jeudi 23 août 2012

La première fois tu me fais l'amour, la seconde, tu me baises

La première fois, tu me fais l'amour. Je te sens pressé, mais je sais que tu prends ton temps.

Tu es un homme à préliminaires. Et c'est pour ça que j'aime tout de toi. Tout en lenteur, tu m'embrasses, tu me déshabilles, tu câlines mes seins, tu joues avec ma peau, tu me masses parfois ... Ca fait des années qu'on est amants, et tu es doux et prévenant, amant et aimant, et je sais que tu cherchera tout pour mon plaisir, comme j'aime ou comme tu veux me faire découvrir.

Au début, tes mains viennent chercher si je mouille. Comme à chaque fois, je suis un torrent. Ca m'excite comme c'est pas possible, plus tu glisses tes doigts, plus j'ai envie que tu me pénètres, avec tes doigts au moins, avec ta queue, vite !

Souvent aussi, c'est avec ta bouche que tu m'allumes grave. Tu m'as appris à jouir de ta langue. Quand tu ouvres mes cuisses et commence à me manger, je disjoncte complètement. J'ai envie que ça dure, mais ta queue me manque tellement que j'ai besoin que tu fasses vite. Je te tire par les cheveux pour que tu viennes me couvrir et me remplir.

Enfin, je t'ai en moi ! J'aimerais que plus jamais tu ne ressortes. Je jouis, toute de suite, en 30 secondes, tu me fais jouir dans la position du missionnaire tellement tu m'as excitée. Des fois, tu me l'ordonnes "Jouis, maintenant", et je jouis. Je suis tienne.

Mais toi, tu continues, ta queue entre et sort en moi sans s'arrêter, tu sais me maintenir dans cet état pendant un temps infini. Je sens que tu me parles parfois, mais je n'entends rien, ça m'excite encore plus, j'aimerais un jour comprendre ce que tu me dis ... est-ce des mots doux, des confidences, me racontes tu ce que tu me fais, ce que tu veux me faire, tes mots sont ils crus quand tu me fais jouir, ou es tu encore dans tes métaphores colorées papillons et orchidée ?

Tu ralentis, parfois pour ne pas éjaculer tout de suite, avec quelques précautions verbales, je sens ton gland presque ressorti, mais jamais tu ne me fais jouir à vide. Tu restes en moi. J'ai envie que tu ne ralentisses jamais. Pourquoi tu ralentis d'ailleurs, je ne veux pas que tu te maîtrises, merde ! Encore, j'en veux encore. Je te le dis, je réclame, j'essaie de mon bassin de pousser, d'avaler ta queue. Toi, tu es ralenti ou immobile, et silencieux. Merde, qu'est ce que je fais là. Vite, ça retombe, mon plaisir retombe comme un soufflé, ça va mettre une heure à redémarrer. Baise moi, merde ! Mais tout ça ne dure pas longtemps. D'un coup, tu prends appui je ne sais ou, et tu m'enfonces si profond que je dégorge un râle orgasmique ...

Et quand tu jouis, tu couvres mes cris, on doit t'entendre à mille kilomètres et je me sens être femme de te faire jouir si fort, de sentir ton plaisir. Ton râle et ton corps sont si puissants que je jouis de nouveau des fois, en même temps, sauvagement, sous les coups d'une queue moins appliquée mais si fougueuse, qu'elle sait sans savoir, me ravager encore une fois.

Certaines fois, tu restes dans mon lit. Tu en décidé ainsi. Pas d'obligation, pas d'envie de te lever non plus. Je profite de ton corps, mes mains et mes yeux se régalent. Je te masse parfois, je vais prendre une douche si tu es assoupi, le téléphone me dérange aussi, c'est chiant, j'ai encore oublié de le mettre en mode silence.

