L'heure du thé, c'est le moment où les bourgeoises qui s'ennuient, espèrent leur jeune amant ... :
Je viendrai comme convenu à l'heure du thé.
Vous aurez servi deux tasses et quelques gâteaux secs.
J'entrerai en silence, mais sans surprise, car j'ai le code et la clé.
J'arriverai dans votre dos, mais vous aurez senti ma présence depuis longtemps.
Vous ferez face comme toujours à cette grande fenêtre ouverte qui vous permet de voir la ville, la rue, les passants.
- Vous m'attendiez ?
- Le thé est servi.
Le tapis sera épais à souhait, vous m'aurez instruit de son nom et du coin de perse d'où il provient, de son histoire et de combien vous aimeriez me voir le fouler. Je poserai mes genoux à vos pieds puis longerai vos jambes de mes mains, pour remonter le long des cuisses et plus haut encore. Ensuite, je soulèverai votre jupe et offrirai votre entre-jambe à la lumière.
- Le thé est-il chaud ?
- Oui, il est brûlant, fiévreux même.
Votre chatte sera hurlante de désir. La jupe remontée sur les hanches, les cuisses écartées, à travers une dentelle translucide à souhait, votre fente s'ouvrira pleine de grâce. De mon pouce je flatterai sa perle. Votre corps lâchera progressivement sa posture, et les soubresauts de plaisirs ne laisseront aucun doute. Vous allez aimer l'heure du thé quand la tasse restait sur le guéridon.
- Vous luisez de désir.
- Oui, je ruisselle de ce désir distillé.
Je vous ferai glisser le bassin pour présenter votre entrejambe, et le soumettre à mes assauts. D'un coup ferme, je glisserai mon gland puis ma hampe ... lentement puis fermement. Puis je stopperai le mouvement et me lèverai. Je sais que vous me suivrez des yeux, espérant je ne sais quel baiser ... Mais je vous poserai sur les lèvres ma queue flamboyante.
- Sans les mains, montrez moi ce que votre bouche sait faire seule.
Vous me sucerez plus que me lécherez, mais manifestement, vous vous sentirez limitée, comme ligotée, sans vos mains pour accompagner le geste.
- Je n'arrive pas à boire mon thé convenablement sans prendre ma tasse.
- Le sucre est encore intact, regardez comme il est encore solidement entreprenant ... vous ne voudriez pas le voir se dissoudre trop vite ?
- Non, bien entendu ... est-ce une flatterie ?
- Oui, vous sucez divinement bien quand je ne vous prive pas de vos mains.
Quand vous m'aurez sucé convenablement, ma queue veinée vous sera retirée ... Je tournerai autour de vous, tantôt dans votre dos, tantôt bien en face. A chaque tour, mes mains qui glissent dans votre nuque, deux doigts pour flatter votre chatte, un baiser pour émoustiller vos lèvres.
- Tournez vous, ici, comme ça, telle une chienne.
- Mais ... je vais être en face de la fenêtre ...
La jupe retroussée, je vous cambrerai les hanches pour m'offrir un point de vue unique sur l'arrière cour. Vos mains sur le dossier, une jambe sur l'assise. Ce fauteuil Napoléon servira de piédestal à votre corps de rêve. Votre croupe frissonnera de se faire empaler. Ou peut être que vous demanderez.
- Bouffez moi, prenez moi !!
Quand j'aurai glissé ma queue en vous, j'exigerai une danse ... voir votre postérieur onduler, frétiller, aller d'avant en arrière, s'empalant sur moi et autour de moi en utilisant toute la lenteur et l'amplitude possible, en ouvrant tous les sens et toutes les sensations, voilà qui sera un plaisir visuel et sensoriel sans commune mesure. Et quand je déciderai, je prendrai les rennes de nouveau, et vous bousculerai vigoureusement. Le fauteuil avancera à chacune de mes charges jusqu'à se trouver bloqué par un guéridon, une lampe ou un tapis. Vous aurez alors la tête toute proche de la fenêtre, et, du haut de ce quatrième étage, vous pourrez offrir votre visage déformé par l'orgasme et vos cris de chienne à vos voisins d'en face ...
Quand votre fente sera suintante de nos enthousiasmes, vous vous affalerez sur le fauteuil, flapie et à bout de souffle, un genou sur l'assise, les bras sur le dossier ... Et quand vous vous retournerez, j'aurai disparu.
Juste un rêve ? La tasse de thé est bien vide, mais impossible de se souvenir du claquement de la porte. Est-ce un rêve éveillé, un souvenir à fleur de peau, une idée d'une rencontre future ... ou un fantasme singulier qui vient de de cristalliser ?
