lundi 25 janvier 2010

Georges, sa femme et leurs fantasmes

Georges a une copine, qui quand elle pine,
Hurle à la mort, "ah, qu'elle est divine !!",
La jolie pine de Georges qui se dandine,
A poil sur son lit Georges trime et se demande :
"Quand est-ce qu'on dîne ?"

Georges a une vitrine, sur les Champs-Elysées de la frime,
Et il invite ses cousines et les présente à sa team,
De ses potes célibataires, quand ils ne sont pas à la gym,
Quand à peine sortis de l'usine, il les embarque, Georges.

Et Georges s'imagine,
Qu'il sera heureux tout le temps,
Alors qu'il est mort en naissant,
Et il n'est jamais dans les temps.
Jamais car
Rien ne lui court dans l'échine,
Rien ne lui court dans l'échine.

Georges joue aussi aux jeux, avec ses copains sur Tf1.
Il s'imagine le champignon, sous sa main peut-être le million,
Mais s'il ne gagne pas, il déprime, alors il tape sur Amandine,
Sa chienne de chienne, naine ; alors elle couine.
Elle est si câline d'habitude
Elle aime lécher les restes des repas de son maître,
Et le minou de sa maîtresse, qui s'ennuie ferme la journée,
Attend son Georges et son goûter, le ventre gros, les seins gonflés,
Elle est sage la copine, devant sa télé.

Et Georges s'imagine,
Qu'il sera heureux tout le temps,
Alors qu'il est mort en naissant,
Et il n'est jamais dans les temps.
Jamais car
Rien ne lui court dans l'échine,
Rien ne lui court dans l'échine. ....


La vidéo ici
L'album ici
Le single ici


Prohom, un lyonnais au regard acide et très talentueux

10 commentaires:

  1. Ma petite est une femme objet.
    Un soir ne sachant trop où aller je me ramasse dans un bar... J'y rentre seulement pour prendre une consomation. L'ambiance était plus féminine que masculine. d'un regard septioque je fais le tour de la salle, et j'apperçois ma petite puce, ce quel a changé, je m'approche et la salut la brillance de ces yeux s'allume, _ puis-je t'offrir une consommation- bien sur, je lève le bras et une jeune femme très peu vêtu s'approche- Madame désire une consommation- que prend-tu la même chose que d'abitude- Non je prendrais un brandy- d'accord. Nous parliâmes peu ces yeux en disait plus long, au moment où la serveuse nous apporta le que ma petite puce avait demandé j'allais ouvrire la bouche, - Merçi Mademoiselle - bienvenue. C'est tu quoi j'ai le goût de toi - Moi aussi, et là la dicussion s'emballe, ont parlais tout les deux en même temps,- pPrendrais-tu un autre verre, -une bouteille de vin te tenterais pas,- bien sur, je demande la serveuse une autre fois - Quel genre de vin avez-vous - j'ai un petit vin un peu corsé mais je crois qu'il vous plira- d'accord, le vin arrive et je ne peu m'empècher, un coup le serveeuse partie de faire une remarque sur son habillement, est-t'elle toujours vêtu aussi sexi? - Générallement, alors sa trotte vite dans ma tête,la boutelle se vide plus ou moins vite, monte tu à mon appartement- si je disais non tu ne me croirais pas.- dix minutes à pied et onr est rendu, et la vue sur la ville est merveilleuse, Un petit d'automne nous rendit plus hilare rendu dehors - tu va surrement aimé ma piole.
    aussitôt rentré elle barre la porte - je ne sauverai pas - jesais mais j'aime pas les intrus,elleplace son manteau dans la pendri et commence à se dévètir- qu'es'ce que tu fais - J'aime bien être chez moi et marche pas avec tes soulier sur le planché, à moins que tu te foute à poil toi aussi! Interloquer je commence à me dévètir tranquillement et place mon linge sur la série de crochet- Ont ouvre une autre bouteille- pourquoi pas,- pourtant quand tu venais aqu dépanneur tu ne te gènais pas même que parfois tu revenais par deux fois pour me laissé une petite missive j'étais encore bien jeune dans le temps mais je me suis fais à toi et tu me paisais, aujourd'hui je te retourne l'appareil, comment tu trouve le vin- meilleur que celui du bar, - Prends moi comme tu veux je me donne totallement à toi ce soir, peu importe tes fantasme je me plis à tous tes caprice...