Et, quand l'envie te reprend, tu m'attrapes, et là, c'est une toute autre histoire. Tu me dis que ça n'arrive qu'avec moi, parce que tu me connais suffisamment pour te permettre d'être toi en tendresse, ou de lâcher tout. Je te crois sans te croire, mais ai-je le choix ? Tes mains sont insistantes et décidées. Tu m'imposes tes baisers envahissants. Tu m'attrapes le cou. Tu me dis que tu vas me culbuter. Souvent, je n'y crois pas, parce que tu es un tendre, mais tu as déjà été tendre, et quand tu attrapes ma chatte, pinces les lèvre, les ouvres et mets ta queue sans ménagement, je sens la promesse devenir menace.

Si je suis encore humide de toi, ça va, si je suis sèche, ça brûle comme un supplice. Plus ça force plus tu pousses. On dirait que tu entraînes toute ma chatte à l'intérieur. Quand enfin tu m'as enfoncée, tu accélères comme jamais. Je jouis tout de suite. Et tu ne t'arrêtes pas. On dirait que tu n'as plus peur de jouir, plus besoin de jouir, et tu tambourines jusqu'au fond, tout au fond. Par pressions, écartements, frottements, ma chatte brûle et je jouis comme jamais.

Tu me connais à l'endroit comme à l'envers, puisqu'à chaque fois, tu me retournes, et tu enfonces ton pieu dans ma fente à l'envers. L'oreiller que tu as mis sous moi me cambre, tes mains écartent ou fouillent, j'ai l'impression que tu entrent entier en moi. Il doit y avoir ta queue et au moins trois ou quatre doigts des fois. Je sais que tu prends appui au bout du lit pour cogner aussi fort.

Je suis sûr d'avoir mal, je suis sûre de jouir. Dans le mélange de nos sueurs, ma chatte beugle de plaisir. La douleur est si bonne que c'est un enfer quand tu ralentis, le souffle court. J'ai la chatte comme un chou, les lèvres tuméfiées et la cramouille qui inonde les draps. Et quand tu reprends, pour me bourrer la fente pendant une deuxième, troisième ou quatrième éternité, je jouis de nouveau.

Je sais que je n'aurai plus de voix, pour avoir crié comme dans un concert, comme dans un porno. Je n'ai qu'une seule peur, que tu me sodomises sans ménagement. Car mon cul à l'air est à toi. Sous la menace de tes yeux, de tes doigts, de ton sexe trop raide et trop brutal pour que j'aime ça. Jamais tu ne m'as enculée. J'aurai aimé, peut être, sans cette brutalité, sans cette sauvagerie ... mais jamais je n'aurai joui comme je jouis quand tu me baises la chatte après avoir fait l'amour une première fois. Baisée sans préliminaire, sans ménagement, et sans que tu ne faiblisses ... car finalement, même après des orgasmes pendant une heure, après avoir perdu 2 litres se sueur, ce qu'il me manque, c'est de te sentir ... jouir !

jeudi 16 août 2012

J'ai offert une femme à mon amante (4)

Le lendemain matin, je suis arrivé dans la chambre d'hôtel un peu avant 9 heures, avec la clé que j'avais gardée ... et quelle ne fut pas ma surprise de trouver ma complice encore endormie. Et quelle ne fut pas la sienne de m'entendre arriver, et de crier sa surprise ...

Passé ce moment étonnant, digne d'une scène de cinéma, je me suis assis sur le lit, et nous avons commencé à parler. Elle était nue sous les draps, et moi, habillé, assis à coté d'elle, à parler de chair et de sensualité comme si nous étions amants, comme si nous étions sur un pied d'égalité. Mais vite, ce décalage vestimentaire a disparu, pour laisser place à une atmosphère douce et propice à la confidence.