Je viendrai comme convenu à l'heure du thé.
Vous aurez servi deux tasses et quelques gâteaux secs.
J'entrerai en silence, mais sans surprise, car j'ai le code et la clé.
J'arriverai dans votre dos, mais vous aurez senti ma présence depuis longtemps.
Vous ferez face comme toujours à cette grande fenêtre ouverte qui vous permet de voir la ville, la rue, les passants.
- Vous m'attendiez ?
- Le thé est servi.
Le tapis sera épais à souhait, vous m'aurez instruit de son nom et du coin de perse d'où il provient, de son histoire et de combien vous aimeriez me voir le fouler. Je poserai mes genoux à vos pieds puis longerai vos jambes de mes mains, pour remonter le long des cuisses et plus haut encore. Ensuite, je soulèverai votre jupe et offrirai votre entre-jambe à la lumière.
- Le thé est-il chaud ?
- Oui, il est brûlant, fiévreux même.
Votre chatte sera hurlante de désir. La jupe remontée sur les hanches, les cuisses écartées, à travers une dentelle translucide à souhait, votre fente s'ouvrira pleine de grâce. De mon pouce je flatterai sa perle. Votre corps lâchera progressivement sa posture, et les soubresauts de plaisirs ne laisseront aucun doute. Vous allez aimer l'heure du thé quand la tasse restait sur le guéridon.
- Vous luisez de désir.
- Oui, je ruisselle de ce désir distillé.
Je vous ferai glisser le bassin pour présenter votre entrejambe, et le soumettre à mes assauts. D'un coup ferme, je glisserai mon gland puis ma hampe ... lentement puis fermement. Puis je stopperai le mouvement et me lèverai. Je sais que vous me suivrez des yeux, espérant je ne sais quel baiser ... Mais je vous poserai sur les lèvres ma queue flamboyante.
- Sans les mains, montrez moi ce que votre bouche sait faire seule.
Vous me sucerez plus que me lécherez, mais manifestement, vous vous sentirez limitée, comme ligotée, sans vos mains pour accompagner le geste.
- Je n'arrive pas à boire mon thé convenablement sans prendre ma tasse.
- Le sucre est encore intact, regardez comme il est encore solidement entreprenant ... vous ne voudriez pas le voir se dissoudre trop vite ?
- Non, bien entendu ... est-ce une flatterie ?
- Oui, vous sucez divinement bien quand je ne vous prive pas de vos mains.
Quand vous m'aurez sucé convenablement, ma queue veinée vous sera retirée ... Je tournerai autour de vous, tantôt dans votre dos, tantôt bien en face. A chaque tour, mes mains qui glissent dans votre nuque, deux doigts pour flatter votre chatte, un baiser pour émoustiller vos lèvres.
- Tournez vous, ici, comme ça, telle une chienne.
- Mais ... je vais être en face de la fenêtre ...
La jupe retroussée, je vous cambrerai les hanches pour m'offrir un point de vue unique sur l'arrière cour. Vos mains sur le dossier, une jambe sur l'assise. Ce fauteuil Napoléon servira de piédestal à votre corps de rêve. Votre croupe frissonnera de se faire empaler. Ou peut être que vous demanderez.
- Bouffez moi, prenez moi !!
Quand j'aurai glissé ma queue en vous, j'exigerai une danse ... voir votre postérieur onduler, frétiller, aller d'avant en arrière, s'empalant sur moi et autour de moi en utilisant toute la lenteur et l'amplitude possible, en ouvrant tous les sens et toutes les sensations, voilà qui sera un plaisir visuel et sensoriel sans commune mesure. Et quand je déciderai, je prendrai les rennes de nouveau, et vous bousculerai vigoureusement. Le fauteuil avancera à chacune de mes charges jusqu'à se trouver bloqué par un guéridon, une lampe ou un tapis. Vous aurez alors la tête toute proche de la fenêtre, et, du haut de ce quatrième étage, vous pourrez offrir votre visage déformé par l'orgasme et vos cris de chienne à vos voisins d'en face ...
Quand votre fente sera suintante de nos enthousiasmes, vous vous affalerez sur le fauteuil, flapie et à bout de souffle, un genou sur l'assise, les bras sur le dossier ... Et quand vous vous retournerez, j'aurai disparu.
Juste un rêve ? La tasse de thé est bien vide, mais impossible de se souvenir du claquement de la porte. Est-ce un rêve éveillé, un souvenir à fleur de peau, une idée d'une rencontre future ... ou un fantasme singulier qui vient de de cristalliser ?