    RépondreSupprimer
  2. suite
    Bien J'ai pas grand chose à part de la ceieture de pantalon pour te donner la fessée, t,es d'accord! -Bien va la cherrcher. sans me pressé je me rend dans le couloir pour la prendre, à mon retourd me personne! - Ma petote puce dans ma chambre, donc je m'approche de cette nouvelle lumière dans l'apparttemenmt.Estomacquer je regarde la valise ouverte sur le lit- Chosi ce que tu veux c'est pour ça tu n'a plus de raison pour te désister, alors assouvir tes fantasmes sur moi._Pas ici mais dans le salon, elle se met à quatre pattes et dit- transporte ma valise. Je dépose tout les sex toys sur la table du sason et je lui bande les yeux et lui attache les bras derrière le dos- debout saloppe -oui maitre- écarte les jambe- oui Maître. Je commence tout doucement à la caresser , lui attaché des pincette sur les mamelon je la sens frémir, masse sa poirine et glisse un doigt dans sa vulve, elle est déjà toute mouillé. - tourme toi et se penche sans que je lui donne l'ordre, j'abat un palette sur ses fesses à plusieurs reprises , elle y prend un extrème plaisir- Je crois que ton martinet devrais te convaincre de l'attitude à prendre- Oui Maître- debout maintenant- oui Maître et je lui rougit sa nuduté total des épaules au cheville, je la fais marché à genous à la grandeur de son loft et ne cesse de la frappé partout sur le corps, des petits gémissement s'échappe de ses lèvres - Je ne veux plus t'entendre compris- oui Maître. donc je prend un de ces vibrateur et lui installe dans la vulve. -Relève toi -Oui Maître et je commence à la gifflé elle ne dit mots, je lui installe des entrave et lui place dans l'anus une plog vibrante, je la sens jouir elle aime ça je me verse une autre rasade de vin et la fait boire aussi je ne savais trop quoi faire avec toute ces instruments de toretures, un pad clouté m'attire et je m'en sert sur son beau petit bedon en premier, les fesses par la suite ainsi que ces cuisses et mollets- Dit moi que tu une maudite saloppe _ Oui Maître je suis une maudite saloppe, encore une fois j,ai pas bien compris - je suis une maudite saloppe- plus fort, le même stratag`me se repercute tant que je ne l'entenps pas crie et chaque coup j'abattais sur son cul rougis presqu'au sang un nouveau coup, En veux-tu plus -Oui Maître, - tint t'a une belle badinne sa te plairais - Oui Maître, je la frappais des épaules aux pieds et je me surpris que j'en prenais réellement un extrème plaisir,
    à suivre