- Votre amante est en fait très hétéro.
- Ah ? Comment ça s'est passé ?
- Très bien ... j'ai déroulé comme vous avez imaginé. Vous nous avez quitté en nous mettant main dans la main. Je l'ai d'abord embrassée, elle s'est laissée faire et m'a embrassée aussi. Je l'ai caressée, comme une femme sait faire.
- Je ne peux pas vous dire.
- Elle avait l'air d’apprécier, et je l'ai caressée longuement. mais c'est quand j'ai utilisé mes doigts qu'elle a vraiment aimé. Ce qu'elle aime avant tout, c'est la pénétration.
- Donc, c'est une hétéro, vous étiez son amant et non son amante.
- Oui.

Nous avons parlé longtemps de mon amante, de l'après midi telle qu'elle s'est déroulée, de l'heure qui avait avancé sans qu'aucune d'elles s'en soient rendu compte, et de ce temps qui avait été consumé en soupirs tendres et torrides.

- Il était tard déjà, et aucune de nous n'avait prévu de rester, nous n'avions rien pour manger et rien pour la nuit. Elle m'a dit qu'il serait dommage de ne pas dormir ici tellement le lit était confortable. Moi, il fallait que je rentre chez moi, alors je suis vite passée à la maison, j'ai pris quelques affaires de toilette et à grignoter. Ca m'a pris plus d'une heure quand même, et je suis revenue.
- Vous avez dormi ensemble ?
- Oui, un peu.
- Ah ?
- En revenant, je l'ai trouvée à la fenêtre. J'avais pris de quoi boire et manger, le mini bar ne pouvait pas nous combler longtemps. Au bout d'un moment je lui ai dit que j'avais aussi apporté mes sextoys, et lui ai proposé d'essayer. Elle m'a dit "pourquoi pas !".
- Ca confirme que c'est une hétéro ?
- Oui, ce qu'elle aime, c'est d'être prise.

Nos confidences duraient depuis une heure déjà, la main dans la main, étendus sur le lit, moi sur les draps, elle dessous ... lorsque ... j'ai posé mes doigts sur ses lèvres pour engager une autre conversation plus ... charnelle.

Mes mains ont glissé sur ses lèvres, écarté les draps, pour découvrir un corps que je n'avais encore jamais vu nu. Elle était divine. Frêle et fragile, cheveux ébouriffés comme du duvet puisque je l'avais réveillée dans ce grand lit. Sa peau était chaude et douce. Pas une trace de bronzage et ... sublime découverte, une chaîne de taille, bijou doré que je n'avais pas trouvé sur mon chemin depuis des décennies au moins.
J'ai laissé glisser mes mains et fait disparaître ce drap qui me gâchait la vue. J'étais ardent comme la braise par ce présent offert, d'une libertine mature dans sa tête et dans sa peau. Elle était offerte, littéralement. Sur le dos, sans lingerie, jambes débouclées pour une vue plongeante sur toute sa sensualité sir brute et si raffinée à la fois. Je voulais la croquer là tout de suite. Et j'étais aussi empli de tendresse. Elle s'était prise à mon jeu, avait déroulé ce scénario insolite, bu dans ce calice du désir et offert du plaisir à une autre, et ce juste sur un "pourquoi pas !"

Mes mains ne m'obéissaient plus, je caressais ses courbes avec tendresse, en détourant ses petits seins, en jouant dans son décolleté, en descendant progressivement vers son triangle blond, non sans badiner avec la chaîne dorée et le nombril insolent qui ont accueilli avec délice mes premiers baisers résolus. Son corps n'était vraiment pas celui d'une innocente ingénue, et son cheminement de libertine, tout autant que sa nuit de débauche féminine, m'excitaient magnétiquement, comme me mettaient face à ce défi ... serai je capable d'être à la hauteur ?

La scène était langoureuse, mon corps habillé, le sien nu, immobile et livré sans entrave, couvert de mes baisers et de mes mains caressantes. Je me souviens du goût de son intimité, on aurait dit qu'elle sortait du bain, et dans le même temps, qu'elle avait en fluides ce désir de luxure, inondant cette antre comme une corne d'abondance. Ma langue ouvrait les petits pétales fermes, en cadence avec les tous petits râles qui venaient de l'autre bout du lit.

