent sans effort dans le sillon noyé de plaisir. Le duo est déchaîné et peut s’éterniser jusqu’à satiété. Ma langue s’amuse à titiller le clitoris après l’avoir précautionneusement décapuchonné ; celui-ci mérite vraiment son surnom de bouton des délices. Je m’abreuve à cette fontaine de jouissance. Le corps se cambre sous l’effet de cette audacieuse dialectique. Ainsi échauffé, il réclame son dû.
    Nous pourrions continuer notre randonnée sur le chemin de la volupté et découvrir ensemble d’autres contrées du corps féminin, s’engager sur des sentiers inavoués. Je pourrais, en effet, disserter des heures sur mes douces excentricités à ce sujet, mais je préfère m’arrêter. C’est fini ? Non, car il vous revient le soin d’achever cet ébat amoureux ; j’ai donné la tonalité, à vous la finalité !

    (1) Bénis soient les dentellières et autres canuses.

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  62. @ Ed,

    J'avoue que cela fait très "coucou" mais votre nid est tellement douillet ! sourire. Je ne saurais ouvrir un blog j'ai rien de spécial à raconter mais j'aime bien les forums ... énorme sourire !

    @ Janus,

    Vous connaissez le lâché-prise ? Vous voulez toujours tout contrôler... Que cela doit être épuisant !!

    Pourquoi vouloir maitriser ses sentiments ?? Jamais vous ne vous laissez envahit par la spontanéité ? Et puis qd on se prend un râteau ben on se prend un râteau... la vie n'est pas linéaire, sinon quel ennui !

    "LE début d'un amour est toujours source d'angoisses, d'incertitudes, de doutes, donc de souffrances. "
    Alors là vous me clouez !
    Je ne peux pas être d'accord avec ce que vous affirmez... Je dois être trop naïve et très optimiste ...

    Orane.

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  63. @ Orane

    "Vous connaissez le lâché-prise ? Vous voulez toujours tout contrôler... Que cela doit être épuisant !!" C'EST juste une question d'habitude. Il y a néanmoins un problème : je contrôle avec efficience mon environnement mais mon corps commence à se rebeller en raison du manque de confiance en soi.

    "Pourquoi vouloir maitriser ses sentiments ??" PARCE que je les considère dangereux. Cependant, je ne suis pas encore au stade d'Hervé Bazin qui affirmait que "L’homme doit vivre seul. Aimer, c’est abdiquer. Haïr, c’est s’affirmer." (Hervé Bazin, « Vipère au poing »)

    "Jamais vous ne vous laissez envahit par la spontanéité ?" HONNÊTEMENT, j'évite car je suis désarmé face aux sentiments.
    "Et puis qd on se prend un râteau ben on se prend un râteau..." JE les ai collectionnés les râteaux ! Or, comme dit le dicton, chat échaudé craint l'eau froide.

    "Alors là vous me clouez !" CE n'est pas le Golgotha.
    "Je ne peux pas être d'accord avec ce que vous affirmez... Je dois être trop naïve et très optimiste..." PAS du tout ! Vous êtes simplement amoureuse. Le début d'un amour est toujours d'une exquise souffrance : pense-t-il (elle) à moi ? Pourquoi ne m'appelle-t-il (elle) pas ? On a besoin d'entendre sa voix, de sentir son odeur, sa chaleur, sa présence, etc. On a besoin de l'autre comme une partie vitale de nous-même. Le début d'un amour est, finalement, une obsession amoureuse, une obsession tant charnelle que spirituelle. D'ailleurs, finissons en chanson, celle de Michel Sardou, "La Maladie d'amour" :

    Elle fait chanter les hommes
    Et s'agrandir le monde
    Elle fait parfois souffrir tout le long d'une vie

    Elle fait pleurer les femmes
    Elle fait crier dans l'ombre
    Et le plus douloureux
    C'est quand on en guérit...

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  64. @ janus
    votre texte sur le corps feminin est magnifique.

    isabelle

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  65. @ Janus,

    Mais vous pensez toujours avec " référence à" ? Un signe de votre manque de confiance en vous ?

    Orane.

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  66. @ Isabelle

    Merci ! Cela signifie que mon texte n'a pas pris une ride.

    @ Orane

    "Mais vous pensez toujours avec " référence à" ? Un signe de votre manque de confiance en vous ?" OUI ET NON car j'aime étayer, argumenter, soutenir mes propos pour convaincre, démontrer, contredire... Faut-il alors y voir un manque de confiance en moi ou une déformation professionnelle ? Je l'ignore mais j'aime jouer avec les mots. "Même quand ils ne sont pas silencieux au début, les hommes ont tendance à le devenir en vieillissant", écrit Christine Orban dans "Le Silence des hommes". C'est vrai mais moi, j'écris ou j'illustre par le graphisme mes pensées, mes désirs... grâce à la PAO (Publication assistée par ordinateur). Ainsi ai-je mis en scène mon vit sous forme de pub. Une attitude peu mature, je vous l'accorde, mais je me suis vraiment amusé, transmettant au fur et à mesure, par jeu, mes réalisations à mon épouse, qui m'a finalement demandé d'arrêter de lui envoyer des conneries (sic). J'ai donc accédé à sa demande : je ne lui envoie plus mon vit mais désormais des images anodines (une sucette par exemple) toujours accompagnées d'un texte innocent, sauf que l'association des deux est explicite. C'est d'ailleurs en cherchant une image de sucette que j'ai découvert par hasard ce blog avec les "Chupa Queen".