    RépondreSupprimer
  3. Je suis vraiment exité de la voir à ma merçi,mais mon plaisir est mitigé entre la prendre par en arrière ou me faire sucer, je passe outre j'aime mieux la couchée sur mes genoux , j'enlève sa ploge et je concentre sur son beau cul,que je tappe à main nu et je m'y applique fermement, les fesses lui épaissisent et j'adore ça. Par la suite la lave à l'eau tiède, couche toi dur la table du salon_ Oui Maître, je L'attache d'une manière qu'elle ne puisse trop bouger, place un coussin sous son cul et la lèche la vulve et sa violette africaine, plus que surprise à se faire lécher l'anus et se rédit mais moi j'y prends un immense plaisir. Je la masturbe du pouce et de l'index et m'amuse à lui tiraillé la vulve et l'anus, elle grone, cris, beugle comme une vache et de ma main libre je lui tape le cul,_ Encore Maître _T'a pas à demandé. Je m'assis et la regarde sombré de spasmes, lui verse un peu de vin dans la vulve et part glisse entre ses fesses que je liche encore une fois, je ne peux m'arrèter de lui caressé le cul et lui donne des coups de strap et elle en joui `^a merveille, je prend un temps de repos, appaise ma soif de son vinpuis je la détache elle halète grandement, _ lève toi_ Oui Maître, je sais ce que je vais te faire maintenant, son dildo feras bien l'affaire et lui insère dans ces orifices, lui met un collier et la promène en l'intimant de se décrire comme elle est, ce n'est pas dramatique mais plaisant, son martinet joue bien son role, je te sert bien _ Oui Maître, en veuxtu plus _ Oui Maitre, Crist de saloppe _ Oui Maître, viens je vais te douché à l'eau froide ça va te ralentir les ardeurs, je lui enserre les sein dans un genre d'éteau à un point que ces téton bleuissent et lui mordille les mamelons elle pousse des cris de douleurs, _ assez Maître, ta compris la leçon _Oui Maître, sans le demandé elle se met à genoux, _ Suce moi Maître, _ Non pas tout de suite c'est moi qui mêne, ont se comprend _ Oui Maître,_ allonge toi sur le lit je reviens, _ Oui Maître je m'intalle au salon et regarde une de ces revues de cul pour me donner des idées...
    à suivre...

    RépondreSupprimer
  4. Jamais ma petite puce m'a donné autant de sastisfaction,à profité de sa nudité, à son réel comportement dans la vie double qu'elle menait, j'ai pris un autre verre en me bralant tout en salivant mon glang elle me regagdait et gémissant plus fort pour attirer mon attention, je pose ma revue par terre et m' avance vers cette nudité merveilleuse, je lui caresses les sein du pied, les écrasent, la fais revirer et j'embarque sur ces fesses et marche sur sa peau encore toute rouge, elle rouve les jambes , j'allume, tournant autour je lui assène des coups de pieds, mais c'est pas ça qui l'intéresse, ecartant davantage ces lonquess jambes je la frappe à coups de pieds, _ Encore Maître, _ Bin ma petite salope tu va en mangé toute une, l'ardeur ne manque pas, recroquevillant les genoux son cul M'apparait plus attiranr, j'installe une chaise derrière et de la grosse orteil je l'insère dans la craque de son cul,plus que jamais elle se trimousse, le martinet en main je m'amuse agréablement sur son postérieur, des marques commence à parraîtres, je relache un peu l'emprise sur sa nudité, _ Debout_ Oui maître, mon mageur insère dans sa vulve et je chatouille son clito, sa jouissante est profonde,révélatrice, anormal, tordu de plaisir elle tombe à genoux demandant grâce,_ Maître j'en ai assez, _ Bien dans ce cas va falloir que tu me suce si tu veux que j'arrête,_ Oui Maître, sa grande bouche s'ouvre et j'y met mon bambou dans la bouche, l'atant détaché ces mais s'active sur ma bourse, mes lèche les testicules avale encore mon pénis me travaille la poche d'une main et de l'AUTRE JE SENS UN DOIGT PÉNÉTRER dans mon anus, lentement mais de plus en plus profondément, je sens que bintôt je vais éjaculé dans sa bouche et d'unn coups de lanque et de doigt je me vide, elle avale golument aspirant tout ce qui sort de semence elle ne s'arrète qu'à la dernière qoutte,par le suite elle me prit la bourse qu,elle lapa avidement, toujour avec un doigt dans le trou du cul elle tentait de me ranimé, ce qu'elle réussi avec brio en me pompais à nouveau...
    quel nuit nous avons passés
    à suivre jaf de lotbinière

