La lumière souligne tes courbes en sublimes dunes,
Mille frissons naissent enfin au clair de lune,
Les fluides se meuvent, encor' et encor' m'émeuvent,
Oh putain, putain, putain ... les mots pleuvent
L'ultime spasme déferle et te possède de toute force ...
1 .. 2 .. 3 .. 4 .. 5 .. six .. 7 .. 8 .. 9 .. dix .. 11 ..12 .. 13 .. quatorze !
Encore ?
Encore, c'est évident ! Pourquoi le point d'interrogation ? :)
RépondreSupprimerVotre blog est très excitant. Félicitations !
@Mirone :
SupprimerLe ? Est nécessaire. Un homme ne peut pas franchir certains chemins s'il n'y est pas invité ... S'il n'est pas attendu ...
Ed
...
RépondreSupprimerLili
Encore ? Toujours mon Cher Ed ...
RépondreSupprimerIl serait dommage de s'arrêter en si bon chemin ;)
Lyne
Et pourtant ... Les longs chemins passent parfois dans l'ombre
SupprimerEd
Mais quel éclat lorsque l'on passe de l'ombre à la lumière !
SupprimerBelle pirouette !
SupprimerCacahuète ! (Oui oui je sais c'est puéril mais je n'ai pas pu m'en empêcher)
SupprimerC'est comme si on me mettait une gourmandise sous le nez et qu'on m'empêchait d'y goûter ;)
Sorry
Le plaisir de faire plaisir ....
RépondreSupprimerTrès érotique poste...
paix et amour
1ManView
Wow. Your blog commente are multi language. Sounds like fame !! Thanks for your comments. Enjoy reading older posts.
SupprimerMatin azur.
RépondreSupprimerJe t'attends dans l'obscurité.
Je t'entends dans l'obscurité.
Pas délicats. Gestes lents et doux.
Je ne te connais pour l'instant que sur le papier. Pour la première fois, tu t'incarnes. Je frissonne. Ta main se pose sur mon épaule et entame un étrange voyage à travers les courbes et les creux jusqu'à l'antre de mes plaisirs. Tu continues ta lente exploration. Mon orchidée s'ouvre sous la douce caresse de tes doigts, t'invite. Ondulante et luisante. Et c'est comme si tu détenais toutes les clefs. Comme si tu avais toujours su l'endroit exact de mes défaillances. Le lieu précis de mes abandons...
1, 2, trois... 4, 5, 6, 7.... Huit, 9, 10, 11.... 12....... Treize, 14 !
Je navigue de points culminants en sommets insensés. Tu me gardes sur la crête de mon plaisir et te délectes de mes orgasmes vibrants qui laissent, sur ma peau, le souvenir frissonnant de leur explosion. Je ne me suis jamais sentie aussi délicieusement nue que sous la caresse de tes doigts.
Voilà les germes d'une écriture qui pourrait prendre la lumière.
SupprimerEd
Un simple écho.
RépondreSupprimerUn reflet dans le miroir.
14 secondes vues de mon côté.
Lili
Jolie glissage sur le nombre quatorze qui ne rime avec rien
RépondreSupprimersavez vous ce que vous avez en quatorze exemplaires
les avez vous toutes utilisées ?
Laure
@Laure :
SupprimerLe Carbone (14) ?
Ed
@Laure :
SupprimerTrouvé : Les phalanges !!
Et non, je ne utilise pas toutes ... Quoique !
Ed
oui ... encore !
RépondreSupprimerquand les pensées se rejoignent .... le désir est là ...
désir de vos doigts, de votre bouche, votre sexe, de vous ...
quatorze .... ou plus .... ou moins ....
RépondreSupprimerimpossible de compter quand le plaisir est là ...
quand le plaisir submerge ...
@14++ :
SupprimerQuand le plaisir monte,
Difficile de tenir le décompte ...
14 pieds !
14 pieds avec 2 doigts, du tact et de l'élégance
RépondreSupprimer14 pieds avec un sexe, de la vigueur et de la douceur
14 pieds et plus ...! encore !
@quatorze et plus :
SupprimerMerci pour vos rimes en ---orze
Je suis en effet un tiers de moi même si on me prive de mes doigts ... Et de mes baisers !
Il m'est arrivé d'en être totalement privé ...
À suivre dans le prochain message.
Ed