Le premier vrai râle de plaisir a fendu l'air quand j'ai écrasé son clitoris avec ma langue, et comprimé en rythme, de l'index, son fort intérieur, sa paroi antérieure, son délicieux point G. Son antre s'est ouverte, sa toute petite antre s'est emplie d'air et s'est soulevée avec son corps arc-bouté ... les frissons s'emparaient de toutes ses extrémités ... Clitoris rouge et raide, tétons fermes comme passés sous l'eau gélée ... avec n'importe qu'elle amante, je n'aurais achevée sur le champ de coups de langue ravageurs, ou remplie de ma queue gourmande et envahissante, ou les deux successivement, alternativement, encore et encore.

Mais ce n'était pas mon amante, c'était "elle". Alors je l'ai préservée de moi, je lui ai offert des demi orgasmes tendres et voluptueux, de ma bouche, de ma langue, de mes doigts, peut être pendant plus d'une heure. J'ai vu son corps accueillir les demi spasmes, sa bouche lâcher des demi râles, et sa peau suinter d'une demi transpiration sensuelle. Je suis resté habillé, à ne jouir que de la voir frôler l'orgasme, et ne jamais chercher à la déflagration finale qu'un homme aurait tendance à impulser. Si j'avais agit comme habituellement, j'aurais mis un terme à cet état entre deux, cet état vaporeux. De son coté, elle aurait pu chercher ou quémander une accélération prometteuse, d'encouragements vocaux, ou de ses dix doigts, qui, à n'en pas douter, sauraient trouver en quelques instants un détonateur sans retour ... mais j'ai adoré rester hors du temps avec elle. Ni moi, ni elle, ni ce nous naissant, ne cherchions à descendre de ce nuage à l'orée du septième ciel.

Au bout d'un instant qui n'en n'avait rien, ma langue, ma bouche et ma main suintantes de ses fluides profonds, ont ralenti, puis cessé leur tango sublime. Je l'ai embrassé tendrement, longuement, langoureusement, de bas en haut, pour la serrer finalement dans mes bras pendant une éternité, comme le fond des amants de longue date ou des amoureux passionnés ...

Je suis parti en lui laissant la chambre et la salle de bain. Elle a fait un brin de toilette, enfilé ses vêtements pour affronter le brouhaha de la ville. Je suis revenu une petite demi heure plus tard, restant quelques minutes immobile, à contempler cette chambre désormais vide. Puis, à l'accueil, j'ai payé la note, et rendu la clé.

J'avais fait jouir deux femmes de manière totalement opposée, l'une en l'empalant au bout de mon dard en quelques instants fulgurants, l'autre en caressant son orchidée avec autant de douceur qu'elle avait de grâce, sans jamais fléchir, sans jamais tenter de jouir moi même.

J'avais offert une femme à mon amante.

lundi 6 août 2012

J'ai offert une femme à mon amante (3)

J'ai accueilli mon amante sous l'horloge de la gare.
Elle était souriante comme à son habitude, un peu apprêtée, un rien fragile dans sa démarche. Elle s'était préparée comme pour séduire un homme. Jupe serrée et courte, talons haut ... Je ne sais pas à quoi je m'attendais, mais j'avais l'impression que ni elle ni moi ne savions vers quoi nous avancions.

Arrivés dans la chambre d'hôtel, elle découvrit avec une satisfaction émerveillée le lit. J'avais en effet mis les petits plats dans les grands. Le lit était immense et la chambre regorgeait de meubles qui auraient fait le bonheur d'amants fripons. Chaises, fauteuils, table basse, guéridon, miroir ...

- "Baisez moi maintenant !". A t elle immédiatement hurlé.
- "Ce n'est pas ce qui est prévu, très chère, il faut que votre petite chatte reste pure et ferme, je n'ai pas envie de l’ébouriffer".
- "Il reste une heure à attendre, j'ai envie de vous, enfilez moi avec cette grande queue ... ma chatte ne sera jamais carbonisée, elle est toute lisse et rose et mes pétales se referment en peu de temps. Je serai fraîche et innocente pour elle aussi".