    RépondreSupprimer
  5. jaf
    cependant avant d'aller au dodo nous avons fini la bouteille de vin déjà entamer je m'intallé nu la pendrioche à terre, nu, dans un fauteuil inclinable les jambes sur les appuis bras exibant mon petit cul, elle dans un peignoir de retine blache, ont parlaient de tout et de rien, soudain elle me dit _ tu veux encore ta fessée _ bin oui je ne demande que m'offrir à toi comme tu là fais pour moi,_ Je crois avoir une meilleur subtilité,ton fessier vient de me donner une fabuleuse idée de fantasme, de suite mon regard s'illimuna, approche me dit t'elle, posant flutte de vin sur le bord de la table elle ramasse un bandeau qu'elle me fixa sur les yeux et sans ménagement, écarte les jambes et m'installe une paire d'entraves et m'attacche les bras au dessus de la tête et m'amène me tenant par le membre mou de mon anatomie, c'est à mon tour de me délecté de ton cul, où tu m'amène , dans la pièce du fond tu fa vraiment aimé je t'en dit pas plus, elle ouvvre la porte, allume la lumière, bouge pas je reviens, une petite odeur flottais dans la chambre, j'en frissonais, pendant cette attente je l'entendais farfouillé dans sa valise, qu'es qu'elle va me faire j'en avait aucune espèce d'idée, Bon tu va gouté à ma médecine, avance, monte sur le petit banc, couche toi, elle m'avait déj`donner deux bon coups de pad sur les fesses, j'y voyais une vrai bonne vollé, couche toi sur le banc, mais c'est quoi qu'il y a sur le banc , un rouleau de styrofome, elle me strappa solidement sur le chevalet ramena les pieds vers l'avant après m'avoir enlever mes entraves, je me sentait ficellé comme un jambon, sais-tu ce qye j'ai entre les cuisses? Non mais je crois que je vais le savoir assez tôt, un beau petit god annelé, ma petite puce me vida une huile assez chaude entre les fesses huilà aussi son gog et me le fit sentir le bout avant de me l'enfoncer dans le cul, elle m'asséna 4 à 5 coups de martinet juste pour me chauffé le drri`re et de se faire monté l'adrenaline, bon prépare toi, je suis près ma puce, et lentement je senti s'enfoncer dans mes entraille cette membre de platique bosselé dans mon trou de pet, et lentement elle se m'y à s'activer et de plus en plus vite les mouvement firent plus rapide, et régulièrement son martinet s'affaisait sur mon dos elle en gémissait autant que moi, j'ai eu mon éjaculation cependant elle n'avait pas encore eu son orgasme, je la subissait vraiment, t'aime ça te faire enculé, oui ma puce, et soudain elle gémit d'une plus grande frébilité et elle explosa se couchant sur mon dos avec de douces caresses, t'a aimé, oui ma puce, c'est demain que tu auras vraiment la fesasée que tu mérite maitenant je vais te détaché, puis nous iront à la douche...
    à suivre
    jaf maintenant le soumis

    RépondreSupprimer
  6. La douche prise tout plein de caresses nous passons à la chambre de ma Maîtresse, enlassé après quelques baisés nous parton sur la route des esquises suaves de érotisme, pour moi il n'en fait nul doute. Au réveil ma petite puce dort paisiblement sur le dos, je la découvre, lentement, jusqu'au nombbril, admire ce merveilleux,sensuel mélange de dalbes savoureux, approche ma bouche de ces mamelons et les tétillent se subtillité, caressant son petit bédon, une réaction s'éveille , les bouttes lui durcissent elle se vire tout en diffusant des paroles incompréhensible, j'en profite à sucer l'autre bout de son tétons , passe mes ongles sur son le profile de ces galbes qui m'est offert, réaction divine, sasensualité s'éveille de plus en plus,se toutnant sur le doe entrouvant les cuisses je bécottes et léche son ventre m,approchant de sa chatte, passe ma langues sur ces grande lèvres, come un épanouissement la fleur s'éveille , ma langue goutte la chaleur de son sex, mes mains, d'un pas paisible, parcourt son entre jambes, petit grognement, être l'auteur de ce crime assoupie active ma complicité, plus que je la lèche plus les réaction se font sentir, j'ensuis à touche sa vulve plus avidement,insèrema lanque, tente d'attenidre son bouton de jouissance