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  67. @Janus :

    Ce qui restera un chemin unique pour une entrée en scène unique sur les chuta queen. Vive Google. Vive Janus.

    Ed

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  68. @ Janus,

    Je viens faire ma curieuse... Avez vous écrit ce texte pour une personne en particulier ? L'a-t-elle lu ? Commenté ? Apprécié ? Répondu ? Source d'échanges à l'infini ?

    Orane.

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  69. @ Orane

    "Avez vous écrit ce texte pour une personne en particulier ?" Peut-être vais-je vous étonner mais non ! Ce texte, je l'ai écrit pour moi afin de retranscrire le plus fidèlement possible mes perceptions en la matière, décrire ma vision de la femme et, qui sait, me rassurer. Je l'ai également écrit pour évaluer ma prose avec l'idée (saugrenue ou vaniteuse) de publier un jour un recueil de nouvelles érotiques ou un roman. Enfin, écrire me permet de surmonter les périodes de doute, les moments anxiogènes où je me compare à un "Pauvre Mec Frustré (un PMF, pour les intimes)" pour reprendre une expression lue dans un article éponyme sur le site de Maïa Mazaurette, "Sexactu", mais pas fier de l'être dans le cas présent.

    @ Ed

    "Vive Janus !" Pourquoi ???? Il n'a rien d'extraordinaire dans mes écrits. Par contre, oui : Vive Google ! Vive Internet !

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  70. @ Janus,
    Oui vous m'étonnez effectivement...
    Je trouve votre écris très "cartésien" d'où ma question...il ne peut y avoir de formule consacrée pour lire et décrypter un corps.
    Chaque personne est unique et votre "cartographie sensuelle" de la femme ne me parle pas et ne produit aucune résonance chez moi...

    Orane.

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  71. @ Orane

    "Oui vous m'étonnez effectivement..." POURQUOI ?

    "Je trouve votre écrits très "cartésiens" " PEUT-ÊTRE parce que je les maîtrise et, dès lors, ils ne dévoilent que ce que je veux bien dévoiler ; anonymat ou pas, il faut toujours contrôler ses écrits.

    "Chaque personne est unique" VRAI !

    "et votre "cartographie sensuelle" de la femme ne me parle pas et ne produit aucune résonance chez moi..." Dommage ! Mais cela signifie propablement que mon style est sinon mauvais du moins superficiel. Finalement, j'aurais dû imiter Anatole France : "Caressez longuement votre phrase et elle finira par sourire."

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  72. @ Janus
    Pourquoi ? ben je ne m'attendais pas à tant de contrôle ...
    Le virtuel sous couvert de l'anonymat permet le lâché prise ... Enfin il me semble !
    Vous devriez cesser d'être ainsi ds la maitrise car cela sonne creux au final ( superficiel avez vous dit ), ne croyez vous pas ?
    Il ne faut pas prendre pour argent comptant ce que je vous dis...vous avez eu des compliments quant à vos textes... Je suis très mauvais critique alors ne vous fiez pas à moi ! Il ne s'agit que d'un avis très virtuel et sans importance.
    Pour vous présentez mes vœux :
    "Vivez si m'en croyez, n'attendez à demain. Cueillez dès aujourd'hui les roses de la vie." Ronsard

    Orane.

    Ps merci pour la correction de mes fautes... j'ai la fâcheuse habitude de ne pas me relire ! sourire ...

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  73. @ Janus

    "Ce texte, je l'ai écrit pour moi afin de retranscrire le plus fidèlement possible mes perceptions en la matière, décrire ma vision de la femme et, qui sait, me rassurer."

    Donc même pour vous rassurez vous vous maitrisez ?
    Votre vision de la femme et vos perceptions sont aussi maitrisées ?

    Mais écrire c'est se laisser aller, partager, faire émerger son intimité , se faire peur aussi parfois , inventer...C'est du bonheur ! Mais c'est accepter de s'exposer, se mettre à nu ...

    "Écrire, c’est inventer avec des souvenirs." Jean d’Ormesson

    Orane.


    Orane.