C'est ainsi que je me suis retrouvé en elle, quelques élans, quelques râles, puis j'ai mis un arrêt à ces émois pour ne pas chavirer et mettre en danger la belle histoire que j'avais tissée. J'ai repositionné sa lingerie sur son mon de venus, reçu une ruade de frustration et apposé un baiser de consolation, puis remis mon arme luisante dans son fourreau qui n'arrivait plus à la contenir.

- "Vous allez rester avec nous ?"
- "Non, je n'ai pas prévu de rester. Ce que je vous offre est un cadeau singulier et unique, et je n'imagine pas cette rencontre féminin pluriel être biaisée de regards ou d'élans masculins".
- "Mais ... j'aurais aimé, elle aussi peut être".
- "Une autre fois, peut être".

Me voilà donc à lui ôter les vêtements qu'elle n'avais pas pris le temps d'enlever, et de découvrir sa peau blanche, relevée de cette lingerie que nous avions achetée à deux, et de bas qu'elle avait ajoutée à sa panoplie décidément très à mon goût. Ensuite,nous avons trouvé le niveau de pénombre confortable et la position "assise sur le lit, genoux joints et yeux bandés" que j'avais en tête. Puis, je lui apposai un doux baiser d'au revoir, pour aller m'enquérir de son "cadeau".

- "Je suis là dans 15 minutes environ, dès que vous entendrez la porte, remettez bien votre bandeau".

J'attendais donc de nouveau, sous cette horloge, celle qui sera ce cadeau, celle qui rendra ce fantasme possible. Quand sa silhouette s'est dessinée sur le parvis, je l'ai encore trouvée plus à mon goût que la première fois. Je crois que j'aurai pu tout planter là et l'emmener dans une autre chambre et enflammer ce corps prometteur d'une libertine venue à moi pour s'embraser. Je sentais le dilemme en moi naître, faire surface, et torde le beau scénario que j'avais en tête. Mais plus elle s'avançait vers moi, plus je revenais vers le fil conducteur.

Nous nous sommes fait la bise comme de vieilles connaissances, et avons pris le chemin de l’hôtel tout proche. Je lui racontais comment étais son cadeau, qu'elle était attendue depuis une heure, et comment je comptais les mettre en contact.

- "Mais vous ne restez pas ?"
- "Non, je vous l'ai dit, c'est un cadeau pur et féminin pluriel. Je vous mets en contact et je m'éclipse. Vous quittez la chambre vers 17h, vous restez toute la nuit, à votre convenance. Je viendrai demain matin pour rendre les clés à l'accueil"
- "Mais elle sera peut être déçue elle aussi. Vous savez, elle vous imagine peut être dans cette histoire".

Je suis resté sur mes positions, et nous avons continué à parler de quelques détails pratiques. La porte de la chambre s'est ouverte sans difficulté, et je l'ai vite refermée pour que la pénombre se refasse. En quelques secondes, j'avais aidée ma complice à enlever sa veste dans l'entrée, le temps que je la pende sur un cintre, elle étais déjà en lingerie. Je m'assurai d'un coup d'oeil que dans l'autre pièce, mon amante attendait dans la posture choisie, yeux bandés.

Puis, nous nous sommes avancés, et j'ai mis la main de ma complice dans la main de mon amante. J'ai embrassé l'une, puis l'autre, et j'ai fait un pas en arrière. J'ai attendu 30 ou 40 secondes peut être, pour m'assurer que le contact se faisait bien. Enfin, j'ai tourné les talons, claqué la porte en douceur, et je suis reparti dans l'éclat et la clameur de cette après midi, à travers une gare fourmillante et la tête emplie d'une voluptueuse satisfaction, d'une certaine félicité.

[A suivre]
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