    RépondreSupprimer
  7. Elle se retotne sur le ventre une main entre les cuisses, j'en profite, je lui lèche la craque des fesses et de faire parcourir ma lanque à la grandeur de son cul. Je le recouvre et la laisse et la laisse à son érotisme onorisme et je fais préparer le déjeiner, et me couvre de son désabiller translucide de satin tranlucide, L'odeur du café la tire lentement de son rêve, les couvert sont à leur place,_ Que fais tu avec mon vêtement personnelle ,_ Je voulais te faire une sirptise, _ doonne moi mon peignoir, je lui apporte et lui pose sur les épaules, _ elle me giffle fortement, et met toi à poil, `ptres le tu va l.avoir ta fessée je lui sert son repas et je n'ose m'attablé, _ c'était très bon et le café délicieux. Nu devant ces charmes debout sur une chaise de son pied elle me joue dans l'entre jambes et m'avise de ne pas éjaculé. après son deuxième café elle me fais couché sue la table su salon et ramasse son battoir à cul _ tu voulais une fessée bien je crois que ton cul va rougir plus que tu ne pense et les coups s'abbattre sur tout mon corps, elleà enlevé son peignoir et se frottre contre moi et y prend autant de plaisir que moi, et je suis venu salissant le cuir du banc, - Maudit cochon liche moi ça tout de suite et cette fois elle d'y va avec le pad clouté, j'en ai porter les marque pendanr un bon mois, À Prédent à la douche petit verra

    RépondreSupprimer
  8. À la sortie de la douche je restai nu,
    - assi toi là
    -oui ma prtite Puce
    _ Mange moi encore
    Elle avait les cuisses grande ouverte et m'offrait sa vule.
    _je l'ai liché jusqu'à l'extasse.
    _ Maintenant tu m'appartient peux importe ce que tu diras regarde ces belles photos tu ne voudrais pas que tout le monde le sache!
    _ Non pas vraiment, mais je le sais que je suis ton esclave et j'en suis fier.
    _ que fais-tu sanedi dans 10 jours?
    _ je n'ai rien au programme!
    _ Mon cul te tentes-tu encore?
    _ certainement
    _ Bien tu vas être mon invité spéciale pour une initiation et si tu passe le teste tu seras admit au sein du club. Maintenant je dois me rendre à une audience , tu vas rester nu, ici et m'attendre.
    Oui ma petite Puce
    _ Je t'averti ne joue pas avec ton zizi, pour m'en assurez je vais te menotter.
    Dans l'après midi ma petite Puce arrive avec une copine j'étais couché par terre, bien dandé mais surpris de cette visite impromtu je me vire sur le ventre.
    _ que fais-tu sur le ventre , debout et aceuille ma copine comme il se doit.
    _ Bonjour Maîtresse
    _ À quel place t'a déniché ce cabot?
    _Je te raconterai plus tard.
    _ À genou et fais ça comme un grand nabot stupide.
    _ Oui ma petite Puce.
    _ comment tu fais pour te laissé dire que tu es sa petite Puce
    _ Je t'expliquerai en temps et lieu liche les bottes de Maîtresse Léna
    _ Oui ma petite Puce
    _ Puis- vous léché les pieds?
    C'est là que je re¸^cu mon premier coup dans le ventre.
    >elle me m'y un collier et m'attiras au salon se déchaussa et englober ces deux gros orteils les salivant tant que je pouvait.
    _ Y travialle bien de la langue ton cabochon de cabot!
    C'est pas pour rien que j'en ai fais qu'une chose
    J'ai le goût de me faire léché plus que les pieds, et elle soulève sa robeenlève sa culotte, et n'a eu à me le dire j'avais déj`le visage entre ses cuisses.
    _ Y'a un bon coup de langue!
    _ Je peux le bouté un peu si tu veux.
    _ Comment?
    _ regarde bien, sa grande palette de cuir troué s'abatti sur mon cul.
    _ Celà l'a stimulé bin d'aplomb
    _ Un chien sa sa dompte de cette manière
    _Tu parlais tantôt pour une sortie au chalet, tu veus initié ton cabot
    _ Oui et si tu venais avec Mado et son petit con de faux commédien
    _ Je ne dirais pas non je croirais bien qu'ont auraient une fin semaine dès plus agréable à dompté ces petit chien, trouves-tu pas?
    _ c'est ce que je disais.
    _ Tasse toi le nabot t'aurais beau appelé ta Maîtresse ta petite Puce tu resteras toujours un instrument de plaisir à mes yeux.
    à suivre