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  74. @ Orane

    "Votre vision de la femme et vos perceptions sont aussi maitrisées ?" non, car, comme vous l'avez noté précédemment, l'écriture est une forme de catharsis puisque c'est à la fois une libération des tensions qui me tenaillent et un réel plaisir. Donc à travers l'écriture, j'écris ce que je ressens, je me mets à nu pour reprendre votre expression ; aussi suis-je en accord avec Jean d'Ormesson. Finalement, c'est jubilatoire lorsque l'écrit suscite une émotion partagée, donc une communion d'esprit, voire de coeur.

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  75. @ Janus = Jean ?

    Moi : "Je trouve votre écrit très "cartésien" Votre réponse : "PEUT-ÊTRE parce que je les maîtrise et, dès lors, ils ne dévoilent que ce que je veux bien dévoiler ; anonymat ou pas, il faut toujours contrôler ses écrits."
    D'où ma question : "Votre vision de la femme et vos perceptions sont aussi maitrisées ?"
    Vous :" Donc à travers l'écriture, j'écris ce que je ressens, je me mets à nu .."

    Faudrait savoir... C'est vous , c'est pas vous ? Vous maitrisez, vous vous mettez à nu ?

    Si je suis pénible...? oui ! éclat de rire !

    Orane.

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  76. @ Ed,

    Je viens de découvrir le nombre de visites en ce mois hivernal...c'est chaud chez vous ! ;)

    Orane.

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  77. @ Orane

    "Faudrait savoir... C'est vous , c'est pas vous ? Vous maitrisez, vous vous mettez à nu ?" Les deux, colonel ! Mon texte sur le corps féminin, je l'ai écrit avec plaisir pour mon plaisir, donc sans entrave. Par contre, ce que j'écris sur ce site ou ailleurs, sous mon pseudonyme ou mon vrai nom (Jean est une erreur de frappe validée sans relecture), est nécessairement maîtrisé, contrôlé par mes soins car cela engage ma responsabilité d'un point de vue juridique (même sous couvert d'anonymat, chacun est responsable de ses propos). Or, il est aisé de remonter à la source, ne serait-ce que par le biais de l'adresse IP (mais il existe d'autres moyens informatiques plus efficaces mais moins connus). Dès lors, il est important de contrôler ses dires pour ne pas se révéler ou être révélé.

    "Si je suis pénible...? Oui ! éclat de rire !" Pénible ? Non, mais curieuse et, au fil des lignes, sympathique (contrairement à votre intervention du 22 décembre). De toute façon, Françoise Giroud ne disait-elle pas que "Les hommes ont toujours eu beaucoup de courage pour supporter les malheurs des femmes." (rire)

    Une dernière remarque : comme je l'ai écrit précédemment, j'ai découvert ce site par hasard (en cherchant des images... de sucettes). J'ai aussitôt été séduit par le style de Ed avec ses "Chupa Queen", qui demeureront mes éternels fantasme et regret. Néanmoins, le texte que je préfère est celui intitulé "J'aime lécher ta peau, elle est salée à souhait" du 3 septembre 2010. Et vous, quel est votre texte favori ?

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  78. @Orane :

    Oui, les audiences vont et viennent au gré de la neige, des vacances scolaires et des fêtes plus familiales.

    Il fait toujours chaud, voire torride ici !

    Ed

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  79. @Ed,

    Oui il fait torride chez vous !



    Orane.

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  80. @Janus,

    Tout le 22 décembre ...? A ce point ?

    Je ne peux choisir UN texte car j'en aime plusieurs à l'image de ma gourmandise assurément ! Et parce que le sexe est un enchainement de sensations comme le reflet des billets d' ED ! sourire


    Orane.

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  81. @ Janus,
    "Or, il est aisé de remonter à la source, ne serait-ce que par le biais de l'adresse IP (mais il existe d'autres moyens informatiques plus efficaces mais moins connus)"

    Le virtuel est une vilaine toile d'araignée, un piège... flûte !

    Orane.

    PS j'ai pas le temps de répondre à tout...je reviens plus tard !

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  82. @ Ed,

    Mercredi, mais c'est tout bientôt ! J'ai hâte !

    Orane.

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  83. @ Janus,

    "Les hommes ont toujours eu beaucoup de courage pour supporter les malheurs des femmes."

    Ce que dit Françoise Giroud n'engage qu'elle !
    Et à l'inverse cela donne quoi ... ? sourire

    Orane.

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  84. Quelqu'un aurait-il un commentaire sur le vibromasseur Fairy ? J'ai lu quelques articles à son sujet et il apparaît comme une "bête" à orgasmes. alors mesdames, mesdemoiselles, vérité ou publicité mensongère ?

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  85. Dans le chasseur Français, y a peut être un comm !

    Orane.

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  86. Ces "fées là" existent vraiment ?

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  87. @Maxime R :

    Oui, Les Chupa Queens existent. Et parmi elle, la Fée Lation, la plus délicieuse de ces Queens, existe bel et bien ... j'ai rencontré le bout de ses lèvres.

    Ed

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