    RépondreSupprimer
  9. Comment ont s'organise pour notre sorti de samedi?
    - Pas le prochain, j'espère?
    - Non dans dix jours.
    _ Ton nabot me tanne .
    _ Tient,pis gène toi pas.
    D'un seul coup sur le dos me fit remper sous la table
    _ Même si je suis ta petite Puce va falloir à connaître toutes les Maîtresse que je vais te présenter, -Oui Maîtresse petite Puce
    _ Tu trouve pas que sa mieux la route qu'un esclave rampe lorsqu'il ne sais se conduire
    _ C'est bien vrai je pourrais bien y remédié tout de suite!
    - Tout juste, je t'offre ta première Domination par Maîtresse Léna.
    _ As toi les armes, tu peux te servir dans ma valise.
    _ Bien je vais lui apprendre en premier le respect- C'est à toi, fais en ce que tu veux moi je n'ai plus rien à dire.
    _ Je sens que je vais me soulager grandement.
    C'est à coups de pieds au cul que Maîtresse Léna me poussa à son boudoir.
    _ allonge toi.
    _ Oui Maîtresse Léna
    _ Bon si ont débutait par une suspention par les pieds, qu'en penses-tu?
    _ Il est à toi moi je ne dit rien
    Plus que je ne pensais je me balancait comme un pendule de magicien la tête à la hauteur de leurs genoux.
    _Y'é pas posisionné à mon goût mais un essais n'est toute la partie, Pas vrai Jojo
    _ Assurément, dit ma petite Puce
    _ J'aime bien dominé mais j'aime bien le faire toute nu avec un god.
    _ Pas de problène, bande lui les yeux et je n'aurai qu'à sortir si tu veux te foutre à poil
    _ D'accord
    Ma petite Puce sortie, et me dit _ tu vas bien suivre les instruction de Maîtresse Léna
    _ Oui Maître petite Puce
    Pendant que M. Léna ne plongeais dans le noir j'entendis la porte se refermer.
    Je l'entendais se dévêtir et jamais j'ai frémit autant
    Elle me strappa les bras dans le dos tout en me bardsant de claques, sa première victime fût mes testicules, pad la suite le visage et les fesses.
    _ Maintenant tu vas me dire avec quoi que je te frappe et le nombre de coups recu
    _Oui Maîtresse Léna.
    _ quoi j'ai pas compris répète avorton
    Je lui redit, plus fort tout ce qu'elle m'avait dicté
    _ Bon tu commence à comprendre un peu mieux, quand tu t'adresse à Maîtresse Léna j'aime bien que tout sois claire, ont s'entends sur le sujet...
    cette fois je parlé assez fort
    - Bon un petit tour de manège va te remettre les idées en olace.
    Oui Maîtresse Léna.
    et à chaque tour qu'elle me faisait faire je recevais un coup.
    _ avec quoi que je t,ai frappé
    _ avec un martinet(j'en avais déjà assez reçu de ma petite puce)
    _ Cest bien mais je t'ai pas entendu gémir
    _ Il est deffendu de gémir Maîtresse Léna
    _ Ça vaut bien encore quelques bon coup
    Je tournais et à chaque tour je serrais les dents, Maîtresse Léna voulait m'entendre démir mais je lui tenais tête
    Tout ce qui avait à sa porté elle s'en servait, j'étais rouge comme un homard.
    Elle finit par me descendre j'étais à plat ventre et une dernière fois elle me fit enfler la plante des pieds,
    elle se rabilla et me laissa dans le boudoir...
    à suivre

    RépondreSupprimer
  10. I really enjoyed your blog posts, thank you

    RépondreSupprimer

Related Posts Plugin for WordPress, Blogger...